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Récits de voyages

23 mars 2018

Sahara Marathon

SAHARA OCCIDENTAL
SMARA - 6 cheminots à la rencontre du
PEUPLE SAHRAOUI
Du 23/02/2018 au 01/03/2018
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ET 01
Extrait THESE de 2001 de Sophie Caratini (Anthropologue) - Les Sahraouis, un peuple sans territoire.
« On appelle « peuple Sahraoui » une population d’origine nomade dont les terrains de parcours traditionnels étaient principalement situés dans ce qu’il est convenu de nommer le Sahara occidental. Le Sahara occidental est cette portion de désert, dont les limites résultent du partage de l’Afrique de l’ouest entre Français et Espagnols (conférence de Berlin 1885), sise entre le Maroc et la Mauritanie le long du rivage de l’Atlantique.
L’émergence des « Sahraouis », en tant que peuple revendiquant l’indépendance de ce territoire, qu’ils considèrent comme national, est la conséquence de l’histoire coloniale en même temps que du long processus de décolonisation, toujours inachevé, que cette histoire a généré.
Avant même le départ des Espagnols, l’occupation du territoire en 1975 par les armées Marocaines et Mauritanienne dépossédait en effet pour la seconde fois les Sahraouis de leur terre, une dépossession qu’ils ne cessent depuis lors de combattre et de dénoncer, tant à l’intérieur par la résistance passive et/ou active (des manifestations sévèrement réprimées par les forces d’occupation), qu’à l’extérieur, par la guerre menée jusqu’en 1991, puis par la négociation. La Mauritanie s’étant retirée du conflit en 1979, le seul adversaire des Sahraouis est désormais le Maroc qui occupe la plus grande partie du pays à l’aide d’un ouvrage militaire défensif extrêmement sophistiqué, érigé du nord vers le sud sur plus de mille kilomètres.
La république Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), créée en exil le 27 Février 1976 au moment du retrait de l’Espagne, a pris en charge l’organisation de camps de réfugiés disséminés au sud de l’oasis Algérienne de Tindouf, sur un territoire stérile de quelques centaines de kilomètres carrés. 165 000 personnes (chiffres du HCR), pour la plupart femmes, enfants et vieillards, sont réparties entre quatre centres de sédentarisation distants de 20 à 140
km, tandis que les hommes, presque tous enrôlés dans l’armée de libération (à l’exception des membres du gouvernement et de quelques fonctionnaires), vivent le plus souvent dans des cantonnements militaires des zones dites « libérées », soit entre la ligne de défense Marocaine et la frontière.
Le gouvernement de la RASD – Présidence, ministères et services administratifs divers – est installé près d’un important point d’eau, dans des constructions en dur disséminées pour des raisons de sécurité, chaque groupe de bâtiment étant situé à environ 1 km de l’autre. Ce lieu, Rabouni, relais entre le pouvoir Algérien et les réfugiés, est donc le centre politique et économique de l’espace des camps. C’est par lui que passent les aides alimentaires, le matériel civil et militaire, les ONG et autres associations caritatives, les journalistes, tous les étrangers amis, ainsi que toutes les informations et directives politiques. »

Chronologie : données issues de la thèse jusqu’en 2000 et complétées par des infos via Internet
XV° - XIX° siècle : Echanges sur les côtes du Sahara occidental avec les navigateurs espagnols, portugais, français et anglais.
1884 – 85 : Conférence de Berlin : partage de l’Afrique par les grandes puissances
27 juin 1900 : Convention Franco-Espagnole qui fixe le tracé des frontières entre le Sahara Occidental et la Mauritanie.
3 octobre 1904 : Convention Franco-Espagnole qui fixe le tracé des frontières septentrionales du Sahara Occidental.
1934 : Fin de la conquête Française de la Mauritanie et de la conquête Espagnole du Sahara Occidental.
1956 : Indépendance du Maroc.
1957 : Opération Ecouvillon : action conjointe des armées Espagnole, Française et Marocaine pour écraser la tentative de libération du Sahara Occidental et de la Mauritanie par des éléments extrémistes de l’armée de libération Marocaine alliés aux insoumis du Sahara Occidental et de la Mauritanie septentrionale.
1958 : Cession par l’Espagne au Maroc de la zone de Tarfaya, Ifni et le Sahara Occidental acquièrent le statut de provinces Espagnoles.
1960 : Indépendance de la Mauritanie.
1961 : Six délégués Sahraouis siègent au cortes (instance représentative) en tant que députés. Un conseil au cabildo (corps administratif) de quatorze membres désignés par trois collèges électoraux siège au niveau de la province tandis qu’un système de représentation est organisé dans les régions et les localités. Une politique de peuplement est développée, un début de scolarisation est instauré et les forces militaires et de police sont accrues.
1962 : Indépendance de l’Algérie. Découverte des gisements de phosphate.
1963 : Création de l’OUA (Organisation de l’Unité Africaine).
1964 : Résolution de l’OUA sur le principe d’intangibilité des frontières coloniales.
1965 : Première résolution de l’ONU en faveur de la décolonisation d’Ifni et du Sahara Espagnol.
1966 : Résolution de l’ONU sur l’organisation d’un référendum d’autodétermination au Sahara Occidental. La résolution est reprise par l’OUA.
1967 : Seconde résolution de l’ONU identique à la précédente. Création de l’assemblée Sahraoui (jemaa), constituée de 42 membres (maires, chefs de « tribu », de « fraction » ou de « sous fraction »). Le pouvoir de la Jemaa est uniquement délibératif et consultatif. Bassiri crée le mouvement de libération du Sahara.
1968 : Résolution de l’ONU identique aux précédentes.
1969 : L’Espagne cède au Maroc le territoire Ifni sans y avoir organisé de consultation des populations. L’OUA demande l’application des résolutions mais l’ONU entérine les faits.
Septembre 1969 : Le Maroc reconnait la Mauritanie.
1970 : Résolution de l’ONU identique aux précédentes. L’OUA réclame l’application des résolutions. Manifestations à EL-AYOUN, arrestation/disparition de Bassiri. Début de l’exploitation des phosphates de Bou Craa.
1971 : Résolution de l’ONU identique aux précédentes. Création au Maroc d’un Mouvement Révolutionnaire des Hommes Bleus.
1972 : Résolution de l’ONU réaffirmant le droit à l’autodétermination des Sahraouis et à l’indépendance du Sahara Occidental. L’OUA réclame que soit appliqué le droit à l’autodétermination des Sahraouis et exprime sa solidarité à la population du Sahara. Le Maroc, qui préside l’OUA cette année-là, vote la résolution mais affirme qu’il n’acceptera jamais l’indépendance du Sahara Occidental.
1973 : L’ONU restreint ses déclarations au droit à l’autodétermination des populations,. Scission du Mouvement Révolutionnaire des Hommes Bleus dont une partie se rallie aux thèses Marocaines.
20 février 1973 : Proposition Espagnole d’une indépendance par étapes.
10 mai 1973 : Création du Front Polisario issu d’éléments du Mouvement de Libération du Sahara de Bassiri réfugiés en Mauritanie et d’un groupe d’étudiants constitué à Rabat autour d’El-Ouali ould Mustafa Sayed.
20 mai 1973 : Proclamation par le Polisario de la révolution et du début de la lutte armée. Publication d’un premier manifeste.
juin 1973 : Début de la répression policière Espagnole.
Aout 1974 : Madrid annonce à l’ONU l’organisation d’un référendum dans es 12 mois et recense 74000 électeurs. Le Maroc demande une consultation de la cour de justice de La Haye.
25-31 aout 1974 : Deuxième congrès du Front Polisario : manifeste politique d’orientation socialiste prônant le rôle de la femme, la recherche d’une unité nationale authentique et la réflexion sur les valeurs traditionnelles que traduit un Programme d’Action Nationale.
Septembre 1974 : Tentatives Espagnoles pour susciter un parti d’Union Nationale Sahraouie, favorable à la décolonisation par étapes, avec des chefs de « tribu ». Echec.
Décembre 1974 : L’ONU demande à l’Espagne d’ajourner l’organisation du référendum et d’attendre l’avis consultatif de la cour de La Haye sur le statut du Sahara Occidental avant la colonisation.
Janvier 1975 : Madrid ajourne le référendum d’autodétermination.
Février 1975 : Le Maroc crée le Front pour la Libération et l’Unité qui attaque les garnisons Espagnoles au nord de la Seguiet El-Hamra.
Mai 1975 : Le secrétaire du parti d’union nationale Sahraoui constitué par l’Espagne fait allégeance au sultan après s’être emparé de la caisse du parti.
21 septembre 1975 : Franco annonce « que l’état Espagnol réitère et garantit solennellement que la population du Sahara décidera librement de son avenir ».
12 octobre 1975 : Troisième congrès du front Polisario. Proclamation de l’unité Nationale, la fin des tribus et de la naissance du peuple Sahraoui.
16 octobre 1975 : Publication du rapport de la cour de justice qui déboute le Maroc de ses prétentions sur le Sahara Occidental et réaffirme le droit des Sahraouis au référendum. Le roi du Maroc mobilise 350 000 civils pour organiser une grande marche sur El-Ayoun (la marche verte).
17 octobre 1975 : Le général franco est victime d’une crise cardiaque.
6 novembre 1975 : La marche verte Marocaine franchit la frontière. Le conseil de sécurité condamne mais n’intervient pas. 14 novembre 1975 : Accords tripartite de Madrid pendant l’agonie de Franco. L’Espagne cède le Sahara Occidental au Maroc et à la Mauritanie. D’après le rapport présenté au Congrès Américain en 1995 par Frank Ruddy, ancien ambassadeur et vice-président de la commission d’identification en poste à la Minurso
(Mission des Nations Unis pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental), l’Espagne aurait agi sous la pression de la France et des Etats-Unis. Alger dénonce le fait accompli.
27 novembre 1975 : Couronnement du roi Juan Carlos à Madrid.
Décembre 1975 : Les troupes Espagnoles commencent à évacuer le Sahara Occidental, cédant la place, dans les villes, aux armées Marocaines et Mauritanienne.
Janvier 1976 : Fuite des populations civiles vers Tindouf. Bombardements Marocains des réfugiés regroupés à Guelta Zemmour, Tifariti et Oum Dreiga. 40 000 réfugiés arrivent à Tindouf.
1 février 1976 : Giscard d’Estaing approuve les accords de Madrid.
26 février 1976 : Retrait de l’Espagne du territoire.
27 février 1976 : Proclamation de la RASD
6 mars 1976 : Reconnaissance de la RASD par l’Algérie. Rupture des relations diplomatiques Algéro-Marocaines.
9 juin 1976 : Attaque de Nouakchott par les combattants Sahraouis, mort d’El Ouali, secrétaire général du Front Polisario.
1977 : Série de combats menés par les Sahraouis sur les installations minières de la Mauritanie et du Sahara Occidental. Guerre d’usure. Intervention des avions militaires « jaguar » Français en Mauritanie.
10 juillet 1978 : Renversement de Mokhtar Ould Daddah, président de la république Islamiste de Mauritanie. Cessez le feu entre les Sahraouis et la Mauritanie. Renforcement de la guerre avec le Maroc.
20 février 1979 : Reconnaissance par la France du droit d’autodétermination des Sahraouis.
1980 : Guerre avec le Maroc qui subit d’importants revers. L’ONU intervient pour demander au Maroc de négocier avec le Front Polisario. Construction du premier mur de défense Marocain autour de la zone minière de Bou Craa.
Février 1982 : La RASD est soumise à l’OUA.
Avril 1983 : Echec des négociations Sahraouis-Marocaines.
1984 : Le Maroc se retire de l’OUA car la RASD y siège désormais en tant que 51° membre.
1985 : Poursuite de la guerre d’usure des Sahraouis contre les Marocains qui continuent la construction de leurs murs défensifs.
7-10 décembre 1985 : Sixième congrès du Front Polisario.
Avril 1987 : Achèvement du sixième mur de défense Marocain englobant les 7/8 du territoire Sahraoui. L’ONU envoie une mission étudier sur place les conditions d’organisation d’un référendum.
1988 : Rétablissement des relations diplomatiques entre Alger et Rabat. Le Maroc accepte le plan de paix proposé par l’ONU. Le front Polisario déclare un cessez le feu unilatéral.
1989 : Une délégation Sahraouie est reçue par Hassan II, la négociation bloque. Reprise des attaques Sahraouis.
1990 : Nouveau cessez le feu des Sahraouis. Négociations séparées du Maroc et du Polisario à Genève avec des représentants de l’ONU et de l’OUA qui ont conçu conjointement le plan de règlement du conflit.
Septembre 1991 : Cessez le feu bilatéral. Installation de la Minurso de part et d’autre du mur de défense Marocain. Mise en oeuvre du plan de paix. Référendum programmé pour le 26 janvier 1992.
Octobre 1991 : Transfert massif de populations Marocaines vers le Sahara Occidental et demande par les Marocains de la révision des critères d’identification des votants. Le Maroc demande l’ajout d’une liste de 120 000 votants.
Janvier 1992 : Début d’une série de reports de la date du référendum. Un rapport d’enquête présenté au Sénat Américain met en cause le manque de soutien du secrétaire général de l’ONU à la Minurso.
Février 1992 : Boutros Ghali, nouveau secrétaire général de l’ONU, demande un délais de trois mois pour reconsidérer le plan de paix.
Avril 1992 : Reprise des transferts de populations du Maroc vers le Sahara Occidental.
Janvier 1993 : Le Maroc signe des accords de partenariat avec la CEE et l’Espagne.
Février 1993 : La France vend 20 avions Mirage 2000 au Maroc.
1993 : Le Paris-Dakar traverse le Sahara Occidental. Importante activité diplomatique.
1994 : Frank Ruddy est chargé par l’ONU de mener à son terme le référendum.
Février 1994 : Le parlement Européen condamne les violations des droits de l’homme au Maroc et au Sahara Occidental et demande l’application du plan de paix. Le Maroc annonce l’enregistrement de tous les descendants des Sahraouis dans tout le Maroc et tous ses consulats. Le Maroc interdit l’accès de ses bureaux d’El Ayoun aux observateurs de la Minurso. Boutros Ghali propose d’organiser le référendum sans le Front Polisario. Refus des
Etats-Unis.
Mai 1994 : Ouverture de bureaux de recensement du peuple Sahraoui à Zouérate et Nouadhibou.
Juin 1994 : Une centaine d’autobus transportent plusieurs vagues de civils Marocains au Sahara Occidental.
Janvier 1995 : Rapport de Frank Ruddy accusant les manoeuvres Marocaines. Mise en place des commissions d’identification.
Mars 1995 : Le New York Time confirme les dires de Frank Ruddy. Le Maroc bloque le processus d’identification.
1996 : Koffi Annan, nouveau secrétaire général des Nations Unis, relance le processus de paix.
Septembre 1997 : Signature des accords de Houston entre le Maroc et le Polisario. L’ONU prolonge la Misurno et relance le travail d’identification. Le référendum est prévu pour le 7 décembre 1998.
Décembre 1997 : Fin de la campagne d’identification à l’exception des « tribus contestées » soit 102 000 personnes résidant au Maroc. Après négociation, la commission accepte d’examiner 65 000 candidatures. La presse Marocaine accuse la Minurso d’être « à la solde du Polisario ».
7 décembre 1998 : Nouveau report de la date du référendum.
1999 : Traitement de la question des recours.
Mai 1999 : Un accord passé entre les partis stipule que le droit d’appel est reconnu aux requérants susceptibles d’apporter des éléments nouveaux à leur dossier.
Décembre 1999 : Fin du travail de la commission de recensement : sur 242 000 demandant, 198 000 se sont présentés au cours des cinq années de travail de la commission, et 86 000 sont admis à participer au vote. Sur les 65 000 candidats présentés par le Maroc et contestés par les Sahraouis, 2 130 sont acceptés.
Janvier 2000 : Le Maroc essaye d’imposer la révision de tous les dossiers déboutés entre 1994 et 1999. L’ONU reste hésitante. On parle d’un report des élections à 2002 voire 2003. Les Sahraouis menacent, s’il en était ainsi, de reprendre les hostilités.
28 septembre 2000 : quatrième série de pourparlers à Berlin, en l'absence de la délégation marocaine. Organisation de la 1ère édition du Sahara Marathon à l'initiative de l'American Jeb Carney et d'autres collaborateurs dans les camps de réfugiés sahraouis. Une initiative devenue un évènement annuel pour exprimer à travers le sport le soutien et la solidarité avec le peuple sahraoui en lutte pour son droit à l’autodétermination.
5 mai 2001 : James Baker présente un projet d'accord -cadre au Secrétaire général du Front Polisario.
21 juin 2001 : Le SG de l'Organisation des Nations Unies présente un rapport au Conseil de sécurité et propose le projet de l'accord-cadre, après avoir exprimé l'impossibilité d'application du plan de règlement et des opérations identification du corps électoral et les modalités des statistiques.
11 juillet 2001 : Les autorités marocaines libère le plus ancien prisonnier sahraoui, Sidi Mohamed Deddach , qui a passé 24 ans derrière les barreaux . Il a été condamné à perpétuité en 1991, peu après la libération de 321 prisonniers des centres secrets marocains de Meguna , Agdez, Rish, El Aaiun (Sahara occidental), dont 73 femmes.
17 janvier 2002 : Le Front Polisario libère 115 prisonniers de guerre marocains sous la supervision du Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
29 janvier 2002 : Le conseiller juridique de l'ONU, Hans Corell a déclaré que " l'accord tripartite de Madrid n'a pas transféré la souveraineté sur le territoire, ni ne conférait à aucun des signataires le statut de puissance administrante - un statut que l'Espagne ne pouvait d'ailleurs unilatéralement transférer et que toute exploitation des ressources naturelles de la région, sans le consentement du peuple sahraoui et est contraire aux principes du droit
international
19 février 2002 : Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan présente un rapport au Conseil de sécurité et propose quatre options pour le règlement du conflit. 27 février : Le Conseil de sécurité adopte la résolution 1394 qui exige l'extension du mandat de la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental à un an et décide d'étudier sérieusement les quatre options.
27 février 2002 : le président algérien Abdelaziz Bouteflika visite les camps de réfugiés sahraouis à l’occasion de l’anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique.
12 au 19 octobre 2003 : Le Front Polisario tient à Tifariti libérée son 11ème Congrès et désigne les membres du Secrétariat national du Front Polisario au niveau des militants dans les territoires occupés et au sud du Maroc.
11 juin 2004 : James Baker présente sa démission en tant qu'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental. Le Front Polisario rejette la démission et exprime ses remerciements et sa gratitude à M. Baker et ses efforts pour résoudre le problème, mais le Maroc annonce que la démission intervient suite à "fermeté" de la position marocaine.
26 novembre 2004 : Sommet de haut niveau entre le chef l’Etat, Mohamed Abdelaziz Front Polisario et le chef du gouvernement espagnol Zapatero à Madrid.
21 mai 2005 : Déclenchement de l’Intifada de l’indépendance (résistance pacifique) dans la ville d'El Aaiun occupée puis se répand en juin et juillet à Smara , Dakhla et Boujdour et dans les sites universitaires de Rabat , Marrakech.
17 août 2005 : Le Front Polisario remet le reste des prisonniers de guerre marocains au chef de la Commission des relations extérieures auprès du Congrès des USA, Richard Lugar, en sa qualité d’envoyé du président américain pour la région.
Octobre 2005 : Le peuple sahraoui célèbre le trentième anniversaire de l’unité nationale à Ain Bentili . La Quatrième Commission de décolonisation de l'ONU réitère à l'unanimité que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation. Le Parlement européen condamne le pillage des ressources naturelles sahraouies ainsi que les violations des droits de l'homme au Sahara occidental et appelle à adopter des positions contre le
Maroc pour qu’il se conformer à la légalité internationale. Le soulèvement dans les territoires occupés du Sahara Occidental se poursuit par des grèves de la faim dans les prisons de Okacha, Casablanca, Ait Melloul et Agadir (Maroc) et la Carcel Negra (Sahara occidental). Les étudiants sahraouis à El Aaiun et Smara rejettent l'hymne et le drapeau marocains.
30 octobre 2005 : Tombée du premier martyr de l'Intifada sous la torture , jeune sahraoui Lembarki Hamdi Mahjoub Salek , à El Aaiun , au milieu d'un mouvement populaire et une vague de condamnation contre le Maroc au Sahara occidental et dans le sud du Maroc .
4 novembre 2005 : Deuil et prière de l’absent dans les camps de réfugiés sahraouis en la mémoire du martyr Lembarki.
Juin 2007 : début d'un cycle de négociations sous les auspices de l'Organisation des Nations Unies en vertu de la recommandation du Conseil de sécurité.
Janvier 2009 : Le Front Polisario annonce la zone économique exclusive. Le Secrétaire général du Front Polisario déclare: "l'annonce est fondée sur le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à la souveraineté sur ses ressources naturelles", et a appelle l'UE à annuler ses accords de pêche signés avec le Maroc en 2006. Une délégation du Parlement européen visiter le Sahara occidental les 27-28 janvier 2009 et témoigne de la situation
des droits de l'homme dans les territoires sahraouis sous occupation marocaine.
Janvier 2009 : M. Christopher Ross nommé envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental suite à des consultations avec les parties.
5 avril 2009 : la télévision sahraouie lance ses émissions expérimentales sur Intelsat en parallèle avec ses émissions destinées aux camps de réfugiés.
10 octobre 2010 : Installation du camp de Gdeim Izik à l'est de la ville d'El Aaiun occupée par un groupe de Sahraouis pour protester contre leurs conditions politiques , économiques et sociales infligées par l'occupation marocaine à l’encontre des Sahraouis.
8 novembre 2010 : Les forces marocaines attaquent le camp et chassent les militants qui dormaient à l’intérieur des tentes et blessent des dizaines dont des femmes, des enfants et personnes âgées.
Décembre 2010 : Le Front Polisario tient son 13ème congrès qui porte le nom du Martyr Mahfoud Ali Baiba , sous le thème : "l’Etat sahraoui indépendant est la solution", marqué par la participation pour la première fois d'une délégation des territoires occupés , de 16 membres provenant des territoires occupés.
2013 Le Front Polisario annonce l’année 2013 comme année de commémoration du 40ème anniversaire de sa fondation et le déclenchement de la lutte armée.
16 février 2013 : 16 peines d'emprisonnement à vie, vingt à trente ans d'emprisonnement prononcée contre le groupe 25 Gdim Izik par le tribunal militaire marocain à Salé.
17 février 2013 : Le Secrétariat national du Front Polisario a tenu une réunion d'urgence pour discuter de l'impact des verdicts injustes prononcés le groupe de Gdeim Izik. Le Front Polisario examine le procès et le qualifie " d'escalade et de provocation".
11 avril 2013 : Ban Ki- moon exprime dans son rapport la préoccupation du Conseil de sécurité sur la situation des droits de l'homme se détériore dans les territoires occupés du Sahara Occidental.
18 avril 2013 : Les Etats-Unis proposent pour la première fois une initiative visant à élargir les pouvoirs de la MINURSO à la protection des droits de l’homme au Sahara occidental. Le Front Polisario salue cette initiative, en dépit de son retrait de l'avant-projet. Le Conseil de sécurité réitère son soutien au droit à l'autodétermination et souligne la nécessité d'améliorer la situation des droits de l'homme. Le centre Robert F. Kennedy appelle à des
visites mensuelles dans les territoires occupés. Le Président de la République adresse une lettre à Ban Ki -moon, dans laquelle il lui réitère son appel pour que l'Organisation des Nations Unies assume sa responsabilité à assurer la protection et la surveillance des droits de l' homme au Sahara occidental.
4 mai 2013 : La ville d'El Aaiun occupée a connu la plus grande manifestation depuis 1975 contre l'occupation marocaine. La RASD participe au 50e anniversaire de l'Union africaine à Addis Abéba durant lequel les leaders du Sahara occidental ont été honorés, à l’instar d’El Ouali Moustapha Sayed, Sidi Brahim Bassiri et l’activiste des droits humains et ex prisonnière, Aminetou Haidar.

 

ET 02
Traduit de l’anglais/ Premier triomphe sahraoui au Sahara-Marathon 2018
-Lehsen Sidahmed et Inma Zanoguera, deux histoires émouvantes du peuple sahraoui.
Le Marathon du Sahara est la course de solidarité par excellence. Des milliers de coureurs du monde entier l'ont traversé au cours des dix-huit dernières années; beaucoup d'entre eux coureurs populaires, d'autres athlètes illustres tels que Martín Fiz, Abel Antón, Giorgio Calcaterra et beaucoup d'autres. Tous sont partis avec le même objectif de montrer leur soutien au peuple sahraoui en exil et d'apporter une aide humanitaire dans les camps.
Cependant, dans son histoire, une page aussi belle et excitante que celle de cette édition de 2018 manquait, une page dans laquelle la vie des deux lauréats explique très bien la souffrance de ce peuple au cours des 42 dernières années.
Inmaculada Zanoguera est majorquine. Son nom est déjà écrit dans l'histoire du sport espagnol, car entre autres choses, elle est championne d'Europe de basket-ball U-20 avec l'équipe nationale espagnole.
Cependant, elle a maintenant décidé de laisser derrière elle son brillant pas de la NCAA américaine et son triomphe de panier, d'aller dans les camps sahraouis de Tindouf à la recherche de ses racines. Sa mère était sahraouie et elle a été adoptée par une famille des Baléares. Plus tard, elle a voyagé aux États-Unis avec une bourse pour jouer au basketball et maintenant elle continue d'étudier là-bas. Elle a récemment découvert ses origines et a décidé de voyager à la recherche du passé de sa mère disparue, et le faire avec un défi, parcourir les 42 kilomètres qui séparent le camp d'El Aaiun à Smara. Et elle l'a bien fait, avec une victoire bien méritée mais une longue souffrance au Marathon du Sahara. L'Italienne Graziani l’a secondé, plus loin. La joie d'Inma Zanoguera, malgré ses souffrances dans les nombreux kilomètres, était énorme en raison de la part symbolique et émotionnelle que la victoire implique.
Un SAHROUI DE TOLEDO - Lehsen Sidahmed est un Sahraoui, il est né dans les camps de Tindouf comme beaucoup de jeunes de plusieurs générations nés en exil. Quand il n'était qu'un enfant, il a participé au programme Vacances en Paix et a voyagé en été en Espagne où il a été accueilli par une famille solidaire de la ville de Velada à Tolède. L'année suivante, en 2001, il est resté en Espagne et réside toujours à La Mancha, en train d'installer du parquet et du parquet dans les maisons. L'année dernière, il a voyagé aux camps pour tenter sa chance dans le marathon de son pays et a obtenu une brillante quatrième place qui a servi à fixer un objectif clair, de remporter la course l'année suivante. Et ainsi il l'a fait. En 2018, après une
bonne planification, il est arrivé dans la dernière semaine de février en parfait état et a commencé dès le début prêt à imposer son rythme et à gagner. Au début, il a pris un bon rythme et est parti avec le Basque Jon Salvador, deux fois vainqueur de cette course, mais quand il a passé le 15ème kilomètre il a vu qu'il pouvait aller plus vite et a décidé de partir seul jusqu'à la fin. Ce n'était pas facile parce que les cinq derniers kilomètres qu'il a fait avec de sérieux problèmes dans les jumeaux, ce qui lui a fait perdre un peu de l'avantage accumulé. Malgré tout, il a gagné avec plus de 10 minutes sur Erandio et 14 sur le Seddiki algérien.
Le test de cette année avait une signification toute particulière car le peuple sahraoui a vécu 42 ans au milieu du désert algérien et l'organisation a fait un parallèle entre les 42 ans de souffrance de la population locale et les 42 kilomètres de distance du marathon. Plus de 500 coureurs de 23 pays différents ont participé à cette course. Des essais d'autres distances comme le semi-marathon ont également eu lieu, avec des victoires de l'Algérien Mohamed Bouremana et de la Française Véronique Le Moing; 10 km, avec la victoire du héros local Amaidan Salah et de l'Espagnole Maria Luisa Guillen; et 5 km, où ils ont remporté l'Algérien Fardjallah Hicchem et la française Anne Marie Rebray.
Le désert algérien a été teinté de solidarité dans une journée un peu désagréable, avec beaucoup de vent et même de pluie, mais cela n'a pas empêché de voir une édition émouvante de cette course qui coïncide avec la fête nationale sahraouie le 27 février sera le point culminant de la cérémonie de remise des prix du Sahara Marathon 2018, où deux nouveaux héros de la résistance sahraouie seront couronnés.

Remerciements

1

Nous remercions par ce récit de voyage
l’ensemble des personnes qui nous ont fait
découvrir les sahraouis et un peu de leur
histoire et tout d’abord
Les CE qui nous ont proposés par
l’intermédiaire de l’UCSF de participer à cet
événement humanitaire et sportif
Spéciale dédicace à Liptait
A toutes les personnes rencontrées au camp de SMARA
-CER de Normandie
-CE Maintenance et Travaux
-CER Tours
-CE Fret
-CE PACA
-CE Réseau IDF

 

 

2

3

    

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ainsi que l’USCF

 

 

 

 

 

 

A toutes les personnes rencontrées au camp de SMARA

4Spéciale dédicace à Liptait


ET 03

Sans titre

Nous sommes 6 à participer à cette aventure humaine et aller rencontrer les sahraouis,
Véronique, Joël, Christine, Cyril, Philippe et Corinne qui accueille le groupe à l’aéroport et
petit détail nous remet nos passeports.

Vol Paris —> Alger

6


Le vol pour ALGER est prévu à 13h mais on décollera avec 2 heures de retard, le temps de remplacer une sonde de température, c’est l’annonce faite par le commandant de bord.
Malgré ce retard, le temps de récupération de nos bagages, le racolage pour le
change que l’on fera au final de façon officielle à l’aéroport international il reste
néanmoins quelques heures avant notre vol pour TINDOUF.

 

 

 

 

 

 

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Une pause diner autour d’une pizza « locale »
à l’aéroport National nous permet d’attendre jusqu’à 23h.
Même si l’accueil a été très sympathique Il faudra penser à ne pas renouveler l’expérience au retour.



On imaginait un peu plus de chaleur mais il fait 9°C.

 

Vol Alger —> Tindouf
Arrivée à 2h du matin. Le temps de remplir les formalités Algériennes et Sahraouies et récupérer les bagages, on sort de l’aéroport 1 heure après. Il y a c’est sûr une organisation en place pour l’évènement du Marathon des groupes sont attendus.

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Un bus avec l’indication MARATHON SAHARA
est stationné juste devant et c’est ainsi que l’on continue notre voyage avec un groupe d’espagnol
bien bruyant. C’est un ancien bus de ville.

 


II est 3h30 et c’est parti pour environ 1h30 de route poussiéreuse et en convoi, escorté par la police Algérienne jusqu’au check point, puis le Front Polisario prend le relai.

                      
                                                                             Nos bagages suivent dans un camion

 

 

 


5h15, on pense être arrivé mais on nous dirige vers un minibus pour entrer dans le camp de SMARA. On se retrouve à la mairie sans trop comprendre la situation, les échanges sont difficiles, on observe juste les personnes qui nous accueillent discutant entre elles ou passant quelques coups de fil.

 

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Un peu plus tard, une femme arrive, c’est Liptait. Elle nous
conduit dans sa famille et on se pose dans la maison de sa mère Jlass, notre hébergement pour notre séjour. Une pièce, le sol est recouvert de tapis et des matelas disposés le long des murs font office de lit, 5 matelas et une pile de couverture pour le 6ème.
Enfin à l’horizontal, dans nos sac de couchage, il est 6h45 du matin.

 

 

 

 



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11On occupe donc la maison (en terre) de la grand-mère qui logera pendant notre séjour avec sa fille et ses petits enfants dans la tente verte à gauche.
La maison de Liptait est en cours de construction (avec des parpaings) dans la cour. Elle nous la montrera avec fierté et plaisir lors du séjour.


A noter que l’électricité arrive jusqu’à la maison tout comme l’eau (presque courante) – voir plus loin notre salle de bain à ciel ouvert

 

 

 


Vers 9h on entend des enfants, ils sont réveillés depuis un moment, la porte de notre maison s’ouvre mais trop tôt pour nous.
On bougera vers 10h.

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Liptait amène le petit déjeuner (thé, café, pain et Vache qui rit) que l’on partage avec les enfants, ceux de Liptait + leurs cousins.
Premier vrai contact avec notre famille.

 

 

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Ensuite elle prépare le thé. Il est très sucré, sans menthe. Tout se passe dans l’espace unique de la maison. Il est plus de midi et l’on prend notre 3eme thé.




Une petite ballade nous ferait du bien, on part se dégourdir les jambes et découvrir le camp sans trop s’éloigner de la maison, le déjeuner étant prévu à 14h.

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De retour, le repas est prêt. Tortilla pour les végétariens (Joel et Christine) et ragoût de chameau pour les autres avec des frites et une banane pour finir. Une petite sieste s’impose compte tenu de notre courte nuit. Ensuite quelques pas mais pas très loin, il est 16h30 et c’est de nouveau le thé.

 

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Puis repérage des lieux liés à la course qui a lieu le lundi, le protocole et l’arche d’arrivée.


Les enfants nous accompagnent, ils le feront quasiment à chacun de nos déplacements dans le village.

 

 

 

 

 

 

 


Allez c’est le moment de les présenter. Il y a Manman, la petite dernière coquine et tellement craquante puis
Bousola, le seul garçon qui parait sage dans sa tenue d’écolier mais est un peu turbulent et ensuite Beda et Telei,
2 filles ravissantes et souriantes.

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On découvre les commerces de toutes sortes, comme les vendeurs d’essence ……….

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8h, le ciel est bien dégagé, il fait doux. Liptait apporte le petit déjeuner.
Le ciel se couvre un peu, le vent se lève mais la température commence à monter.
Le petit déjeuner terminé, on débarrasse, on passe l’aspirateur (un ramasse miettes en forme de lapin mais les
rouleaux ne sont plus là) et c’est nickel. Ensuite le rituel du thé. On est juste avec Liptait, les enfants sont à l’école
puis sa mère et sa cousine nous rejoignent. Les échanges se font en espagnol mais la compréhension est limitée
compte tenu de nos niveaux que ce soit dans le groupe ou dans la famille. On avait compris qu’un guide /
interprète français devait être présent mais en attendant on se débrouille.
Un petit brin de toilette dans notre salle de bain à ciel ouvert.
L’eau arrive d’un puit commun à plusieurs maisons par un tuyau d’arrosage jusque dans la cour de la maison. Elle
permet de remplir des récipients destinés par exemple aux toilettes.

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On avait demandé la veille s’il était possible de visiter l’école des enfants. Liptait nous y emmène.

 

 

 

 

 

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Sur le trajet qui longe les enclos à chèvres on discute un peu (en espagnol).
Chaque enclos appartient à une famille, celui de Liptait se trouve près de la maison,
on le verra au retour.

 

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Droite



Il y a aussi quelques chameaux, destinés si l’on a bien compris à être consommé.

 

 

 

 


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En approchant de l’école
on aperçoit les enfants dehors,
ils répètent pour le défilé
qui aura lieu mardi pour
la fête nationale.

 



La visite de l’école avait 2 objectifs, découvrir un peu plus leur environnement de vie et remette a la directrice
l’ensemble des stylos cahiers ramenés de France.


Pour le programme de cette journée, Liptait nous avait parlé du « mercadillo » (marché) et de costumes mais sans
vraiment que l’on en comprenne le sens. On était bien sûr intéressés par cette visite en sa compagnie mais on
n’avait pas du tout imaginé ce qui allait se passer.

 

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Liptait entre dans une boutique et échange avec le commerçant qui sort des tenues traditionnelles (longue tunique appelée DERÂA et portée avec un pantalon). On finit par comprendre que Liptait offre
ces tenues traditionnelles aux 3 garçons, situation gênante pour nous occidentaux peu habitués à un tel accueil. Il n’y a plus qu’à choisir la couleur, bleu ou blanc.

 

 

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2eme boutique cette fois pour les 3 filles. Liptait propose de choisir chacune une couleur d’un tissu « fleuri ». Les filles porteront donc la MELHFA pour la fête nationale et les garçons la DERÂA.

 

 

 

 

 

 

 



Retour à la maison pour un déjeuner rapide avant de nous rendre à l’école des sports pour le retrait des dossards.
Joel et Philippe sur le Marathon, Christine, Véronique et Cyril sur le semi et Corinne sur le 10km.


Revenus à la maison, c’est le rituel du thé et l’on repart pour la conférence/ briefing d’avant course.
Au retour, le thé est prévu mais avant, Liptait a préparé une « pâte d’henné » pour une teinture des mains.
Elle commence par Corinne, puis ce sera Veronique et Christine. On observe tous les gestes, les sourires
s’échangent entre nous, les enfants, Liptait et sa cousine Fatimadsou que nous ne voyons pas pour la 1 ère fois.


Revenons au Henné.

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D’abord il faut délimiter la zone à teindre avec un scotch qui entoure chaque doigt en le positionnant à 1 cm sous la racine de l’ongle.

 

 

 

 

 

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Ensuite il faut envelopper l’extrémité de chaque doigt d’une
épaisseur de pâte puis emballer le tout avec des bandelettes
(découpées dans un sac plastique). Fatimadsou aide Liptait
pour cette dernière étape.

 

 

 

 

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Il n’y a plus qu’à patienter le temps de pose 1h30. Le thé se prépare et comme toujours c’est un moment particulier et quand les enfants sont là, c’est bien animé.

 

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Ca y est on déballe les doigts mais ce n’est pas fini,
il faudra positionner nos mains au-dessus des braises avant
de retirer le tout.

 

 

 

 

 

 

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Le résultat n’est pas discret avec notre regard d’occidentaux et durera 2 /3 semaines mais nous avons tous apprécié ce moment
malgré le peu de mots échangés.

 

 

 

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C’est l’heure de diner. Le guide qui devait nous accueillir à l’aéroport passe se présenter.
Il s’appelle Asmara.

 

 

 

 





Avant de se coucher (tard malgré la course du lendemain) on explique ou plutôt on tente d’expliquer à Liptait que l’on ne prendra ni le petit déjeuner ni le déjeuner du lendemain compte tenu de la course.

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A 6h30 le réveil sonne pour les 2 marathoniens Joel et Philippe.

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Un bus part à 8h00 pour les emmener sur le lieu de départ à EL AYOUNN mais avant, à 7h le petit déjeuner est prévu dans la salle du club.

 




Pour les autres le petit déjeuner est à partir de 9h15. La nuit peut se prolonger mais à 7h30, toc-toc à la porte.
Liptait nous apporte thé, café, pain et on n’a pas d’autres choix que de se lever. On n’a pas dû se faire comprendre hier soir ☺

 



Le 2ème groupe se prépare et c’est parti vers le protocole. Le bus pour emmener les coureurs au départ du semi ou 10km est à 10h15. Ils partiront avec 1 heure de retard mais ils profiteront de l’ambiance. Il fait bon mais le vent commence à se lever et il y aura même quelques gouttes de pluie.

 

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En arrivant à AUSERD, point de départ du semi, ils voient passer les 1ers coureurs du Marathon. Une belle ambiance, beaucoup de femmes et des enfants qui encouragent les marathoniens à leur passage à mi-course.


Mais des messages rappellent que ce n’est pas une course comme les autres

 

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Départ du semi annoncé dans 1 mn et c’est parti, chacun a
son rythme, le principal est d’être là.


Comme annoncé lors du briefing, du 21ème au 31ème km du
marathon (soit du départ au 10ème km du semi), c’est dunes
et sable mais c’est magique. Des encouragements,
quelques mots avec des Espagnols, nombreux sur
l’évènement, des Algériens, des Français….

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Des ravitaillements positionnés tous les 2,5 à 3 km,
des points visuels plus rapprochés indispensables en cas de visibilité réduite et des indications kilométriques moins fréquentes mais suffisantes, sans oublier la présence de 4x4 le long du parcours qui assurent la sécurité.

 

 




Ravitaillement

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La vie continue le long du parcours

 

 

 

 

 

 

 

 

 


A 4 km de l’arrivée SMARA apparait, les enfants se font plus nombreux sur cette fin de parcours, c’est super au début mais un peu décevant quand ils commencent à demander ce que l’on porte, camel-back, buff voire montre.


C’est enfin l’arrivée, une belle émotion, peut-être pour certains accompagnée d’une petite larme.
Un joli partage cette course, environ 500 coureurs de 23 nationalités participent. On n’est pas là pour le chrono mais chacun a fait sa course et une arrivée avec le sourire pour tous.
Allez, une douche au gymnase, même froide ça fait du bien et le groupe retrouve le chemin de la maison où Liptait prépare le thé.


Puis petit tour dans le secteur des boutiques découvert la veille. On a un objectif, trouver la crème AICHA utilisée
par Liptait pour hydrater les doigts après la coloration… facile ☺ on en prend 4 dont 1 pour Liptait.
On a appris de notre guide que les produits alimentaires sont peu variés et qu’en ce moment par exemple les
lentilles manquent. On en trouve au marché, un petit achat de plus pour Liptait.


Sur le retour on tente de trouver les résultats de la course, pour confirmer la 1ére place de Véronique sur le semi
mais il faudra attendre le lendemain.


Puis par curiosité et avoir une idée des prix locaux on pousse la porte du Supermarché à l’enseigne « Carrefour ».
Les prix sont incroyablement élevés, il s’agit de prix en « peseta sahraouie » (10000 Pesetas = 500 Dinars = 2,5 € ) mais même après conversion les prix nous paressent encore élevés comparés au niveau de vie des sahraouis.
Retour vers 19h, un thé est proposé par Jlass (mère de Liptait) sous la tente bien que ce soit l’heure de la prière.
Diner 2 heures plus tard et c’est à nouveau le thé que nous prenons en compagnie de notre guide.


C’est notre 1er vraie discussion pour en apprendre un peu plus sur les sahraouis.

Les sahraouis sont dépendant en grande partie de l’aide alimentaire internationale distribuée par l’UNHCR (Haut commissariat aux réfugiés des Nations Unies). De plus cette aide est en baisse par rapport aux besoins d’une population en augmentation.
L’électricité est arrivée il y a environ 2 ans. Cette évolution a amené évidemment un confort pour tous les habitants des camps mais aussi des risques notamment pour les enfants. Une sensibilisation à la sécurité et aux risques électriques va être déployée par des retraités de l’EDF.
Le mari de Liptait est absent comme beaucoup d’hommes. Ils travaillent en France ou en Espagne comme le mari de Liptait.


On se donne RDV le lendemain à 9h30 pour se rendre ensemble à la fête Nationale.


Il est minuit, on transforme notre espace en mode nuit comme chaque soir. Une journée bien remplie

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C’est le jour de la fête nationale. Réveil autour de 8h. Le petit déjeuner arrive à 8h30 et nous le prolongeons en prenant le thé préparé par Jlass sous la tente. Il est 9h30 mais notre guide n’est pas là.


Liptait nous rappelle que nous devons nous préparer et mettre nos tenues traditionnelles.

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A 10h notre guide appelle pour nous informer qu’il nous attend sur le site de la fête.
Tout le monde est prêt les enfants aussi. Liptait porte une Melhfa noire. Fatimatsou se joint à nous.

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Au lieu d’y aller à pied comme on pensait, on monte tous dans le 4x4 d’un voisin. Il nous dépose près du lieu des festivités.

 

 

 

 



Il y a un monde fou, on ne retrouve pas notre guide mais Liptait « négocie » et nous fait entrer dans l’espace « VIP » afin d’assister de plus près à l’évènement. Elle reste à l’extérieur. On tente de se trouver une place pour assister au défilé.

Les garçons semblent bien à l’aise dans leurs belles tenues mais les filles ont des petits soucis avec leur Melhfa notamment pour la maintenir sur la tête, heureusement Beda est là.

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Après les différents discours le défilé commence, un défilé civil. Les écoles, les métiers sont représentés. Des
hommes, des femmes, des enfants et une palette de costumes et couleurs.

 

 

 

 

 

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Une fois le défilé terminé on se retrouve tous pour le trajet retour et prendre le thé pour patienter jusqu’au déjeuner, couscous au menu.


D’autres évènements ont lieu dans l’après-midi. D’abord un match de foot autour de 17h, on assiste au début
avant de rejoindre le lieu de remise des récompenses du Marathon.

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Le terrain de foot est tracé très approximativement.

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Certains joueurs n’ont pas de chaussures (juste des chaussettes), mais cela n’empêche pas que ce match ait lieu et sérieusement avec la
présence d’arbitres officiels d’Alger.

 

 

 

 

 

 

 

 


La remise des récompenses prévue à 18h de fait attendre. Il est 19h et les discours commencent, en sahraoui, en espagnol et en anglais.
Les résultats sont annoncés et pour le podium féminin du semi on est tous prêts à applaudir la 1ére place de Véronique.
Un joli trophée à rapporter.

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Retour vers 20h15. Comme d’habitude on commence par le thé. C’est le
moment que l’on choisit pour remettre à Liptait les cadeaux non
alimentaires et payer le montant de notre hébergement.

 


Diner à 22h puis thé et dodo.
Le RDV est fixé à 9h le lendemain avec notre guide.

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On se lève vers 8h, le petit déjeuner arrive rapidement. Comme tous les repas en dehors du 1er nous restons entre nous.

 

 

 

 

 

 

 



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Et à 9h on décolle en 4x4 direction AUSERD (rappel : Lieu de départ du 21km).


Au préalable passage par le protocole pour que notre chauffeur retire ce que l’on pense être un laisser passer.
On et 8, notre groupe, le chauffeur et le guide.

 

 

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Avant d’arriver à AUSERD, 1er arrêt, visite de la « bibliothèque » française ou « école française »
où enseigne notre guide. Aujourd’hui et depuis 2008 le français est enseigné à l’école à partir de l’âge de 12 ans et pendant 4 ans. Cette bibliothèque permet aux enfants notamment pendant les vacances d’été de commencer l’apprentissage de cette langue indispensable pour des études supérieures à ALGER.

 

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2éme étape, l’école pour enfants handicapés. Une dizaine d’enfants et 8 personnes employées (dont 1 directrice et 5 enseignants).


Les cours sont donnés le matin dans cet établissement et se poursuivent l’après-midi dans une école « classique » après le déjeuner pris sur
place.

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A El AYOUN, visite de la fabrique de céramique où les médailles de la course ont été fabriquées et achat de souvenirs.

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Puis le marché, principalement textile et accessoire.


Rien de très local, les articles proviennent de chine, inde …… et l’on trouvera un ramasse miette pour remplacer celui de Liptait certes plus efficace mais moins sympathique que le lapin ☺ que l’on n’a pas trouvé malgré le nombre de boutiques visitées et l’aide de notre guide.

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Sur la route du retour, arrêt à l’hôpital National Sahraoui
avec visite guidée par une responsable des lieux.
Cet hôpital est dédié principalement aux consultations et accouchements. Il y a aussi l’hôpital Algérien de TINDOUF
Des dispensaires sont également installés dans les camps.

 

 

 

 


On rentre à SMARA pour le déjeuner

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Puis BOUJDOUR pour celui de l’artisanat qui s’avère être d’abord une boutique d’artisanat puis un musée mais plus sur la préhistoire.


De retour à SMARA, il est 19h, on passe par les boutiques de la rue commerçante pour des derniers achats (bijoux).
On parle de chèche et notre guide nous emmène dans une boutique où il se vend au mètre. (120 Dinar le mètre et 2m suffisent).
On est tous intéressés pour ramener ce petit morceau de textile même si la provenance est loin d’être locale contrairement aux bijoux que l’on espère être réalisés par les sahraouis.
Chacun choisit sa couleur et notre guide nous les offre.
Connaissant le cout et le niveau de vie des sahraouis la situation est gênante et l’on a déjà connu ça lors de l’achat des tenues traditionnelles par Liptait.

A 20h il fait nuit et il est temps de rentrer.

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Là comme chaque fois, le thé précède le diner. Moment qui nous permet de remettre à Liptait le reste des cadeaux, alimentaires cette fois (on nous avait conseillé de les donner en fin de séjour pour qu’ils ne soient pas utilisés pour nous)
Dernière soirée a SMARA.
Nous avons partagé des moments simples et malgré la difficulté de la langue, on peut parler de complicité que ce soit avec les adultes ou les enfants qui ont été très présents.

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Réveil à 5h30. Il faut terminer nos sacs.


Sans doute pour rendre les choses plus faciles nous disons au revoir juste à Liptait, les enfants ne sont pas réveillés et nous ne verrons pas Jlass qui la veille avait dit que nous devions rester plus longtemps.

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Nous prenons la route jusqu’au point de rassemblement avant de partir en convoi comme à l’aller jusqu’à TINDOUF.

 

 

 

 

 

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Aéroport de TINDOUF

 

 




A ALGER changement d’Aéroport, du National vers l’International. Nombreux contrôles qui démarrent dès l’accès,
on y déjeune avant de prendre l’avion pour PARIS.

 

 

CHOUKRANE

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21 octobre 2017

ANDALOUSIE 2017

 

 

 

Départ ORLY 17h30

 

Arrivée à 21h

 

 

 

En arrivant vers 21h à l’adresse de notre location proche de la place de la Merced, on appelle la propriétaire. En fait elle n’habite pas Malaga et c’est la personne qui s’occupe du ménage qui doit nous accueillir, elle doit donc la contacter. Moyen l’accueil quand même surtout qu’on l’avait informée de notre heure d’arrivée. On attend donc la personne dans la rue…
Oups ça circule, on craint que l’appartement donne sur cette rue !!!  Elle arrive 15mn plus tard et nous montre l’appartement rapidement. Joliment décoré mais il donne sur la rue et l’équipement de la cuisine est plutôt sommaire.

Il est temps d’aller diner. On choisit un restaurant végétarien El Calafate trouvé sur internet et cité aussi sur le Lonely.
Super, Migas au menu, mais vue l’heure tardive il ne leur en reste plus… Vue notre déception il nous en offre une petite coupelle pour accompagner notre première caňa du séjour.

 

On n’est pas encore «équipés» pour le petit déjeuner. L’appartement non plus d’ailleurs, il manque pas mal d’ustensiles et notamment une théière ou autre récipient pouvant faire office de.

En achetant du pain on demande s’il n’y aurait pas une boutique bio dans le quartier. Malgré les explications on demandera une 2eme fois avant de la trouver. Il n’est pas 10h et évidemment elle est encore fermée. L’occasion de prendre un café accompagné d’un pan con tomate juste en face pour notre petit déjeuner.

Dès l’ouverture on y est, c’est plutôt un bon plan, pain, légumes, fruits, on trouve tout ce dont on a besoin et on y reviendra. (El Cambio, Calle Carreteria 39)

De retour à l’appartement on déjeunera à l’intérieur faute de parasol sur la terrasse.

Ensuite on se posera sur la plage et baignade en fin d’après–midi.

Sur le trajet retour vers l’appartement on investira dans une théière et une rappe à légumes (boutique chinoise) en se disant qu’elles nous serviront à Capileira ou à Séville.

 

On a tout ce qu’il faut pour le petit déjeuner que l’on prend sur la terrasse.

Ce sont les journées mondiales de la culture (on l’a appris la veille en prenant des renseignements sur la ville) du coup on entre gratuitement à l’ALCAZABA. On ne fera pas le Théâtre Romain.

 

 

 

On avait anticipé une éventuelle forte fréquentation du site en arrivant tôt, on est quasi les 1ers et on visitera le château tranquillement dans le calme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On continue par le Castillo de Gibralfaro.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Malgré le point de vue sur la cathédrale, la vision d’en haut ne donne pas que de belles images de Malaga, les arènes sont entourées d’immeubles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite visite rapide de la Cathédrale et ballade dans les rues.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On renouvelle le petit déjeuner sur la terrasse.

Départ avec nos valises et sacs. On est un peu chargés quand même  avec les légumes et fruits achetés à Malaga. Une bonne balade à pied jusqu’à la gare (45 mn) pour récupérer la voiture chez GOLDCAR.

Comme d’habitude ça prend du temps notamment à cause des assurances qu’ils nous proposent et que l’on refuse à chaque fois.

 

 

 

A 12h30 on prend la route. 

 

 

 

 

 

 



1ère étape, déjeuner pique-nique sur la route juste avant d’arriver (Los Tablones) avec une salade de quinoa préparée la veille.

2ème étape ORGIVA. Les férias commencent aujourd’hui et il est indispensable de récupérer le programme des 4 jours de fêtes. En prenant un verre au «Viejo Molino » notre bar-resto préféré, on photographie les pages du programme à disposition.

Oups ! En commandant notre caňa on oublie de préciser que l’on est végétarien, ce qui nous vaux un petit reproche de la serveuse qui repart avec les tapas. Elle reviendra avec une assiette de grosses frites accompagnée de pain et d'aïoli.

Allez on continue vers CAPILEIRA. On a prévenu Paqui ne notre arrivée vers 17h pour récupérer les clefs.

On s’installe rapidement et comme d’habitude on part faire nos achats : vin local exceptionnel, tartinade pour l’apéro, fromage.

Une boutique avec des produits bio s’est installée depuis 6 mois. Pauvre en légumes et fruits mais pour le pain et les céréales, bien pratique.
Le jardin de maria est ouvert, on en profite pour acheter des légumes et des figues que Joël cueille avec elle.

On a repéré des affiches qui annoncent un concert pour le soir même et on décide d’y aller avant le diner.

Concert de guitare par les élèves et leur prof dans la salle des fêtes.

 

 

 

 

 

 

 

 

Diner en intérieur, il fait un peu frais le soir quand même à 1500m.

 

Après le petit déjeuner, petite mise en jambe sur le circuit de la CEBADILLA (8 km de chemin et 400m de D+ en un peu plus d’1 heure et en mode course à pied).

ORGIVA est à 30 mn de voiture, on part vers 12h. On a sélectionné 2 événements pour cet après-midi

La CARRERA  de Cinta en Bicicleta  « la course des rubans à bicyclette» qui commence à 13h et est destinée aux enfants. Pour le principe c’est le même que celle à cheval et les photos l’illustrent bien.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite la CARRERA de Tacones  « la course en talons » à 18h. C’est la 1ére édition et les participants sont peu nombreux, 2 hommes et 3 femmes. Il y des prix pour les 3 premiers dans chaque catégorie (100€ pour le premier quand même  …)

 

 

 

On regrette de ne pas être équipés et on se dit que l’année prochaine on y sera.

 

Il faudra prévoir des talons > 7cm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entre les 2 courses on fera une pause déjeuner au Viejo Molino avec Aubergines au miel et légumes grillés. On en profite pour se faire offrir des chapeaux comme il y a 2 ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

                 Et on se balade, il fait beau,

 

il y a beaucoup de bruit (musique un peu partout),

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les femmes et les filles ont sorti leur superbe robe de fête.

 

 

 

 

 

 

 

 


De retour à CAPILEIRA direction notre bar préféré El Atroje. D’ailleurs on ne lui fera aucune infidélité durant notre séjour à CAPI pas même le jour de fermeture le mardi.

 

 

 

 

 

On n’a pas le temps de préciser que l’on est végétarien, ils se souviennent de nous et nous demande juste une confirmation. On n’est pas totalement étranger, ça fait plaisir.

Et ils ont toujours leur vin bio de la région…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après le petit déjeuner, petite mise en jambe sur route mais comme ici rien n’est plat on commencera par monter 3km (un peu plus pour Joël) et redescendre, le tout en 30mn avec 200m de D+ quand même.

On part vers 12h. Programme chargé, on a sélectionné 5 événements pour cet après-midi.

La CARRERA de Cinta a Caballo  « la course des rubans» mais à cheval cette fois commence  à 13h. Le lieu est différent de la dernière fois et moins sympa.

 

 

 

A 14h HUEVOS Fritos con Ajos « œufs frits avec ail », une spécialité proposée gratuitement à tous.

On avait découvert ce plat l’an dernier et on voulait tester de nouveau.
Là encore le lieu a changé, c’est un grand espace couvert. 
On se débrouille bien, on est servi dans les 1er, 2 œufs avec ail, le tout accompagné d’un morceau de pain.
On passe par le bar pour une bière.

 

 

A 14h30 au même endroit doit avoir lieu le 1er CONCURSO International de Comer Huevos .

Il est + de 14h30 et a priori il manque des participants, le speaker fait des annonces pour recruter.

 Joël propose à Christine de l’inscrire et même si elle le pensait, ce n’était pas une plaisanterie.

 

 

Ca y est, il est inscrit, il n’y a plus qu’à attendre le lancement officiel du concours. Pour info le 1er prix est  un jambon, on serait bien embêté avec ce prix.

 

Avec du retard ça commence, les inscrits s’installent d’un côté de la grande table et de l’autre les « officiels ». Les participants enfilent LE Tee-shirt et bière et eau sont amenés. Puis les assiettes d’œufs, 7 au départ et plus si demande.

 

 

 

 

Entre ceux qui dégustent 2 ou 3 œufs et ceux qui iront jusqu’à en engloutir + d’une vingtaine, Joel se situe au milieu avec 3 œufs de + que l’assiette initiale soit 10 + ceux dégustés à 14h. 

Le tout dans une ambiance de folie inimaginable au début. C’est sans doute cette ambiance + un enterrement de vie de garçon qui lancera une seconde série.

 

 

 

 

Pause déjeuner, ah non pas vraiment. La salade de quinoa que l’on avait préparée attendra le repas du soir. On prend juste un thé avec une pâtisserie en terrasse de La Tahona de Los Galindos, qui fait bar et boulangerie.

 

 

 

 

17h Défilé de char et Batucada

          ça fait du bruit tout ça.

 

 

 

 

 

18h30 Espectacula Musical que l’on devine être pour enfant compte tenu du gouter qui est prévu pour eux au même endroit. Plein de couleur et de jolies robes pour les petites filles.

 

 

 

Un petit verre al Viejo molino.
Le vin est plutôt décevant mais la tapa plutôt bien présentée.
La salade de quinoa fera office de diner.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

21h ACTUACION de Miguel Angel Martinez y su cuadro Flamenco.

Très beau moment musical en extérieur.

 

 

 

 

Pas de programme pour cette journée mais on chaussera néanmoins les baskets pour une nouvelle CEBADILLA .

Pour rappel c’est juste une rando en mode trail de 8km avec 400 m de D+ que l’on bouclera en 1h04 et 1h07.

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Faut bien compenser avec nos apéros tapas au bar El ATROJE ;-)

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Levé 7h Pfff !!  Il fait nuit et un peu frais quand même mais le ciel est dégagé. La ville est juste éclairée par les réverbères.

On part en voiture jusqu’à la HOYA del PORTILLO (environ 2100 m d’altitude), point de départ de la rando à ½ heure de route.

A 9h on démarre. Toujours très peu de randonneurs sur ce parcours, et ceux que l’on croise sont partis de « el Refugio de Poqueira » ou d’un autre point.

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Cette année les chèvres sauvages se montrent.

 

 

 

 

 

 

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En 3h30 environ on atteint le sommet. Les bâtons (une nouveauté cette année) sont bien appréciables, en plus de permettre au haut du corps de travailler.

 

 

 

 

 

 

 

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Quelques photos et on attaque la descente.

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On trouve un coin calme à l’abri du vent pour une pause grignote et c’est reparti. Quelques nuages s’invitent mais pas de pluie.

Arrivée à la voiture à 16h. Soit 6h de randonnée (+ 1 heure de pause) pour les 25 km A/R et 1400 m de D+ et à CAPILEIRA ½ heure plus tard.

Après une douche suivie d’un thé au soleil sur la terrasse, nous voilà requinqués.

On prépare le repas du soir et le déjeuner du lendemain (tortilla sin huevo et tomate).

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Un petit apéro s’impose, direction El ATROJE.
Un petit verre de vin de la zona et comme tapa, c’est toujours une petite surprise, œuf sur tranche de pain avec tomate.

 

 

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Pas de réveil ce matin, dommage qu’un chien ait aboyé vers les 4 heures du mat.
Il semble que la population canine soit en augmentation avec son lot d’inconvénient que l’on trouve habituellement en ville.

Malgré l’heure plus tardive, il est 8h30, il fait un peu frais pour un petit déjeuner en terrasse.

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Départ vers PAMPANEIRA par les chemins au départ de CAPI.

Circuit que l’on a déjà fait mais comme la dernière fois, les indications ne sont pas précises et on tâtonne un peu.

 

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<- Vue sur CAPILEIRA

 

 

 

 

 

1h45 après on arrive à PAMPANEIRA. Pour info par la route il y a 5 km.

Le temps de faire quelques boutiques et on se pose dans un petit bar en terrasse pour une caňa (bière pression) et tapa.

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Et quelle tapa ! une énorme pomme de terre avec aïoli.

 

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Bien tentés par une 2ème tournée, la serveuse nous demande si l’on mange du fromage. On aurait bien repris une patate mais la tradition veut qu’il y ait la primera, la secunda …

Notre secunda sera composée de fromage et tomate.

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Petite pause déjeuner avec la tortilla préparée la veille accompagnée de tomates de chez Maria.


Il faut bien rentrer, via Bubion, on mettra une bonne heure.

 

 

 

 

 


Thé sur la terrasse ensoleillée et Joël repart pour un petit footing.

Normalement El Atroje est fermé le mardi, dans le doute on y va quand même.

C’est bien le mardi le jour de fermeture, on restera devant en terrasse pour profiter du wifi.

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Dur dur le réveil à 7h !! Il ne faut pas partir tard vers Trevelez (altitude 1500 m) à 25km, point de départ de la randonnée.

En arrivant, pas rassurée, Christine cherche à se renseigner sur la météo du jour, après un bar on atterrira à la mairie avec un accueil très sympa. A priori le beau temps devrait se maintenir. 

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A 9h25 on démarre.

 

 

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TREVELEZ à 3,6 km

SIETE LAGUNAS à 4,4 km

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Le terrain n’est pas vraiment facile, l’ascension sera lente.

 

 

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On atteindra le sommet en 4h30 (11,3 km avec 1900m de D+)

 

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On profite d’une éclaircie pour admirer la vue.

 

 

 

 

 




On sera de retour à 18h20 soit 9 heures plus tard (8 heures + 1 heure de pause).

Le retour n’a pas été simple même si on était content de l’avoir fait. A noter que la dernière fois on n’avait pas trouvé le chemin à partir de 7 lagunas pour aller jusqu’au bout.

Sur le parcours quelques échanges avec 2 israéliens de Tel-Aviv d’abord croisé au niveau de 7 lagunas que l’on a dépanné avec des pansements puis quasiment au sommet avec un local qui nous a doublé avec une facilité !!! Il est vrai qu’il avait parcouru moins de distance mais il était impressionnant ! Il était Guide.

Arrivée tard à CAPI et bien fatigués.

Joel prépare les salades de quinoa pour le déjeuner du lendemain.

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C’est  jour de marché à ORGIVA.  En plus des produits habituels (fruits, légumes….) on y trouve des stands de fripes ainsi que des produits proposés par la communauté hippie principalement anglaise qui s’est installée dans la région.
Marché sympa à refaire mais en arrivant plus tôt surtout pour les fripes.

On a trainée au marché, on démarre la randonnée tard. Il fait chaud.
Le point de départ est juste à la sortie du village.

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C’est une boucle, la montée est plutôt sympa mais la descente se fera sur une piste poussiéreuse heureusement peu empruntée par les voitures.

 

 

 

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On trouve un endroit à mi-parcours pour notre pause déjeuner à l’ombre et un peu à l’écart du chemin principal.

 

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Voulant profiter d’être à ORGIVA pour acheter des légumes bio au marché couvert on traine jusqu’à 17h30, heure habituelle d’ouverture des commerçants mais pour rien, ce marché n’est ouvert que le matin.

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On se console au bar « el viejo molino » avec une caňa + Aceitunas.

 

 

 

 

 

Retour à CAPILEIRA.

On espère toujours voir Maria dans son jardin mais ce ne sera encore pas pour cette fois.

 

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Soirée tranquille à la maison avec jus de carottes en apéritif.

 

 

 

 

 

 

 

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Journée de repos, sauf pour Joel qui fera le circuit de la CEBADILLA en courant sans s’arrêter. Objectif atteint et en 54 mn.

On a  prévu pour cette journée annoncée comme la plus chaude de déjeuner à PAMPANEIRA, trajet que l’on fera en voiture. Ben oui, c’est repos !

On flâne un peu dans les rues et on s’installe au EL LAGAR, bar découvert mardi. 

Pour démarrer on prend un verre accompagné de tapa, super c’est la même que mardi, patate au four et aïoli.

Puis on passe commande, 1 plat de migas et 1 tortilla de espinacas.  La serveuse nous prévient que les assiettes sont copieuses mais on maintient les 2 plats et l’on ne laissera rien.
On termine vers 15h bien repus.

Retour à CAPILEIRA , il fait trop chaud pour prendre un thé sur la terrasse. 

 

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Pas de contrainte ce matin. On a prévu de faire le circuit « Acequias de POQUERA » au départ de Capileira (19 km).

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Départ 10h.
Cette rando mène jusqu’à 2100m mais on aura bien chaud sur tout le parcours que l’on bouclera en moins de 6 heures pauses comprises.

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                                                                         Le VELETA à 3400m (fait l’année dernière)

 

 

 

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A 16h thé sur la terrasse.

 

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A 19h30 on est dans notre bar préféré El Atroje  pour notre apéro habituel Vino de la Zona y tapa.

 

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1 heure après on remet ça, ce n’était pas prévu mais le patron à qui on a annoncé que l’on partait le lendemain nous offre un 2éme verre de vin et comme la tradition le veut, accompagné d’une tapa.
La 2eme tapa sera bien généreuse comme le patron.

 

 

 

 

C’est encore plus dur de se dire que l’on quitte Capileira et on en a presque la larme à l’œil.

Allez faut y aller, de retour à la maison on se prépare 1 autre apéro, jus de carotte et oui parfois il faut savoir ne pas abuser !

Petit diner et on va se coucher

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Réveil 7h. Il faut finir les bagages, ranger un peu et rendre la voiture avant 12h à Malaga.

Dernier jour à Capileira que l’on quitte vers 9h. En passant, on accroche un mot sur le portail d’accès au jardin de Maria que l’on regrette ne pas avoir vue avant notre départ. Nous n'avons vu Maria et sa fille Mari Carmen qu’une seule fois au final, le jour de notre arrivée le jeudi 29/09. On s’en est inquiété mais ayant vu parfois le portail ouvert (sans que l’on puisse s’arrêter) on s’est dit que l’on ne venait  pas à la bonne heure.

Trajet cool jusqu’à Malaga. A 11h45 la voiture est rendue et l’on se pose à la terrasse d’un bar proche de la gare pour 1 café ou thé con pan y tomate… On adore.

On a le temps, notre train part à 14h. On décide d’aller faire un tour dans les boutiques de la gare. Mauvaise idée, le dimanche tout est fermé sauf les bars. On finira dans la salle d’attente et au cien montaditos pour un verre avant de partir.

2 heures de trajet, pendant lesquelles on prendra notre déjeuné. 16h10 on arrive en gare de Santa Justa puis bus pour rejoindre le centre de Séville. On finit à pied, traversée du Quadalquivir par le pont Isabel II (ou pont de Triana) et oui cette année on voulait séjourner dans ce quartier qui devient un peu bobo peut-être.

Carmen nous accueille au 15 de la calle Fabi. L’appartement est au 2eme étage mais les escaliers sont étroits et les valises lourdes. Il est superbe, il y a 2 terrasses, une petite accessible par le salon, une plus importante accessible par un escalier raide et étroit. De plus on est plutôt confiant pour le côté calme, la rue étant petite. Bon sur ce coup on s’est un peu trompé (même si c’était largement vivable), on ne se saura pas pourquoi autant de voitures empreintent cette calle.

Allez on va faire un petit tour du quartier et repérer les endroits conseillés par Carmen. On choisit un bar pas conseillé mais rempli de locaux le Santa Ana. On ne pourra malheureusement pas picorer de tapa, la cuisine n’ouvrant qu’à 20h30 (et il est 20h). Ah oui ici la tapa n’est pas offerte avec le verre.

A noter qu’un bar «l’Antigua » conseillé par CARMEN n’ouvrait qu’à 20h alors qu’on le croyait fermé le dimanche. Il fallait juste le savoir.

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De retour à l’appartement on inaugure la terrasse du bas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Petit déjeuner sur la terrasse du haut. Il est vrai qu’il faut tout monter par l’étroit escalier mais ça vaut le coup, cette terrasse est bien agréable et il fait doux.

 

 

 

 

 

On file à l’office du tourisme pour récupérer quelques infos et définir un peu notre programme jusqu’à vendredi.

On a ce qu’il faut comme infos pour les musées, les bus pour CARMONA, le marché aux puces ….par contre pour la fête nationale le 12/10 ça n’est pas très clair concernant ce qui est fermé ou pas.

On en profite pour faire quelques courses chez GAIA mais peu de choix, on est lundi et ils n’ont pas été livrés, on devra y retourner. 

Retour à l’appartement, déjeuner sur la terrasse du bas, il fait trop chaud en haut. Vues les températures, autour de 35°, on fera la pause espagnole de 14 à 17h30.

Vers 18h on va se balader et aux alentours de 20h15 on se dirige vers l’ANTIGUA, bar conseillé par Carmen et aussi cité au Lonely.  Nous sommes les 1ers clients mais ça ne va pas durer et les autres sont plutôt des touristes.

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Habitués aux apéros de El ATROJE à CAPI,
on est un peu déçu des vins et du rapport qualité/prix.

 

On s’est laissé guider par le patron et l’on a  testé 2 vins. 

                  

 

 

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           Retour et diner sur la terrasse du bas.

 

 

 

 

 

 

 

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Réveil à 7h. Pour se rendre à Carmona il faut prendre le bus N104 qui ne passe pas toutes les 10 mn.

1 bonne heure de route après 40 mn de marche de l’appart à l’arrêt de bus.

Passage au bureau touristique pour avoir au minimum un plan et ballade dans la vieille ville.

« À 30 minutes de Séville, sur une hauteur appelée la Vega del Corbónes, et face à l'un des points de vue les plus spectaculaires d'Andalousie, s'élève l'une des villes les plus anciennes de la province de Séville et d'Andalousie, Carmona. Avec plus de 5 000 ans d'histoire, elle a été façonnée par de nombreuses civilisations qui lui ont laissé un héritage qui surprendra le visiteur à plus d'un titre. »

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Visite de l’église.

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Sur les conseils du « Lonely » on décide d’aller au Parador.

 

 

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On prend un café ou thé avec Pan con tomate à la terrasse.

 

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Petite ballade jusqu’à la porte de Seville...

 

 

 

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Pause  en terrasse d’un bar qui semble «plus » sympathique et authentique (on est dans une ville touristique). Bon on a connu mieux.

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Puis déjeuner à l’ombre sur un banc à l’extérieur de la vieille ville (on avait préparé notre repas la veille).

 

 

 

 

On poursuit jusqu’au cimetière romain avant de reprendre le bus retour de 16h30.

« À la limite sud-ouest de Carmona se trouvent les vestiges d’une “cité des morts” romaine. Une douzaine de sépultures familiales y furent taillées dans la roche aux Ier et IIe siècles. Certaines sont très élaborées et comptent de multiples salles. La crémation était alors courante, et les parois des tombes sont pourvues de niches en pierre destinées aux urnes funéraires. Vous pouvez entrer dans l’immense Tumba de Servilia, tombeau d’une puissante famille hispano-romaine, ainsi que dans plusieurs autres sépultures. Le site comprend un intéressant musée présentant des objets découverts dans les tombes. »

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Retour vers le centre pour reprendre le bus de retour à 16h30.

 

Arrivés à Séville on fait un détour par Gaia pour le plein de légumes avant de rentrer à l’appart.

20h il fait encore chaud mais un footing s’impose (toujours lancé par Joël). 6km suffiront ce soir.

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On prépare le diner qui sera pris sur la terrasse du bas faute de lumière sur celle du haut mais on y prendra l’apéro à la lueur d’une bougie.

 

 

 

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Réveil encore ce matin pour prendre le bus de 9h05 de l’autre côté du pont Isabel II. Direction « Fashion Outlet » à 40 mn. Du changement dans les horaires et la desserte depuis notre dernier séjour. L’arrêt de bus est proche du pont Isabel II…

On déambule dans ce centre de 10h à 13h, plutôt calme. Résultat peu d’achat. Il est vrai que le jour à ne pas rater est le dernier jeudi du mois avec des rabais supérieurs.

Retour vers 14h dans le centre de Séville et déjeuner dans un des restos de la chaine « 100 Montaditos » près de la cathédrale.58

 

Le principe de petits sandwich réalisés à la demande et que l’on va chercher à l’appel de son prénom est plutôt sympathique même s’il ne faut pas en abuser.

Lieu très fréquenté et par toutes les tranches d’âge, on ne s’y arrête pas que pour manger, la pinte à 1€50 attire toute une clientèle.

 

 

 

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Re-shopping dans les boutiques des rues commerçantes et oui c’est la journée, en même temps on pensait qu’une majorité serait fermée le lendemain, jour de fête nationale.

 

 

Il fait chaud, il est temps de rentrer au frais à l’appart.

 

 

 

 

 

 

Joel toujours motivé pour courir propose un footing le long du Guadalquivir. Christine pas motivée comme d’hab mais c’est bien de bouger un peu...

A 19h30 Runnings aux pieds c’est parti. Il y a une belle lumière mais les appareils photo sont restés à l’appart.  Environ 50 mn le long du fleuve et on n’est pas les seuls. Les jambes sont lourdes quand même.

De retour il faut préparer le diner et l’on profite encore de la terrasse.

Pour continuer la soirée on avait prévu d’aller chez ANSELMA  mais coup de barre pour Christine à l’idée de sortir à 23h30 pour rentrer à 3h du mat. On reporte au lendemain.

Allez DODO !

 

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A 9h on est dehors, petit déjeuner sur la terrasse, il fait doux.

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est le jour du « Rastro » marché aux puces. On se dirige vers la Calle Feria près de l’Alemada Hercules. Une fois dans la rue on ne voit rien et l’on demande à une commerçante qui nous indique que le marché n’a lieu que sur une partie de la rue et au début.

En fait on connait ce marché  pour l’avoir fait lors d’une de nos 1ères visites en Espagne mais on l’avait oublié tout comme ce quartier qui regorge de boutique un peu atypiques.

On se dit qu’il faudra y retourner en dehors du jeudi pour profiter des boutiques 2nd main et de la vie de ce quartier.

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Avant de rentrer à l’appartement  pour préparer le déjeuner on fait un petit détour pour une pause apéro tapa dans notre quartier. La rue principale du quartier TRIANA dans le prolongement du pont Isabel II ne nous inspire pas, un bar dans une rue perpendiculaire « Casa Diego » (calle Alfareria) nous attire, il semble moins touristique et en plus aujourd’hui il y a des Espinacas con Garbanzos (Epinards avec pois chiches)  en plus de la carte.   

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Vers 17h30, on tente une sortie même s’il fait encore bien chaud !  Direction le parc Maria Luisa.

 

Comme chaque année à la même époque c’est le festival des nations avec ses stands d’artisanat, de spécialités culinaires (la France est représentée par la Bretagne et ses crêpes) et des spectacles.

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Ce soir à 19h30 c’est un spectacle de Flamenco qui est à l’affiche, chant, danse et guitare. Très beau spectacle en plein air.

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Retour vers 21 h à l’appartement  et diner sur la terrasse du haut. La lampe de chevet nous sert d’éclairage.

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23h30, c’est l’heure d’aller chez ANSELMA qui ouvre en théorie à minuit. On n’est vraiment pas loin et arrivant 10 mn plus tard, on tombe sur une queue énorme compte tenu de la capacité du  lieu. En discutant on comprend que beaucoup ont déjà réservé (on ne savait pas que c’était possible) et les personnes dans la queue elles n’ont pas réservées. Oups ! On se dit que ce n’est pas gagné.

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A plus de minuit  les portes ne sont toujours pas ouvertes. Certaines personnes se découragent, la queue diminue peu à peu. A l’arrivée  d’ANSELMA  seuls ceux qui ont réservé entre par la petite porte.

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Quand ANSELMA ouvre la porte principale pour les autres, ça discute, on ne comprend pas tout mais ça s’énerve un peu, faut dire qu’ANSELMA est un personnage et c’est LA Patronne.

 

 

 

 

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                  ANSELMA

 

 

Sans trop comprendre comment on arrive à entrer. Ouf ! On y est. Il est 00h45 et le spectacle a déjà commencé. Il faudra encore 15 mn pour que Christine se fraye un chemin jusqu’au bar, commande  et revienne avec 2 martini dry.  On y restera  jusqu’à 02h30, debout mais très content d’avoir vécu cette soirée.

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                                                                                                      LA SERVEUSE

 

 

 


On apprécie d’être à 2 pas de l’appartement. On a inutilement pris une petite veste pour la fraîcheur du soir, mais avec 35° en journée un tee-shirt suffit.


Presque 3h du mat, DODO !!

 

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Réveil à 8h30 après moins de 6 heures de sommeil .Vous pensez « ils ne sont pas bien quand même » mais on veut profiter de cette dernière journée, notre vol étant à 19h35.

On doit libérer l’appartement à 12h mais avant footing.

Dur-dur de chausser les running  mais la température est idéale. Le temps d’apprécier le reste de melon et à 8h45 on est parti pour une petite heure toujours sur ce même parcours le long du Guadalquivir.

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Retour à 9h45, douche et moment bien agréable sur la terrasse pour le petit déjeuner.

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Un peu de rangement, valises à préparer et à 12h on libère l’appartement et on dépose nos valises au rez de chaussée où on les récupérera à 16h.

La Botica de los Perfumes a déménagé du Centre vers Triana. On décide d’y aller puisque ce n'est pas très loin. C’était juste pour voir mais on en sortira avec 1 parfum chacun.

Finalement on n’avait pas pris le temps de découvrir les alentours. Sur le trajet on tombe sur une boutique bio et une boulangerie avec du pain bio. Serait-ce une tendance à Séville ?

On quitte Triana pour le centre. On a prévu de déjeuner dans le même bar qu’il y a 2 ans vers la cathédrale que l’on avait bien apprécié, tant pour l’ambiance que pour les tapas. C’est un peu tôt et il fait chaud  allez un apéro rapide à «100 Montaditos ». On arrive au bar vers 15h, c’est blindé, l’heure idéale doit être vers 16h. Pas de table disponible on restera debout au comptoir, c’est très bruyant, les tapas un peu trop grasses mais l’ambiance y est. On y retournera … Euh pas sûr ou alors pas avant 16h.

On récupère nos bagages et on part vers la Plaza de Armas, point de départ du bus AE pour l’aéroport.

Il y en a juste un qui part. Et 45 mn après on est à l’aéroport, avec de l’avance mais c’est mieux comme ça. Il faut qu’on se change de tenue avant de faire enregistrer nos bagages…

Pas de retard annoncé pour notre vol. On atterrira un peu avant 22 H à Orly. La température est plutôt est de 15°C, on s’attendait à pire.  

 

Malaga :
El Calafate : Calle Andres Perez 6                                      Restaurant Végétarien
La Huerta de Ceres : Alameda de Capuchinos 25             Magasin d’alimentation naturelle
Las Merchanas : Calle Mosquera                                       Restaurant Bar

 

Orgiva :
Meson El Viejo Molino : Av. Gonzalez Robles                   Restaurant
Marché couvert : Calle Coreo, Plaza de la Alpujarra         Alimentation bio (le matin)

Capileira :
Rincon del Jamon :Calle Pedro Antonio de Alarcon          Vin Fromage Tartinade
 ??????? : Calle Castillo                                                       Epicerie bio
Bodega El Atroje : Calle del Dr Castilla                              Taberna
Panaderia Horno de Lena : Calle Barranco de Poquera   Boulangerie Patisserie
J. Brown : Calle del Dr Castilla                                            Vêtements et accessoires en cuir

Pampaneira :
El Lagar :Calle Silencio 2                                                     Restaurant

Sevilla :
La Antigua Abaceria : Calle Pureza 12                              Restaurant de tapas
Bar santa Ana : Calle Pureza 82                                        Bar à tapas
Ecovegetariano Gaia : Calle Luis de Varga 4                    Epicerie Bio
Running Way : Calle Arjona                                                Magasin de Running / Trail
Sevilla Fashion Outlet :Poligono los Espartales, Autovia A4

Boutiques outlet.
Bus gratuits au départ de Seville.

100 Montaditos : Av. de la Constitution 9                           Restaurant.
Casa Diego : Calle Alfareria 5                                             Bar à tapas
Casa Anselma : Calle Pages del Corro 49                          Spectacle de Flamenco
La Botica de los Perfumes:calle Esperanza de Triana 9  Parfums discount
Biga : calle Evangelista 25                                                   Boulangerie avec pain bio
Bodega Santa Cruz : Calle Rodrigo Caro 1A                     Bar à tapas

15 octobre 2016

Capileira 2016

CAPILEIRA 2016
Du 24 Septembre au 02 Octobre
Capileira – Malaga

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Samedi 24/09/16 Paris - Malaga - Capileira

Départ de Belleville à 7h00. Métro + RER + Orlybus pour arriver à 8h00 à Orly Ouest d’ou part notre avion à destination de Malaga.
Notre avion n’étant pas arrivé à l’heure prévue de sa précédente destination nous décollerons avec 1h00 de retard de Paris, soit 11h00 au lieu de 10h.
Atterrissage à Malaga avec un retard de 45’ environ.
Nous avons réservé une voiture par Internet avant de partir et nous devons la récupérer chez Nizacars à l’aéroport.
En fait nous nous apercevons que le bureau de location ne se trouve pas dans l’enceinte de l’aéroport comme pour les grandes compagnies de location. Après renseignements pris auprès d’une personne dans le hall d’arrivée il nous faut prendre une navette, gratuite, de la société de location qui nous mènera à leur dépôt situé à proximité…
La fille de l’agence veut nous imposer une assurance complémentaire alors que nous pensons avoir pris la maximum dans notre réservation avec Autoescape…
Ensuite elle tente de nous imposer un forfait carburant et il nous faut l’intervention d’un client maîtrisant parfaitement le Français et l’Espagnol pour nous sortir d’un dialogue de sourds entre elle et nous.
Au final, la carte bancaire de Joël ne permettant pas la caution de 1000€ nécessaire nous partirons en ayant réglé un supplément de 128€…

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On branche le GPS et direction Orgiva ou nous avons prévu de faire une pause déjeuner.
On roule tranquille et nous arrivons sur place vers 17h00.
Le serveur du « Viejo Molino » (notre bar resto habituel)  nous indique qu’il ne peut pas nous servir à manger vu que le cuisto est en coupure.
Il nous indique, avec l’aide d’une cliente, une adresse dans la ville, le bar Baraka, ou nous pourrons manger végétarien.

 

 

 

 


Le lieu est investi par des clients comme resurgis des années post 68, très typiques de la bourgade.
La carte est pourvue en plats végétariens et l’on peut y manger à toute heure. Par contre la bière est décevante…
On prévient Paqui (notre contact à Capileira) de notre retard et on reprend la route.  On déposera enfin nos valises à Capileira vers 18h30 au 18 calle Cerezo.

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Détour par le jardin de Maria pour faire le plein de légumes frais et bio.   

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On ne change pas nos habitudes et on monte à notre boutique habituelle pour y acheter vin, fromage et pâté d’olive.       

 

 

 

 

 

 


Et pour continuer avec nos habitudes on se dirige vers la taberna « El Atroje » pour une première caña con tapa. Ce sera notre dîner…
Retour à la maison et au lit de bonne heure, dans le calme retrouvé.

Dimanche 25/09/16 Capileira.

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Après une nuit calme nous nous levons à 9h00.
Premier petit déjeuner sur la terrasse face aux montagnes juste avant que le soleil n’y arrive.
Ballade dans le village avec une pause par la boulangerie pour y acheter un gâteau.

 

 

 

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Juste à côté une enseigne nous interpelle, celle du bar « Magick ». Un lieu que nous n’avions jamais vu et qui s’annonce comme un bar atypique proposant des vêtements d’occasion, des expositions et des concerts dont un prévu vendredi soir.

 

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Nous croisons Paco  (del Servicio de interpretacion - bureau d’information montagne) malade et stressé car il y a pas mal de monde qui vient pour prendre le bus menant au mirador de Trevelez.
Retour à la maison et changement de tenue pour un footing sur le sentier de la Cebadilla.
Chute sans gravité de Christine sur une partie descendante du parcours.     

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Puis déjeuner sur la terrasse avec de bons légumes achetés à Maria.

 

 

 

 

 


Après une petite sieste on remonte au village pour faire les boutiques et Christine profite de l’ouverture du Magick pour essayer une robe. Malheureusement trop grande, mais qui nous permet de nous imprégner du lieu et découvrir la décoration ou presque tout est à vendre.
Un détour par le Servicio de interpretacion pour avoir des informations sur la météo et on se refait une pause à la bodega pour notre caña con tapa.
Dîner au calme après un apéro devant la télévision espagnole.

Lundi 26/09/16 Capileira.

Lever 8h00 après le passage d’un véhicule sous la fenêtre. On est lundi et les habitants ne sont pas en vacances.
Salutation au soleil et petit déjeuner sur la terrasse avant de monter au village pour y acheter du pain.     

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Puis départ pour Pampaneira, à pied par la montagne.
On se perd un peu pour rejoindre el puente del molino de Bubion et au final on met 2h00 pour descendre.    

 

 

 

 

 

 


Passage par l’office du tourisme pour y récupérer des informations sur les randonnées locales et sur la façon de se rendre au Veleta.    
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Déjeuner sur la terrasse supérieure de « la ruta del Mulhacen ». 
Etablissement que nous avions déjà fréquenté lors d’un précédent passage et qui propose une bonne carte avec, entre autre, des migas de pan en version végétarienne.  
Ballade dans les rues du village avec dégustation de chocolats un peu particuliers (poivre, piment, sel…) et découverte d’une boutique de bijoux originaux et pas forcément chers. 

 

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Retour sur Capileira en passant par Bubion, soit environ 10 Km de randonnée pour la journée.       

 

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Au passage Christine aperçoit un poncho pendu à la devanture d’une boutique : essayage. 
On s’arrête chez J Brown pour voir ce qu’il a comme sac à main, celui de Christine présentant des signes de fatigues. Elle ressortira avec un nouveau sac. 
Après une douche et un changement de tenue on remonte en « ville » pour acheter des cartes postales et des timbres et on en profite pour consulter nos mail en prenant une caña con tapa à El Atroje.

Mardi 27/09/16 Capileira.

Lever à 8h00, Salutation au soleil et petit déjeuner en terrasse.
Passage par la boulangerie et au marché pour acheter des chirimoyas, notre fruit préféré en Espagne.
Le bar Magick organise le mardi matin un vide grenier, mais les vêtements à vendre sont les mêmes que les autres jours…
Le jardin de Maria (83 ans) est ouvert à notre retour nous en profitons pour lui acheter des légumes frais.
On rencontre sa fille Marie Carmen qui connaît bien Anna Maria la propriétaire de la maison que nous aimons louer ici. Nous apprenons qu’elle est âgée de plus de 80 ans et qu’elle vient ici pour profiter du calme.
La visite durera environ 1h30…
Déjeuner à la maison avec des aubergines et tomates délicieuses. Hum ! ! ! 

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14h00, départ pour le monastère bouddhiste de Sel Ling (A/R environ 15 Km par la montagne).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Au passage nous nous apercevrons que le toit que l’on voit de la terrasse et que Joël prenait pour celui du temple n’est en fait que celui d’une cahute de surveillance de la vallée pour les feux de forêt.

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Vue sur Capileira

 

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Retour vers 19h00, douche et écriture des cartes postales avant de monter au village pour les poster et retirer de l’argent.


Pour la caña con tapa du jour ce sera au bar El Tilo situé sur la place vu que le mardi est jour de fermeture de notre bodega préférée.

Mercredi 28/09/16 Capileira - Veleta.

Lever à 6h00 avec le réveil.
Petit déjeuner à l’intérieur car il fait encore nuit et préparation des sacs à dos.
Départ à 7h30 pour Pradollano à environ 100 km, en passant par les faubourgs de Grenade.
Stationnement à la « Hoya de la Mora ».
10h00 on part pour une randonnée en direction du Veleta qui se trouve dans les nuages.
Une ballade un peu particulière car on peut accéder pratiquement au sommet en voiture ou en vélo ! ! !         

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On se perd un peu en voulant couper au plus court avant de prendre la piste pour finir en sécurité.
Et on finit par se faire doubler par un camion qui va remplir le réservoir d’eau des toilettes de la station de ski située au pied du sommet..
Montée de 7.6 Km réalisée en 2h18mn.

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Le sommet reste dans les nuages quand nous y parvenons.
Des ouvriers sont en train de supprimer une grande partie du béton qui avait été mis en place précédemment. Par chance pour nous ils font une pause quand nous y arrivons et nous profitons du silence qui nous entoure.   

 

 

 

 

 

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Nous redescendons un peu jusqu’à un refuge pour notre pause déjeuner, que nous ferons épiés par un oiseau qui guette nos gestes afin de récupérer le peu de miettes que nous ferons.      

 

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Nous entamons une descente rapide, avec quelques portions courues, dont une dans laquelle Christine chutera.
Au total nous aurons réalisé 15.2 Km en 3h50’ entre 2500 et 3400m d’altitude.
Au retour on fait une halte à Orgiva pour acheter du pain. Les boutiques sont fermées.
On se fait un bon thé avec gâteau en terrasse de notre maison avant de retourner sur Capileira et sa bodega pour notre caña con tapa du jour.

Jeudi 29/09/16 Capileira - Orgiva.

Journée détente après les efforts et le long déplacement en voiture de la veille. Lever à 9h00.
Petit déjeuner à l’intérieur à cause du vent qui souffle sur la vallée.
Départ pour Orgiva pour profiter du marché local, qui n’a malheureusement pas lieu à cause de la fête locale qui se déroule ce week-end…
On découvre une boutique bio dans le sous sol du marché. Un bon plan pour de futures visites.
On s’arrête prendre des informations dans une agence immobilière de la rue principale et pour acheter des Solpillos (spécialité de la région à base de meringue parfumée aux amandes).   

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Au retour on fait un détour par SOPORTUJAR, la citée des sorcières.        

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Déjeuner sur notre terrasse à la maison face à nos chères montagnes, plus une petite sieste.
On reprend la voiture pour descendre faire les boutiques à Pampaneira.
Au retour pause à Bubion et découverte de la « tisserane » Vendéenne installée ici depuis de nombreuses années qui nous explique son métier.
Au retour on monte à la bodega el Atroje pour un bon verre de vin bio tout en consultant nos mails.

Vendredi 30/09/16 Capileira - Mulhacen.

Réveil à 7h00 pour un lever à 7h15.
Petit déjeuner à l’intérieur, le jour n’étant pas encore levé.
Préparation des sacs pour la deuxième ascension de notre semaine de vacances.
Départ de la maison à 8h30 pour nous rendre à la porta del Portillo départ de notre randonnée pour le point culminant de la péninsule Ibérique.
9h10 nous sommes les premiers à quitter le parking en direction du sommet.  

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Des nuages sont présents pendant la montée, mais ils sont bien moins inquiétant que ceux que nous avions l’année passée pour nous accompagner.        

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On commence à rencontrer et à doubler des marcheurs après avoir passé le mirador de Trevelez, point d’arrêt du bus qui monte de Capileira.


Arrivés au sommet on se retrouve à une quinzaine de personnes pour profiter du point de vue.
3h06 d’ascension pour 14 Km entre 2140 et 3500m.
Les nuages sont là  avec du vent et il ne fait pas chaud. Quelques glaçons laissés par l’humidité ambiante et le vent nous accueillent.  

 

 

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Pause photos et pique-nique au sommet avant de se lancer dans une descente un peu plus rapide pour nous réchauffer (2h13). 
De retour à la maison on prend le temps de déguster un thé avec un morceau de gâteau en terrasse avant de préparer notre déjeuner du lendemain et nos valises. 
Passage par les boutiques locales pour acheter un poncho pour Christine et un tee-shirt local pour Joël. 
Dernier verre de vin bio avec tapas à la bodega El Atroje et détour par la boutique de J Brown pour que Christine sache comment faire disparaître des taches sur ses chaussures achetées en début de séjour. C’est simple comme un coup de gomme…
Dîner au calme à la maison pour finir les restes de légumes de Maria.

Samedi 01/10/16 Capileira - Malaga.

Réveil à 8h00, petit déjeuner à l’intérieur avant de finir de préparer nos valises.
Rangement de la maison avant de partir rendre les clés à Paqui.   

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10h15 nous quittons le parking. Au passage on croise Marie Carmen devant sa maison et on fait une courte pause pour la saluer.

 

 

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Direction Malaga pour la fin de notre séjour. On arrive vers 13h00 à l’appartement de Jennifer, loué sur Airbnb. Calle de la Victoria, à 2 pas de la Plaza Merced et des rues piétonnes.

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La rue est très passante. On se rabat sur le parking payant à son angle pour y laisser la voiture.
La bâtisse dans laquelle se trouve l’appartement (et notre chambre) est ancienne mais très calme et bien agencée.

 

 

 

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On fait la connaissance de Jennifer et de son compagnon et on se dirige vers le paséo de España  pour profiter de l’ombre et des bancs du parc pour notre pique-nique.

 

 

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Après-midi shopping pendant lequel Joël achète un pantalon qui servira pour un mariage prévu en 2017 et une chemise.

 

 



Petite pause dans notre chambre avant de retourner en ville pour la Botica de los Perfumes et El Corte Ingles.
Apéro à La Antigua Casa de Guardia, ou nous avions déjà fait un passage l’année dernière, avec du Malaga blanc.
Dîner à Las Merchanas blindée de monde en ce samedi soir, mais cet établissement nous avait laissé une très bonne impression un an auparavant.

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Retour à la casa.

Dimanche 02/10/16 Malaga - Paris

Lever vers 8h00, douche + bouclage des valises avant de nous rendre Compas de la Victoria, au même endroit que l’année précédente pour un « Pan con Tomate » accompagné d’un café.
Petite balade digestive dans le quartier ou nous découvrons de nombreux graffitis sur les murs.
Signe de la présence de nombreux artistes dans les petites ruelles éloignées des lieux hautement touristiques de la ville.

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Retour à l’appartement vers 10h30 pour récupérer nos bagages et saluer nos hôtes.
On récupère la voiture dans le parking souterrain et direction l’aéroport.
Après avoir fait le plein du réservoir on rend la voiture sans problèmes, et la société de location nous emmène à l’aéroport en minibus.
Nous sommes en avance pour notre embarquement et nous en profitons pour trainer un peu dans la zone de duty free.
Dégustation de « 43 », un alcool local dont nous achèterons 2 bouteilles, et de différents whisky.
Le déjeuner sera composé d’un sandwich et d’une mauvaise bière avant le départ à 14h30.

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Vol paisible avec un ciel dégagé pendant un long moment, ce qui nous permettra d’apercevoir la Gironde et les plages de Charente-Maritime vues d’en haut.

 

 

 

 

 


Atterrissage à Paris dans les nuages, on retrouve des températures de saison.
On est dimanche et la circulation est dense pour notre retour en bus vers Denfert Rochereau.
Fin de notre voyage en commun, Joël Prends le métro pour la gare Montparnasse et Le Mans, Christine le bus pour Belleville…

 

 

 

 

   
22 juillet 2016

Islande 06/2016

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19 juillet 2016

Andalousie 2015

ANDALOUSIE 2015
Du 23 Septembre au 11 Octobre
Séville – Capileira – Montejaque - Malaga

Page de garde



Dimanche 20/09/15 Paris - Séville
Lever de bonne heure, notre avion décollant à 9h30 de Charles de Gaulle.
Grande nouveauté cette année puisque nous partons à 3.
En effet nous avions décidé d’offrir à Herminie une semaine à Séville à l’occasion de ses 30 ans.
Métro + bus pour Roissy, embarquement sans soucis, et grande découverte pour Herminie qui n’a jamais pris l’avion.
Son baptême de l’air se déroulera bien, elle en a profité pour sympathiser avec son voisin, un bébé, pour qui la barrière de la langue n’existe pas, et c’est tant mieux car elle ne parle pas Espagnol.
A 12h00 nous descendons de l’avion à l’aéroport de Séville. Le temps de récupérer nos valises et nous prenons le bus en direction du centre ville.
L’appartement que nous avons loué, calle Verde, (le même que l’année dernière) ne sera libre qu’en début d’après midi, mais nous y passons quand même pour y déposer nos bagages. Le mari de Rosetta nous accueille.

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Premiers pas dans la ville pour trouver un restaurant. Nous déjeunons au Toro-toro, calle Mateos Gago, proche de la cathédrale.

 

 


Retour à la casa pour voir Rosetta et nous installer. Le décor n’a pas changé, et, bonne nouvelle, les travaux du bâtiment du coin de la rue sont terminés. On va pouvoir dormir tranquille le matin ! ! !
On repart en ville pour acheter du pain et du vin...
Au passage on se pose sur une terrasse proche de la calle Serpies pour une pause bière.


Petit détour au retour pour faire voir à Herminie la sculpture de la plaza de la Pescaderia, en mémoire de Clara Campoamor, pour sa contribution à la libération de la femme.
Détour par la gare pour y acheter nos billets de train pour Malaga.
Dîner sur la terrasse, et coucher tôt.



Lundi 21/09/15 Séville
Oups !! L’appartement juste en face est en travaux… ça craint pour la suite. Pour ce matin rien de méchant les ouvriers travaillant dans un « calme » relatif.
Après un petit déjeuner en terrasse, on part en ville, et plus précisément au Corte Ingles, pour y retirer nos dossard en vue de la Carrera del Guadalquivir qui aura lieu vendredi soir.
Ensuite on file à la boutique « Gaïa » acheter des fruits et légumes, pour le reste des courses ce sera au Corte Ingles de la plaza del Duque.
Retour pour déjeuner à la casa. Après une petite sieste on dresse le programme de la semaine sur Séville et on le propose à Herminie.5


Première étape de l’a-m, visite de l’église Santa Maria
La Blanca
qui se trouve dans le qua
rtier, et dont le guide « Lonely Planet » nous vante la beauté.

 

 

 

 

 

 

 

 


Malheureusement elle est fermée pour travaux… Il faudra y revenir l’année prochaine.
Passage obligé par l’office du tourisme histoire Après d’avoir les informations sur les horaires d’ouverture des musées et les spectacles à voir durant notre séjour.
Il commence à faire soif, on choisit une terrasse calle Tetuan pour une bière, puis on en profite pour faire les boutiques. Chaussures, et Women Secret (une découverte pour Herminie). Mais pas d’achat.

 

 

 

 

 




 

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Avant de rentrer on fait un détour pour faire découvrir à Herminie notre bar préféré, El Rinconcillo.

Los Espinacas con Garbanzos sont toujours aussi bons mais la Tortilla est décevante. On déguste le tout accompagné d’un vin Ribera del Duero au comptoir de ce magnifique bar.

 

 

 

 

 

 

 

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On rentre pour un dîner léger à la maison. Il faut bien équilibrer.

 

 

 

Mardi 22/09/15 Séville

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Lever à 8h00, une salutation au soleil sur la terrasse et départ
pour un footing de 45’ à jeùn sur les rives du Guadalquivir. 

 

Après 6,8 Km on rentre pour un petit déjeuner bien mérité mais accompagné des coups de marteau et autres nuisances liées aux travaux. Faut dire que l’on est aux 1ères loges, l’appart se situe juste en face et la rue fait 2 m de large, décidemment on est maudit avec cet appart …

 

Le but du jour est de visiter l’Alcazar ou la Cathédrale, on est indécis mais on opte au final pour  l’ALCAZAR superbe palais que seule Christine avait déjà vu.
Nous y resterons 3 heures à déambuler dans les différents espaces ouverts au public.

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Sur les conseils du « Lonely Planet » nous nous arrêtons pour déjeuner à la Bodega de Santa Cruz. Bien que près de lieux touristiques une bonne adresse à l’ambiance espagnole et très sympathique. Il est déjà 16h. Un large choix de tapas nous y est offert et à des prix plus que raisonnables.

 

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Changement de décor ensuite avec les boutiques de la calle Sierpes. Pause Thé et Churros à l’angle de la Plaza del Duque, on ne le fera qu’une fois faut pas abuser !!!
Nous continuons dans le quartier pour aller à la Botica de los Perfumes, calle San Eloy. Les commerces de la rue ont un peu changés, mais la Botica  est toujours à la même place.
Chacun repart avec un ou plusieurs flacons, mais au prix ou ils sont proposés il ne faut pas hésiter longtemps. Malheureusement certaines fragrances sont indisponibles, il faudra revenir pour en avoir. 

Retour à la casa pour le dîner.

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Première sortie nocturne, avec l’incontournable soirée chez Anselma.

C’est à pied que nous nous rendons dans le quartier de Triana. L’endroit n’est toujours pas signalé, mais quand nous arrivons sur place vers 23h45 il y a déjà du monde sur le trottoir.
A minuit pile la maîtresse des lieux arrive, et la porte s’ouvre.

 

 

 

 

 

 

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Etant dans les premiers à entrer nous pouvons choisir de bonnes places, au premier rang, presque en face des musiciens.

Après quelques soucis pour faire comprendre que nous voulons boire des « Martini-gin », le spectacle commence.

 

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Petite déception pour Christine, le chanteur n’est pas celui que nous avions déjà vu en cet endroit.

Une superbe ambiance, un chanteur magnifique, des sevillanas et ANSELMA . Que du bonheur.

Retour vers 2h30 à la  casa. Une belle et longue journée
Au final la soirée sera bonne entre musique chant et danse, et nous repartirons avec un CD du chanteur et du guitariste.

 

 

 

 

 

 

Mercredi 23/09/15 Séville.

Pas de grasse matinée possible à cause des travaux de l’autre coté de la rue…mais faut rester Zen (pas facile).
Il fait toujours un grand soleil et nous rageons de ne pouvoir profiter du calme de la terrasse.
Christine part faire quelques courses, il nous manque des légumes.

Nous retournons à La Botica de los Perfumes pour y récupérer des parfums qui n’étaient pas disponibles lors de notre précédent passage et après avoir déambulé en ville, nous rentrons déjeuner à la maison et au calme ( la journée doit s’arrêter vers 15h pour les ouvriers)

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Visite de la Casa de Pilatos (gratuite le mercredi) pour y admirer les azuleros, les plafonds et autres sculptures. A voir mais il est vrai qu’après l’Alcazar difficile d’être conquis.

 

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Il va falloir que l’on perce le mystère de ce tableau de la femme a barbe.

 

 

 

 

 

 

 

 


Encore une adresse récupérée sur le guide pour une pause, la Teteria du Hammam (de los banos arabos ). Encore une mauvaise surprise, si le hammam fonctionne toujours, la teteria est fermée depuis 2 ans. Nous nous rabattons sur le bar « La Estrella », dans une petite rue calme. Très déçus du service, et du tinto de verano en bouteille…

Retour dans les rues commerçantes pour qu’Herminie se trouve un éventail.
Au retour on tente un établissement conseillé par les guides : Los Coloniales.
En fin de compte le vin y est moyen pour le prix, les aubergines frites ont un fort goût de poisson et le pain est facturé bien que non consommé, on repart avec, par principe.
Lieu a mettre en liste noire.

Dîner à la casa, la terrasse étant calme le soir ! ! !

A 5 minutes à pied se trouve la Carboneria. Nous décidons  de nous y rendre pour écouter un peu de musique.
Et nouvelle déception en arrivant, la scène a été changée de place, rendant la vue plus difficile pour les clients. C’est dommage car ce soir il y avait un danseur.

Du coup on ne reste même pas boire un verre. Très déçus  surtout Joël et Christine (Herminie et son tel ne doivent pas se souvenir d’y être allés)  et on rentre se coucher tôt.

Jeudi 24/09/15 Séville.

Toujours les travaux en face pour nous réveiller.
Ce qui ne nous empêche quand même pas de faire notre salutation au soleil et notre petit déjeuner en terrasse.

 

Au programme du jour un tour près de l’aéroport pour les boutiques Outlet.
On prend le bus à 10h00 près du parc du Prado.

 

Comme d’habitude il y a beaucoup de monde devant la porte quand nous arrivons, même si les boutiques ne sont pas encore ouvertes.
On en ressortira 2 heures plus tard avec 1 pantalon Lefties pour Herminie et un pantalon Stradivarius + une paire de chaussures de course à pied "Nike" pour Christine.

Retour sur Séville.
Déjeuner au 100 Montadidos (chaine bien représentée à SEVILLE et à faire une fois pour le concept) proche de la cathédrale.

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Visite de l’ancienne manufacture des tabacs, qui abrite maintenant l’université, et qui a servi de décor pour Carmen de Bizet… Impressionnant bâtiment, le 2° plus grand d’Espagne.

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Comme chaque année à la même période, un village des nations est installé dans le parc  du Prado.

Nous y passons faire un tour, et Herminie en ressortira avec une superbe combinaison dos nu orange et jaune.

Ensuite nous continuons par le parc Maria Luisa et sa Plaza de America.
La visite du musée des Arts et Costumes Populaires est gratuite à cette heure, alors nous en profitons. Ce pavillon de style Mudéjar érigé en 1929 dans le cadre de l’exposition universelle présente une collection de maquettes d’ateliers de divers métiers locaux et de costumes de fêtes.

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Passage obligé par la Plaza de España sur le chemin du retour.

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Encore sur les conseils du "Lonely-Planet" nous avons décidé de nous faire un apéritif sur la terrasse du 17, bar situé sur le toit de l’hôtel Doña Maria.

La vue sur la cathédrale est la meilleure de la ville et le coucher de soleil magnifique. Et pour couronner l’ensemble, les vins sont de bonne qualité.

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Retour pour un dîner à la maison, sur notre terrasse avec vue sur les travaux…

 

 

 

 

Vendredi 25/09/15 Séville.

Toujours les travaux au réveil, mais rien ne peut nous empêcher de prendre notre petit-déjeuner en terrasse.

 Visite de Triana, de jour, pour y découvrir l’église Santa Ana, les quais du Guadalquivir et le marché couvert.

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Déjeuner en terrasse de la rue piétonne San Jacinto, dans un bar à Tapas. On prend quoi ? difficile de se mettre d’accord… Il y a des jours comme ça ou la simplicité n’est pas au rdv. Allez vin pour tout le monde. 
La bouteille de vin n’était peu être pas une bonne idée vu que l’on court ce soir, mais il faut bien vivre.

On passe sur l’autre rive pour les boutiques, Oysho et Corte Ingles.

Retour à la maison pour un thé en terrasse et un dîner léger, mais tôt et au calme.

20h45 nous partons tous les 3  en tenue de course (Tee-Shirt orange et dossard épinglé) pour nous rendre sur la zone de départ de la Carrera. Le cajon 4 (notre sas) est mal indiqué, un peu de tension non nécessaire qui passera vite.

On se place dans le SAS, pas trop loin de la ligne et on profite à fond de l’ambiance qui règne, même si on ne comprend pas tout ce qu’ils annoncent à la sono et si on ne connaît pas le succès à la mode repris en chœur par nos collègues coureurs.
22h00, le coup de pistolet du starter retenti dans la nuit Sévillane, relayé par la sono. Les 22000 coureurs sont lachés.

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Joël mettra environ 38’ pour faire les 8,5 Km, Christine 45’ avec ses nouvelles Nike oranges assorties au tee-shirt de la course et Herminie 57’.
Et toujours beaucoup de spectateurs sur les bords des avenues empruntées.

S’en suit l’inévitable cohue pour récupérer une bouteille d’eau et encore plus pour la bière offerte (Cruzcampo Sin Alcool) par un partenaire de l’organisation et qui fait du bien.

 


Petite déception, cette année la zone d’arrivée n’est pas située sur la Plaza de España.
Le temps de rentrer à la maison et de prendre une douche, il est environ 1 heure lorsque nous nous couchons.

Samedi 26/09/15 Séville - Malaga - Capileira.

 

Le réveil sonne à 4h00, pour que Joël emmène Herminie prendre le bus pour l’aéroport ou l’attend l’avion (6h45) de son retour vers Bordeaux.

 

Retour au lit vers 4h45.

 

Re réveil à 6h45, on se lève en mode « Zombie » , rangement des valises et de l’appartement et dernier petit déjeuner en terrasse, étonnement calme ce matin… Mais ils ne travaillent peut être pas le week-end.
8h45 on quitte la casa pour se rendre à la gare de la RENFE Santa Justa.
Notre train pour Malaga part à 9h20.
Après 2 contrôles des billets et un passage de nos bagages au détecteur nous embarquons.

On arrive un peu en avance à destination et on se rend
compte immédiatement de la présence de Picasso 32
dans cette ville, grâce aux décors de la gare.

 

 

 

 

 

 


Petit souci pour récupérer la voiture que nous avions réservé par internet avant de partir de France.
Nous n’avons pas le nom de l’agence de location, juste son numéro de téléphone. Après un coup de fil on trouve le bureau dans le hall de la gare et on récupère nos clefs de voiture, non sans avoir refusé quelques offres de changement de modèle, ou d’assurance complémentaire…
(En plein scandale Volswagen, on roulera en Golf)
Après un tour détaillé du véhicule pour s’assurer que tout est correct, nous branchons le GPS et cap sur Capileira.

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En cours de route on se fait une pause déjeuner à Orgiva, au Vieux Moulin.
Au menu : Aubergines au miel de Caña et plat de légumes grillés (Aubergine – courgettes – tomate - poivron rouge – pimientos – pomme – ananas - oignon).
L’adresse est toujours aussi bonne et le cadre sympathique.

 

 

Arrivée à Capileira vers 16h30, on se rend chez Paqui pour y récupérer les clefs de la maison d’Ana Maria.

On dépose nos bagages et on sort faire quelques achats (vin, vino añero pour notre apéro quotidien , fromage et pâté d’olive) et prendre les informations météo auprès de Paco, au centre d’informations pour avoir une idée ce qui nous attend. C’est pas le top mais en montagne tout est possible. Ca nous fait du bien de nous retrouver ici 3 ans après notre dernier séjour, même si on perd 12°C  et qu’on gagne des nuages dans le ciel.

On reprend nos marques dans la maison qui n’a que peu changée, mis à part une nouvelle plaque de cuisson électrique.
Le séjour s’annonce reposant.

Diner à l’intérieur et coucher tôt pour récupérer de notre dernière nuit…

Dimanche 27/09/15 Capileira.

 

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Nuit très calme et reposante après une journée un peu fatigante avec le lever tôt et la route en voiture pour venir jusqu’ici.
Nous profitons du soleil pour effectuer une « salutation au soleil » et prendre notre petit déjeuner en terrasse, face à la montagne.

 

 

 


Promenade en ville pour profiter du calme de ce dimanche matin,bienvenu après l’agitation de Séville.
Après un déjeuner sur la terrasse de la maison, nous partons en Rando-trail sur le « Sendero de la Cebadilla ». Parcours de 7,3 Km que nous ferons en 1h03’, en prenant le temps de faire quelques pauses photos.

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Nous repartons pour le village après la douche pour avoir des informations météo concernant la semaine et établir notre programme de randonnées.
Le centre d’informations est fermé lorsque nous y arrivons, mais nous croisons Paco qui sort du bar « la Bodega ». Pour lui la journée du lundi sera belle et donc propice à une sortie en montagne.
Alors pour commencer se sera cap sur le Mulhacen, plus haut sommet de la péninsule Ibérique avec ses 3479m.

Avant de rentrer on s’arrête à la Bodega pour un verre de vin et des Tapas. Pour les végétariens c’est fromage… Mais l’accueil est sympathique, il n’y a que très peu de touriste ce soir à Capi.

Apéro local au vino añero et dîner à la maison, avant de se coucher tôt, la journée de demain va être sportive et le départ de bonne heure pour en profiter au maximum.

Lundi 28/09/15 Capileira - Mulhacen.

Réveil à 7h45 et salutation au soleil sur la terrasse, mais sans l’astre dont les rayons n’atteignent pas encore notre espace.
Petit déjeuner à l’intérieur et il faut préparer nos sacs.
Départ à 9h00, avec un petit détour par la boulangerie pour acheter le pain du soir.

Arrivés à la « Hoya d’El Portillo » (altitude 2200m) point de départ des randonnées, il ne fait que 8,5°C…

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A 9h40 nous sommes prêts à en découdre avec la montagne

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Départ en marchant sur le 1° kilomètre qui monte fort dans le bois de pins. Ensuite on enchaîne en Rando-course, tout en profitant des paysages et du calme.

Le soleil nous accompagne, il commence à faire chaud.

 

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A partir du mirador de Trevelez la pente se fait plus dure et le ciel devient très menaçant.

La fin de l’ascension se fera sous un mélange neige-grêle et à l’arrivée au sommet le sol est blanc. On a croisé qu’un seul randonneur durant la montée, mais lui, en tenue de montagne contrairement à nous qui sommes en tenue de course.

 

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Pour le point de vue et le déjeuner près de la chapelle il faudra revenir, il y a environ 3cm de neige au sol. Par contre nous sommes seuls au monde…

Après 3h10 d’ascension nous arrivons au sommet 3479m.

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On prend juste le temps de faire une photo et s’est reparti pour la descente, on commence très prudemment sur le sol glissant.

Plus bas on accélère le mouvement et on avale les 800m

de dénivelé négatif en moins d’une heure. Une sensation bizarre de légèreté et d’ivresse…

Bon on se calme un peu.
On retrouve le soleil vers le mirador de Trevelez et on en profite pour faire une pause déjeuner face au refuge Poqueira.
Le ciel redevient menaçant, donc nous ne nous attardons pas. La fin du parcours est toute en descente et doit pouvoir se faire en footing ce qui devrait nous mettre à l’abri assez rapidement.

Sauf que l’orage va beaucoup plus vite que nous et qu’il nous obligera à accélérer le rythme sur les 5 derniers kilomètres que nous ferons sous une grosse averse de grêle et sous les éclairs et les coups de tonnerres qui grondent entre les montagnes.

Christine a très peur et Joël n’est pas beaucoup plus fier au moment ou on retrouve la forêt pour le schuss final.

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Avant de monter dans la voiture on fait une pause sous un abri en solide avec l’espoir de se changer. On n’est pas les seuls à avoir eu cette idée et l’espace est un peu exigu. Tant pis pour les vêtements secs, on verra à la maison après la douche.

 

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Il faut maintenant faire la route en voiture pour retourner à Capi, à 8 Km.
Le chemin est recouvert d’une belle couche de grêlons et ça continue de tomber.

 


Après un trajet très prudent et 4 arrêts avec sortie de Christine pour dégager le pare-brise des grêlons qui s’y amassent et créent une couche compacte, nous retrouvons le village et les gens surpris par la couche blanche sur notre voiture.
Lors du dernier arrêt sur la place pour dégager la vue, Joël propose des glaçons à des gens en train de prendre un verre à la terrasse d’un café…

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Après une bonne douche chaude, nous finissons de nous réchauffer avec un thé et un gâteau local, en terrasse de notre maison, face au soleil.

 

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Vue de la terrasse… Le Mulhacen.

 

 

Et nous repartons pour le « Servicio de Interpretacion » pour avoir les informations météo du lendemain et faire part de notre mécontentement à Paco concernant celles du jour. ;-)
C’est jour de repos pour Paco et sa collègue nous annonce de la pluie pour le mardi.
Pause bière et Tapas sur la plaza Calvario.

Mardi 25/09/15 Capileira - Orgiva.
Grasse matinée jusqu’à 9h30, ici pas de travaux ou de circulation pour nous en empêcher.
Salutation sur la terrasse avec quelques gouttes de pluies.

 

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Puis départ pour Orgiva afin de faire quelques courses dans la boutiques bio et de trouver des informations sur la fête annuelle qui commence ce jeudi. (Fiesta de San Miguel)
L’office du tourisme est fermé, on nous dirige sur l’hôtel de ville, mais l’employée ne peut rien pour nous et nous conseille d’aller au service des sports, à la sortie de la ville.
Là, un homme charmant nous fourni toute les informations que nous cherchons, avec, en plus, un tuyau pour obtenir des billets pour accéder au « Caminito del Rey », randonnée que nous avions prévu de faire la semaine suivante, mais sans avoir pu obtenir de billets avant de partir de France.
Retour à Capi pour déjeuner à l’intérieur, la pluie étant bien présente.
Après-midi cool à la maison, avant notre passage au « Servicio de Interpretacion » pour les infos météo du lendemain.
Paco est en poste ce soir et nous donne de bonnes nouvelles concernant le temps.

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Le mardi la plupart des bars sont fermés à Capi, il reste celui de la « Meson Poqueira » pour notre bière + Tapas.
Achat de cartes postales avant de regagner nos pénates.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dîner au chaud avant de regarder les infos françaises à la télé et de trouver, enfin, comment capter TVE pour avoir la météo espagnole.

Mercredi 30/09/15 Capileira.
Le calme nous incite à traîner au lit, lever à 9h00.
Salutation au soleil en terrasse et petit déjeuner à l’intérieur, car il ne fait que 13°C.
Rando-course sur le sentier « Acequias del Poqueira », 19 Km et 800m de dénivelé positif, temps annoncé 7h30.

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Départ sous le soleil, puis, comme lundi, les nuages font leur apparition dans le ciel.
Mais aujourd’hui les cieux resterons cléments et nous
épargnerons la pluie.

 

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Au passage au point culminant, un Cortijo avec son gardien
surveillant la montagne…

 

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Dans la descente, après notre pause déjeuner, 3 chiens viennent nous voir, délaissant quelques instant la garde de leur troupeau de moutons.

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Retour sur Capi après 3h15 de rando course, 18 Km et 1050m de dénivelé cumulé.
Nous retrouvons Paco sortant d’un bar-restaurant accompagné de 2 amies. Nous discutons un peu avec eux avant de rentrer prendre une douche à la maison. Paco nous demande des photos du lundi au Mulhacen, à priori seuls 1 Suisse et nous y sont montés ce jour là.
Après une séance d’étirement en terrasse, pause thé et gâteau en commençant l’écriture des cartes postales.

On trouve des timbres dans une boutiques pour poster nos premières cartes, et on fait notre détour quotidien au centre d’interprétation pour les infos météo locales.
De la neige est annoncée sur les sommets pour le jeudi…
On s’arrête à la Bodega pour un verre de vin local et Tapas.
Retour à la maison pour le dîner.

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Jeudi 01/10/15 Capileira.
Encore une grasse matinée jusqu’à 9h00, puis après la salutation au soleil sur la terrasse on prends notre petit déjeuner à l’intérieur. Il fait décidément trop frais pour profiter au maximum de notre espace extérieur.
Pour ne pas rester une journée sans sport, nous repartons sur le « Sendero de la Sebadilla ».
Un peu déçus par le chrono final, 1h06’… 4mn de plus que dimanche.
Au retour nous entrons dans le jardin de Maria. Nous avions vu un petit panneau de vente de légumes lors de nos précédents séjour à Capileira, mais n’avions jamais poussé le portillon menant au jardin.
Maria est une vielle femme qui cultive, avec son fils, un bout de terrain de façon naturelle.

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L’engrais est fait de compost composé des déchets végétaux de ses fruits et légumes auxquels elle ajoute du marc de café récupéré dans des bars du village.
Après des explications que nous ne comprenons pas totalement et une visite du jardin, nous lui achetons des légumes et nous nous promettons de revenir la voir lors de nos prochains séjour ici.

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Après un déjeuner à la maison nous partons pour Trevelez afin de prendre nos marques pour effectuer une randonnée en direction du sommet de « las siete lagunas », et de « l’Alcazaba ».
Au retour, pause bière + Tapas à la Bodega, ou nous profitons du WIFI gratuit pour lire nos mail.
On prendra 2 verres, le premier accompagné de fromage, le second de minis oeufs au plat sur une tranche de pain, avec chips… Du light quoi !.
Dîner à la maison avec les infos espagnoles, et la météo de TVE.

Vendredi 02/10/15 Capileira - Alcazaba.

Lever avec le réveil à 6h50, la journée s’annonce longue, avec la route à faire en voiture pour Trevelez.
Petit déjeuner à l’intérieur en finissant de préparer le camel bag et départ à 8h00. Le ciel est bleu et il fait 15°C sur la terrasse.
A Bubion on croise Paco qui se rend à son travail, à pied.
9h00, début du Sendero de las siete Lagunas.

63L’objectif est d’atteindre le sommet de l’Alcazaba, à
3350m, Trevelez étant à 1500m.
Distance annoncée 23 Km aller retour.

 

 

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Les 30 premières minutes seront faites à l’ombre, en attendant que le soleil passe par dessus la montagne.
Ensuite il nous accompagnera toute la journée, pour notre plus grand plaisir.

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Après 2h45 d’ascension nous faisons une pause déjeuner à
2900m d’altitude, sur un rocher sur le site de las siete Lagunas.
Face à nous, les sommets du Mulhacen et de l’Alcazaba et les
lacs à moitié asséchés.

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Après cet intermède, nous reprenons notre chemin
pour accéder au sommet de l’Alcazaba.
Comme cela nous est déjà arrivé nous nous égarons par manque de balisage du chemin.
Au final nous retrouverons des traces sur le chemin qui nous ramène aux lacs…

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Le retour sera un peu long pour Trevelez, la pente étant un peu trop raide pour en profiter en courant.

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Au passage on doublera quand même un « local » avec ses chevaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On retourne sur Capi pour une douche et un instant de détente avec thé et gâteau sur la terrasse.
Joël souhaite se ramener un souvenir local, ce sera un tapis pour mettre au pied du lit, acheté dans une boutique.

Pour avoir les dernières nouvelle de nos boites mail, nous faisons une pause bière + Tapas à la Bodega del Atroje.
Au moment de partir nous voyons entrer Paco accompagné de 2 amies qui parlent un peu Français.
Pour changer un peu nous allons manger à la pizzéria un plat de Migas, accompagné d’une bonne bouteille de vin.

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Bon on a connu mieux pour les Migas,

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                                             mais le vin était bon.

 

 

 

 

 

Samedi 03/10/15 Capileira - Orgiva.
La rue est calme en semaine, mais elle l’est encore plus le week-end.
Et c’est donc le réveil qui nous tire du lit à 9h00.
Nous profitons de la terrasse avant de partir pour la journée à Orgiva, malgré le ciel un peu couvert.
C’est la fête au village, comme tous les ans le premier week-end d’octobre.
Un ancien bibliothécaire local avait une passion pour Cervantes et son Don Quichotte. Une exposition est pour l’occasion organisée dans l’ancienne mairie.

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Ensuite nous nous rendons à la sortie du village pour y assister à la course de chevaux à la « cinta » (ruban).

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Après une pause déjeuner au Vieux moulin, d’ou nous repartirons avec chacun un chapeau de paille, nous retournons en ville pour voir l’animation sous le chapiteau de la place.

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La population est invitée à venir déguster des oeufs à l’ail…

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Quand nous arrivons il en reste encore, et bien que sortant de
table nous nous plions à la coutume.
Avec une Caña pour faire passer l’ail.

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Nous avons prévu, ensuite, de nous rendre aux arènes locales pour un spectacle équestre .
Après un premier passage pour acheter nos places, 2h avant le début du spectacle, nous retournons en ville .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Nous sommes dans les premiers à nous installer sur les gradins des arènes, et nous pouvons voir arriver les autochtones, dont
certaines femmes et filles vêtues de leur plus belles robes Andalouses.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et le spectacle peut commencer, mélange de dressage équin, de danse et d’acrobatie…

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Encore une grosse journée de fête à Orgiva pour nous, et encore plus l’envie d’y revenir au plus vite.
Mais il faut regagner notre maison à Capileira, car demain nous la quittons pour aller explorer une autre partie de l’Andalousie.
Donc la soirée sera consacrée aux bagages, après le dîner.

Dimanche 04/10/15 Capileira - Montejaque.

Réveil à 8h00, et nous profitons une dernière fois de la terrasse pour y faire notre salutation au soleil, bien qu’il ne nous chauffe pas encore.
Le petit déjeuner sera pris à l’intérieur, avant de finir nos valises.

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A 10h00 nous quittons, non sans regrets, le 18 Calle Cerezo.
On s’arrête devant le centre d’interprétation pour aller saluer Paco avant de prendre la route.
Il est occupé avec un groupe de randonneurs, mais il les laisse un peu pour venir nous souhaiter un bon voyage, et il en profite pour nous offrir un poster de ses chères montagnes.

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Une dernière photo avant de quitter Capileira qui résume
bien notre état d’esprit à ce moment.
Il faudra qu’on revienne ici…

 

 

 

 

 

Et nous prenons la direction de Montejaque, dans la province de Malaga, pour la suite de nos vacances.
En cours de route nous voyons des panneaux annonçant Ardales, qui est un des 2 villages reliés par le Caminito del Rey, que nous envisageons de découvrir.
Après être passé par le village, sans trouver d’indications, nous décidons de nous rendre sur le site de départ du chemin en espérant y trouver des informations sur la prise des billets d’accès obligatoires, mais que nous n’avons toujours pas.
On nous apprend qu’il suffit de se rendre dans l’un des restaurant de la ville, ou plus proche du site pour réserver, en échange d’une promesse de consommer dans l’établissement qui nous fournira les précieux sésames.
Nous choisissons, au hasard, le restaurant « El Mirador » situé le plus proche du sentier, et décidons de revenir mardi, en espérant que la météo sera clémente.

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Maintenant que cette affaire est réglée, nous profitons des
rives du lac tout proche pour faire notre pause déjeuner.

 

 

 

Nous ne sommes plus très loin de Montejaque et nous y arrivons vers 15h45.
Les indications pour trouver notre contact sont assez bizarres, traduites de l’anglais, et il faudra un coup de téléphone pour que nous comprenions le lieu exact du rendez-vous et la retrouver devant la mairie.
Elle monte dans la voiture et nous guide par un chemin à la limite du carrossable vers l’extérieur de la ville, ou se trouve un parking desservant les maisons du haut du bourg.
Après un parcours à pied dans un dédale de rues trop étroites pour la circulation automobile nous arrivons devant la maison « El Rosal ».

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Après une visite sommaire, nous refaisons le trajet en sens inverse afin d’aller récupérer nos valises.
Nous commençons à nous installer avant de faire une ballade en
ville et de nous poser en terrasse pour une caña.

 

 

 

 


A première vue la maison paraît sympathique, et la quartier calme.
Mais on se rendra vite compte que l’électricité et la plomberie sont à revoir. Pas de lumière sur la terrasse, ni même de parasol…

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Après avoir investi dans des bougies, nous décidons quand même
de dîner sur la terrasse située au 2° étage de la maison pour profiter de la vue imprenable.

 

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Lundi 05/10/15 Montejaque - Roda.
Comme nous l’avions pressenti, le quartier est calme, et nous avons donc passé une bonne nuit.
Enfin presque, car nous découvrons que le sol de la chambre est en forte pente, comme le reste du 1° étage, et de ce fait le pied du lit est nettement plus bas que la tête.
Il va falloir trouver au plus vite une solution pour remédier à ce nouveau problème…
Malgré la pluie qui s’est invitée, Christine part à la recherche de pain pour le petit déjeuner que nous prendrons à l’intérieur.
Ensuite nous partons vers le centre du bourg pour trouver l’office du tourisme, afin d’avoir plus d’informations sur les possibilités d’excursions et de randonnées à faire aux alentours.
Nous en profitons pour faire quelques courses alimentaires, et retournons manger à la maison.

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Le site le plus remarquable dans le secteur est la ville de Ronda.
Nous nous y rendons après le déjeuner.
L’accueil à l’office du tourisme est parfait, par une jeune Française, ce qui nous facilite grandement la
compréhension.
Les alentours du pont neuf, et des boutiques des rues adjacentes
sont noirs de touristes.

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Nous prenons des petites rues pour nous extirper de cette foule, et nous dirigeons vers les bains arabes.
Au passage nous admirons la façade du Palacio del Marques de Salvatierra.

 

 

 

 

 

 

 

 

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                                Et le pont arabe.

 

 

 

 

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Avant d’arriver aux bains arabes, ou nous ferons une
pause toilettes bienvenue.


Même si le pied des remparts est plus calme, nous ne nous attarderons pas dans cette ville et nous retournons à Montejaque.

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Nous profitons du beau temps revenu pour aller au mirador qui surplombe la ville.

 

 

 




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                              La place de la mairie

 

 

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Après une caña et quelques aceitunas à la bodega « El Rincon » située face à la mairie nous rentrons dîner sur notre terrasse à la
lumière des bougies.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 06/10/15 Montejaque - Ardales.
Lever tôt, mais après une bonne nuit avec le pied du matelas surélevé, nous devons être vers 10h00 à Ardales pour récupérer nos billets et découvrir le Caminito del Rey.
Salutation au soleil et début du petit déjeuner sur la terrasse, la pluie venant nous chasser avant la fin de notre thé…
Départ à 8h45 sous un ciel toujours aussi menaçant. Il faut espérer que les nuages vont très vite se désagréger.

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On se gare sur le parking du restaurant « El mirador », et on
récupère nos précieux sésames.

 

 

 

 


Et c’est le départ, sous un ciel un peu plus clément au début du chemin. On quitte la route pour nous engager sous un tunnel assez sombre. Heureusement que Christine avait pensé à mettre la frontale dans le sac à dos. Ensuite un peu de chemin avant d’arriver au point de contrôle de l’accès.
La visite a beau être gratuite il faut réserver et montrer sa carte d’identité pour pouvoir accéder au site, après avoir reçu son casque.

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Et nous sommes partis pour un peu plus de 3 Km de sentier réhabilité au milieu du canyon du Rio Guadalhorce.

 

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Le Caminito del Rey est situé dans un Site naturel extraordinaire, ce qui en fait un lieu d’une incomparable beauté possédant tous les atouts pour captiver le randonneur, mais il ne s’agit pas pour autant d’une simple promenade dans la montagne. Les passerelles, le pont suspendu à 105 mètres de hauteur et les parois escarpées vont produire une inévitable sensation de vertige chez un grand nombre de visiteurs.
Le Chemin du Roi fut baptisé ainsi car Alphonse XIII l’emprunta pour inaugurer le barrage hydroélectrique du Guadalhorce en 1921.

 

 

 

 

 

 

 

 

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A l’origine, la passerelle du Caminito del Rey (petit chemin du
roi) était un sentier de service, construit de 1901 à 1905, qui reliait
le barrage du Gaitanejo et la retenue hydroélectrique d’El
Chorro, près de Malaga en Andalousie. Perché à une centaine
de mètres au-dessus du fleuve Guadalhorce, le passage de trois
kilomètres de long et un mètre de large n’était constitué que de
plaques de béton armé, soutenues par des rails et fixées à flanc de falaise.

 

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Le sentier était désaffecté depuis longtemps.
Plusieurs parties s'étaient effondrées mais cela
n'empêchait pas de téméraires randonneurs de
s'y promener à leurs risques et périls. Après
plusieurs accidents mortels, le Caminito del Rey
a été fermé en 2001, mais certains visiteurs
continuaient d'y accéder.

 

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Depuis 2010, des travaux de restauration ont été entrepris et une nouvelle voie sécurisée a été construite juste au dessus
de l'ancienne via ferrata pour permettre au public d’y accéder. Une rénovation menée par la province de Malaga pour plus de 5,5
millions d'euros selon El Pais.
Il est de nouveau disponible au public depuis le 25/03/2015.

 

 

 

 

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Après 2h00 de
ballade nous
arrivons à la fin de
ce magnifique
sentier.

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Et nous prenons le bus pour retourner à notre point de
départ. La seule chose dont personne ne nous avait parlé,
c’est que le service de bus était payant…

 

 

 

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Comme promis on s’installe au restaurant pour déjeuner.
En terrasse avec vue imprenable sur le lac.

 

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Après une bière accompagnée d’olive en guise d’apéritif, nous
dégustons une paella végétarienne, cuisinée sur place à
la demande.
Et pour dessert nous nous laissons tenter par un « Arroz con
Leche ».

 

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121Et vu que le soleil est bien présent, on en
profite pour aller faire une petite sieste et une
bonne baignade dans le lac.

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On prend le chemin du retour, avec un détour par Grazalema, pour obtenir des informations sur les sentiers de randonnée. L’office du tourisme est fermé ce jour.
Après une bière à la pizzeria de la place de la mairie de Montajaque, on finit la journée tranquillement à la maison.

Mercredi 07/10/15 Montejaque - Grazamela.
Grasse matinée jusqu’à 9h30, mais rien ne nous presse aujourd’hui.

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Après une salutation au soleil et le petit déjeuner sur la terrasse,
nous prenons la route de Grazalema.

 

 

 

 

D’après le guide « Lonely planet » il existe de nombreuses randonnées à faire sur cette commune.
Ce matin l’office du tourisme est ouvert et la charmante réceptionniste nous donne des informations sur les possibilités offertes. Le sentier que nous espérions emprunter est fermé car un propriétaire refuse que les marcheurs traversent son terrain, sans doute suite à des actes indélicats…
Et la plupart des circuits nécessitent un passeport spécial, à demander à l’avance, et la présence d’un guide.
Elle nous conseille quand même un sentier libre et intéressant.
Après une ballade pour découvrir le centre ville typique des villages blancs des montagnes Andalouses, nous pique-niquons près du parking du camping, d’ou part notre chemin.

 

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Et nous voilà partis pour escalader le plus haut sommet
du coin, « El Reloj » (1535m).
Ca monte raide dès le départ et, comme d’habitude, les
indications sont peu nombreuses.

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On parviendra quand même à atteindre le sommet, après 2h15 d’ascension et a profiter de la superbe vue à 360°.

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Et comme cela nous est déjà arrivé à plusieurs reprises nous trouvons les marquages du parcours en entamant notre descente.
On aura donc fait un peu plus de chemin que prévu à l’aller.
Le retour s’effectue par le même chemin.

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Après l’effort, un moment de réconfort que l’on prend sur la Plaza de España. Bien sur celle de Grazalema soit plus petite et moins connu que celle de Seville, le cadre est très agréable.

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Retour à la maison en traversant les forêts de Chênes lièges.
Et un dernier apéritif en terrasse avant de partir.


Pour le dîner il faut finir les restes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jeudi 08/10/15 Montejaque - Malaga.

Réveil à 7h00, afin de ne pas être en retard à Malaga ou nous devons rendre la voiture.
Petit déjeuner et on referme les valises pour quitter cette maison qui ne nous laissera pas un bon souvenir.
La route se passe bien et on arrive vers 11h00 à l’hôtel que nous avons réservé avant de partir de France. Le quartier est très encombré, mais nous avons la chance de trouver une place pour stationner juste en face de notre hébergement.
La chambre n’est pas encore faite, mais on nous autorise quand même à y laisser nos valises.
Direction la gare et l’agence de location pour rendre la voiture dans les délais.
Retour à pied vers la Villa Alicia, en faisant un détour par l’office du tourisme.
On ne reste que 2 jours ici et il y a tant de chose à voir et à faire qu’il nous faut au plus vite nous organiser.
Changement de tenue et on repart vers la Plaza de Merced pour déjeuner et enchaîner par la visite de la maison natale de Picasso.
Puis le musée Picasso qui présente une belle collection des oeuvres du peintre.
Une petite pause en sortant pour boire un thé dans la rue piétonne toute proche.
Selon le « Lonely Planet » une des curiosités de la ville est son église inachevée, « la manchote ».
La plaza Obispo est toute proche et nous allons voir à quoi ressemble cette église.

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Une des 2 tours a été terminée, alors que l’autre est restée inachevée…

En face le palais épiscopal est un bon exemple de l’architecture locale.

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Passage par notre hébergement pour enfiler une tenue un peu plus
chaude.

 

 

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Et toujours sur les conseils du guide nous repartons pour un des plus vieux bar de la ville.

La Antigua Casa de Guardia, avec ses tonneaux de vins de Malaga et ses serveurs presque aussi vieux que l’établissement.

 

 

 

 

 


Pour le repas nous nous laissons tenter par une terrasse dans une  petite ruelle proche des artères piétonne commerçantes.
Malgré les promesses de la serveuse de respecter notre alimentation végétarienne, le premier plat arrive avec du poulpe dans les aubergines et le second avec du calamar dans les légumes.
Nous partons après avoir terminé notre bière, mais sans payer ! ! !
On finira Calle Grenada, dans un établissement plus chic, ou on trouvera de quoi manger.

Vendredi 09/10/15 Malaga.
Après une bonne nuit, au calme nous nous levons à 8h30.
A 9h00 nous partons pour un footing. Après un départ pentu pour passer le quartier bien nommé de « la montagne », nous longeons le bord de mer pendant quelques kilomètres.
On se fait une pause pour une salutation au soleil sur la plage, avec comme seul bruit le chant des perruches qui peuplent les arbres.

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Sur le chemin du retour changement de tenue pour une petite baignade dans les eaux un peu fraîches de la Méditerranée.

 

 

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On reprend notre footing jusqu’à la plage plus chic de la
Malagueta, très proche du centre ville.
Puis retour à l’hôtel par la côte de « la montagne ».

 

 

 

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Après une douche nous nous mettons a la recherche d’un
endroit pour prendre un « pan con tomate ».
Nous trouvons notre bonheur pas très loin dans un établissement loin des lieux touristiques, et pratiquant des prix plus que raisonnables.

 

 

 

 

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Ensuite direction la Peña Juan Breva, ou se trouve un musée du Flamenco.


Le prix d’entrée est très modique et les collections liées à cet art Andalou sont très bien mises en valeur dans les 2 salles
d’expositions.
Nous sommes les seuls visiteurs a en profiter à ce moment là…

 

 

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En quittant le musée nous passons devant une boutique vintage, forcément on entre et Christine essaye quelques vêtements…
Pour notre déjeuner nous essayons de nous éloigner un peu des rues touristiques pour trouver un lieu plus typique et, de préférence, fréquenté par des locaux.
Nous trouvons notre bonheur dans une ruelle à la « Taberna las Merchanas ».

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Promenade digestive en passant par le marché,
Et le paséo de España, parc parallèle à la plage.
Pause thé à la 2° teteria que nous avions vue
la veille, plus cher et pas meilleure…
Et un tour dans les rues commerçantes pour
faire les boutiques.
Christine ressortira de chez Desigual avec un
jean.
Passage à la Botica de los perfumes pour le
dernier flacon qui manquait à Seville.

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Retour à notre hébergement pour y laisser les achats et nous changer de tenue.

 

 

 

 

 

 

Au passage on demande conseil pour un restaurant dans le quartier ou l’on pourrait manger végétarien.
On nous conseille le « Cortijo de Pepe » plaza de Merced.
Très bon conseil, on y reste manger, mais endroit très fréquenté…
On finira par une glace Calle Granada, avant de retourner à la Villa Alicia nous coucher.

Samedi 10/10/15 Malaga - Paris.

Réveil à 6h30 pour terminer les valises tout en prenant un thé dans notre chambre.
Nous allons ensuite prendre le bus qui nous mènera à l’aéroport.
L’arrêt de la ligne A est à 20mn à pied de la villa Alicia, et la météo est clémente ce matin.
Nous prenons le bus de 7h55 qui arrive à destination à 8h05.
L’enregistrement se fait rapidement, mais le passage en douane est un peu plus compliqué à cause d'une femme ayant un couteau dans la doublure de son sac à main juste devant nous…
Ensuite, une fois installé dans l’avion, Joël verra les employés de l’aéroport vider une partie de la cale pour en extraire 2 valises qui resteront sur place.
Ce qui fait que nous décollerons à 10h05 au lieu de 9h45 prévu.
Arrivée à Paris à 12h20, sous le soleil, mais avec seulement 13°C au thermomètre.

 

 

 

 

 

 

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14 septembre 2015

Guadeloupe 06/15

 

 

 

GUADELOUPE – Le GOSIER

 

11 au 18 JUIN 2015

 

Guadeloupe

 

Jeudi 11 juin 2015

Départ de BELLEVILLE 09h

Vol Paris Pointe à Pitre AF à 12h05

 

Tout s’enchaîne et arrivée à ORLY à 10h15 pour notre vol de 12h05.

Et c’est parti pour 8 heures de vol et 6 heures de décalage. Nous arrivons sur le sol de Guadeloupe à 14h30 et nous sommes accueillis (avant même de passer les formalités et récupérer nos bagages) par Patrice l’organisateur de la course du Gosier et Jean-Jacques ( organisateur de Marseille-Cassis  et rencontré sur le marathon de Nice – Cannes).

Une fois sortis de l’aéroport, tout le monde monte dans les voitures et direction le GOSIER.

Il y a donc Thierry, notre chauffeur, Patrice, Jean-Jacques et 4 athlètes (Morgan, Carmen, Fred et Sébastien)

Les athlètes sont déposés à leur hôtel et nous continuons vers notre lieu de séjour en récupérant au passage une voiture de loc.

Nous arrivons à la maison de Patrice qui sera notre hébergement pour la semaine.

On s’installe (pour les contrats voiture et hébergement, ben on verra plus tard).

Puis direction le CASINO pour quelques courses.

Le soir rdv au CASINO (l’autre) pour dîner entre « métros » .

  

 Un repas « all included », du ti punch au dessert le tout à volonté. On se régale de gratin d’igname et privilège de végétarien d’un gratin de cristophine (une découverte pour nous).

Retour chez nous, il est déjà 21h30 (3h30 du mat en Métropole) en faisant un petit détour par la plage éclairée du Gosier.

Une petite douche (froide) et au lit.

 

Vendredi 12 juin 2015

Le GOSIER / ST FRANCOIS / LE MOULE

 

4h du mat le chant du coq nous réveille et pas facile de se rendormir.

6h, on se lève, une salutation au soleil (réalisée chaque matin), avant de chausser les baskets à 6h30 pour un petit footing et une reconnaissance du parcours de la course de samedi. P…. de côte !!!

45 mn et 7km700 parcourus sous une chaleur humide. Il fait déjà chaud et humide à 7h00 du matin

Petit déjeuner sur la terrasse


et on part rejoindre les athlètes à St Anne sur la plage du club Med après avoir fait un détour par l’office du tourisme du Gosier histoire de récupérer des cartes et informations pour la suite de notre séjour.

Baignade dans les eaux turquoise claires et chaudes.

 

 
Départ pour St François, lieu choisi pour le déjeuner. Arrêt sur le port, ou se trouvent la plupart des restaurants. Les écaillers sont en action pour préparer les poissons servis aux menus.

Petit détour par la ville (achat de cartes postales) et son marché, où nous découvrons de nouveaux fruits (carambole).

 

Pause déjeuner que l’on ne prendra pas ensemble (les athlètes et nous), les végétariens ne sont pas à leur place ici compte tenu de l’accueil qui nous est fait.

Ce sera un déjeuner au « Poivrier » pour nous , chic et au frais au bord de l’eau et poisson dans une gargote pour les athlètes . 

 

Le Poivrier nous propose une assiette plus que correcte dans un endroit calme. On y reste manger.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Ballade à la pointe des châteaux, extrême Est de l’île, avec sa vue imprenable sur La Désirade. Avec son calvaire et ses côtes découpées on se croirait dans le Finistère.  

Pour continuer la découverte de Grande Terre, Jean Jacques nous propose une visite de la distillerie Damoiseau.
Direction Le Moule, avec au passage un arrêt pour admirer une vielle maison colonialiste. 

Pas de chance, les visites guidées de la rhumerie sont terminées quand nous arrivons sur place. 

 

Mais nous pouvons quand même déambuler parmi les pressoirs et cuves qui servent à la distillation.

 

 

 

 

 

 

Le produit est bon, mais l’accueil est largement à revoir…

 

 


Retour sur Le Gosier, baignade avec Jean Jacques et Sébastien près de leur hôtel, suivie d’un Ti Punch en terrasse sur la plage
(Offert par Jean Jacques qui découvre ce breuvage)

Passage au marché nocturne hebdomadaire du GOSIER en rentrant se changer à la maison. On en profite pour acheter du jus de canne et saliver devant les « Cassav » (sortes de crêpes à la farine de manioc).

 

Dîner au casino avec les athlètes.

Samedi 13 juin 2015

Le GOSIER

Réveil plus tardif, une grosse averse ayant calmé les coqs.

Direction St Félix pour trouver une boulangerie Bio vue sur internet. Pas de panneaux, pas de noms de rue, on demande à un « local ». Réponse très désagréable de sa part…

On ne peut pas dire que l’accueil ait été sympathique lorsque l’on cherchait notre chemin…. Il semble qu’il y ait 2 types d’accueil « extrêmes ». Le guide du routard a malheureusement raison sur ce point.

Petite halte au leader Price local, surprise on retrouve le même rhum acheté la veille à la distillerie et au même prix. Ils sont forts chez Leader Price 

Retour sur Le Gosier pour assister aux courses pour enfants organisées par l’USEP sur le stade et retrouver les Athlètes

 

Vague réunion technique pour Joël, qui est quand même là en mission et grand moment de solitude pour Christine qui n’arrive pas à se décider : Dossard ou pas Dossard !!! Au final dossard pris mais le plaisir de participer n’est pas au rdv.

Déjeuner à la maison suivi d’une petite sieste.
Course à 16h30, en pleine chaleur, et avec un parcours ressemblant aux foulées du tertre à Montmartre.

Christine se classe 203° sur 228 en 57’01’’.

Après la remise des prix on retourne dîner au casino avec les athlètes de la métropole (sur le podium)

 

  

Dimanche 14 juin 2015

Plage de St Anne – Jardin Botanique

Toujours le chant du coq à 4h00 du matin. On traîne au lit jusqu’à 7h00.

Départ pour St Anne et la plage du club Med pour une dernière baignade avec les autres avant leur retour pour Paris et Marseille.
Des iguanes profitent aussi du calme de la plage. Séance photo.

Achat de noix de coco pour tous,……

 .à Coco, le rasta sculpteur de la plage.

                

 

 


Retour sur le Gosier pour un restaurant « grillades » avec le groupe. Ce sera Frites / salade pour nous et Ti-Punch a l’apéro.

Derniers moments partagés avec eux avant leur retour à leur hôtel puis à l’aéroport.

 

Pour nous ce sera la visite du jardin botanique de Deshaie ( Au Nord de Basse Terre), ancienne propriété de Coluche...

Peu fréquenté donc plutôt sympa mais comme le précise le Lonely, un peu cher.

Début du dépaysement total au milieu des plantes tropicales (locales) et des oiseaux

     

Premier dîner à la maison de notre séjour, et sans Ti Punch. Par contre le jus de canne frais en apéro est excellent.

On prépare nos affaires pour le lendemain, Soufrière au programme.

Lundi 15 juin 2015

La soufrière

Le téléphone sonne en pleine nuit (à 4h, c’était un appel / on avait laissé le portable allumé pour le réveil). On se rendort. Réveillés à 6h , mince on a pas entendu le réveil à 5h45 (et pour cause niveau sonore très faible), mais départ à 7h00 pour St Claude au sud de Basse Terre.

Le réseau routier de La Guadeloupe n’est pas très développé, et la circulation y est rendue difficile par le très grand nombre de voitures qui circulent. Il nous faut 1h45 pour arriver au pied de la Soufrière.

Début de notre randonnée à 8h55, sous les nuages.

                           
Le ciel restera malheureusement bouché pendant toute notre ascension limitant la vue.

Une très forte odeur de soufre nous prend le nez et la gorge pendant le tour du cratère que nous devinons sans jamais pouvoir l’apercevoir.

Heureusement le chemin est balisé par des piquets repérés en jaune.

Quelques trouées de soleil nous accompagnent pendant la descente, 

et vue l’heure (nous avons mis 2h30 pour l’A/R jusqu’à la Soufrière) nous décidons de prolonger la chute du Galion... 
  

Chemin boueux et traversé de racines 

Fin de sentier avec une corde pour nous aider à
grimper jusqu’au pied de
 la cascade.

 

 

 

Retour au parking, quelques personnes occupent le bassin d’eau soufrée chaude. Nous décidons de ne pas nous baigner et faire confiance au Lonely qui parle d’un lieu «à ne pas manquer» à Dolé.
On découvre un bassin alimenté par une source qui passe par la Soufrière = Chaude. Le top, un moment relaxant dans ce bassin en forme de Cœur d’où son nom «Bain des amours»

 

Sur indication de personnes qui étaient sur place, on va découvrir 2 autres bassins naturels mais finalement moins sympa, on revient au bain des amours, devenu privé !!!

 

 

Mardi 16 juin 2015

Le Musée du rhum, La mangrove

Visite du musée du Rhum à Ste Rose, sur les conseils de Jean Jacques.

Très belle exposition sur la culture et la transformation de la canne à sucre sur l’île, plus un film.

Étant hors saison, nous nous retrouvons presque seuls, et nous en profitons pour discuter avec les femmes qui sont à l’accueil. Au programme sport et cuisine…

Le rhum est en dégustation libre, mais son goût ne nous plaît pas. Nous préférons largement les confiseries à base de chocolat et noix de coco préparées et vendues par l’hôtesse. Nous lui en achetons 3.

Retour à la maison pour déjeuner et faire une petite sieste.

Ensuite départ pour Ste Anne découvrir la boutique Géograine, un artisan qui fabrique des bijoux et des tables avec les bois locaux et les graines qu’il ramasse dans l’île.

Et il est déjà l’heure de se rendre à Vieux Bourg ou nous avons réservé une sortie au coucher du soleil dans la mangrove.
Le trajet est rendu très difficile par la circulation intense en ce milieu d’après-midi.
Nous téléphonons au guide pour le prévenir de notre retard.
A l’arrivée au port nous serons les derniers…

Après les consignes générales et la prise du gilet de sauvetage obligatoire nous embarquons dans un kayak biplace, et cap sur la mangrove et sa forêt de palétuviers.
Nous ne verrons malheureusement pas de poissons ou étoiles de mer qui peuplent les fonds marins de cet écosystème préservé, mais le paysage est surpre
nant.

 

 

Après une courte halte sur une île 
sur laquelle se trouve une petite 
église « notre dame de la garde », nous repartons au moment où le soleil se couche à l’horizon. Le ciel encombré de nuages nous empêche d’en profiter au mieux.

 

Pause conte au milieu de la mangrove, et le guide en profite pour ouvrir sa glacière et sortir la bouteille de rhum et de sirop de gingembre de fabrication locale. Apéritif très spécial à la tombée du jour.

En repartant on constate avec émerveillement que nos pagaies laissent des traces dans l’eau. Le plancton que nous brassons en ramant est fluorescent. Encore une découverte. (La fluorescence est un mécanisme de défense de la part de certaines algues qui, lorsqu'elles reçoivent une action mécanique, s'illuminent pour brouiller la vue des prédateurs. Lorsque celui-ci attaque il se génère alors un nuage luminescent qui le perturbe.)

Un dernier verre de rhum au port pendant que Christine dans la salsa avec le guide et nous pouvons rentrer à la maison pour dîner.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mercredi 17 juin 2015

Les chutes de MOREAU – Bassin eau Chaude- La Maniocrie de Germaine- Achat Rhum

Départ de bonne heure ce matin, car nous avons prévu d’aller voir les chutes Moreau.

Ce ne sont pas les plus célèbres de Guadeloupe, mais d’après les guides elles sont plus sauvages, et moins fréquentées que les chutes du Carbet.

Début de randonnée à 8h45 après un trajet en voiture sur des chemins à la limite du carrossable.
Et nous allons grimper sur un sentier boueux et parcouru d’innombrables racines, et traverser 8 fois les torrents au milieu de la forêt tropicale nous donnant l’impression de cheminer au milieu d’un immense jardin botanique aux plantes géantes.

                                                

Pour enfin arriver au pied d’une magnifique cascade accusant un dénivelé de plus de 100 m…


Après un petit bain et une séance photo au milieu de l’eau    

                 

 

 

 

 

 

 

 

nous entamons la descente en faisant un détour par les 2 autres cascades qui se trouvent à proximité.

                                                                         

Retour à 13h30 au parking, fatigués et crottés.

Rien de tel pour se délasser qu’un bon bain chaud.
D’après le Lonely il existe un bain chaud sur la route des chutes du Carbet. Le bain Paradise de la rivière Grosse Corde. Nous nous y rendons.
Chemins assez difficile à trouver, car pas indiqué, mais au final un endroit magnifique au milieu de la forêt…..

 et un bain avec une eau à 39° de laquelle il est bien difficile de s’extirper.

Mais il faut bien repartir car nous avons prévu une halte à Capesterre pour visiter la Maniocrie de Germaine.

D’après nos informations c’est « le lieu » pour déguster les fameuses cassaves que nous avions vues au marché nocturne de Le Gosier.
Encore pas de chance, la dégustation ne se faisant que le vendredi soir. Nous repartons avec plein d’explications sur la culture, et la transformation du Manioc. Plus quelques caramboles cueillies dans l’arbre de la propriétaire des lieux.
Si nos pas nous ramènent en Guadeloupe il faudra absolument se réserver la soirée du vendredi pour venir manger dans cet endroit.

Au retour on s’arrête au Géant casino pour acheter du Rhum à ramener à la maison.

  

Jeudi 18 juin 2015

Ste Anne – Pointe à Pitre

Et c’est déjà le dernier jour de notre voyage.
Après avoir fait les valises, départ pour Ste Anne pour acheter quelques souvenirs.
3 paréos (Herminie, Lolita, et nous) dans une boutique en bord de route, et retour chez Géograines pour rapporter des boucles d’oreilles à Herminie et Lolita. Choix difficile devant le nombre de modèles exposés.

Avant de quitter le bourg, un dernier petit bain sur la plage de la caravelle (Club Med), sûrs de ne pas retrouver une eau aussi chaude et aussi limpide à notre retour en métropole.

Nous avons rendez-vous avec Patrice pour un déjeuner au resto grill, comme le dimanche.

Un dernier Ti Punch local, 
et nous réglons les derniers détails avant notre départ.

Nous savons enfin combien nous coûte la location de la voiture et de la maison.

Retour à la maison pour une dernière douche (froide, le chauffe-eau n’est toujours pas réparé), le ménage et nous nous rendons à l’agence de location pour restituer la voiture.

La fille de l’agence a pour mission de nous emmener à l’aéroport. Heureusement qu’elle connaît bien les chemins de traverse pour gagner du temps et être à l’heure pour notre avion.

Christine écrit et poste ses dernières cartes postales et Patrice vient nous dire au revoir.
On en profite pour le remercier pour son accueil et pour l’organisation de notre séjour.

Décollage un peu en retard de Pointe à Pitre à 18h00.

Entre le dîner, et le petit déjeuner avant de se poser, la nuit sera courte…

 

Vendredi 19 Juin 2015

Paris

Retard de 30mn à l’atterrissage.

Le temps de récupérer nos bagages, et on saute dans le premier bus de la RATP.

On retrouve les bouchons, et Paris...

21 août 2015

INDE RAJASTHAN 10/2014

 

 INDE RAJASTHAN 2014

 

Du 03 au 23 novembre

 

DELHI VARANASI AGRA JAIPUR BUNDI

PUSHKAR JAISALMER DELHI

 

 

 

lundi 03 Nov.

PARIS 10h30

DELHI 23h10

AVION

 


 HOTEL PEARL PALACE

Réservé Sur Internet

 

 

Après un peu moins de 8 heures de vol, nous atterrissons à DELHI. Il est 23h10 heure locale.
On termine les formalités de sortie à minuit 1 mn, nous sommes donc entrés officiellement le 04 novembre en inde, comme le confirme le tampon sur le passeport.
Reste à récupérer nos bagages et surtout trouver le chauffeur qui nous mènera jusqu’à l’hôtel. (Hôtel réservé par internet, de Paris, trajet de l'aéroport compris)
A la sortie une multitude de personnes portant une pancarte avec le nom de leur « client » attend…. On finit par trouver le nôtre qui en fait n’est pas notre chauffeur mais un représentant d’une agence (on comprendra plus tard que c’est un moyen de vendre leurs prestations en tout genre aux touristes). Il commande notre taxi qui arrive 10 mn plus tard et nous voilà parti tous les 4 vers l’hôtel.
Un parcours chaotique dans un taxi d’un autre temps à 1h du mat.
Ce que l’on découvre en arrivant de nuit ne ressemble pas à une capitale. En même temps on a choisi un hôtel à Paharganj.

Arrivés à l’hôtel Pearl PALACE qui n’a rien d’un palace, celui qui nous a accueillis à l’aéroport nous parle de son frère qui tient une agence et peut nous aider pour des réservations de train, bus ou autre si besoin.
Rdv est pris pour le lendemain 9h (il faut dire que nous n’avions pas de réservation pour le train de nuit du lendemain pour rejoindre VARANASI).
Il est 2h du mat (21h30 en France) mais on va se coucher … sans avoir rien compris à ce que nous propose l’employé de l’hôtel (qui nous conduit a notre chambre) pour le petit déjeuner. De plus on lui explique que nous n’avons pas d’argent local. Au final on pense avoir dit oui à sa proposition en ayant un doute néanmoins sur le fait que le petit déj était ou pas compris.

Lever prévu à 7h45

 

Mardi 04 Nov.

DELHI

 

 

 

 

DELHI 20h30

VARANASI 8h30 (Théorie)

 

Réveil à 7h45, le petit déjeuner promis la veille pour 8h n’est toujours pas là à 8h15 (en fait il était compris). On descend à la réception. On rencontre le frère, petit déjeuner en discutant avec lui. On ne gardera pas un souvenir inoubliable de ce petit déj inclus, un chaï et 2 toasts beurrés.
Direction l’agence à 5mn.
D’après lui on ne pourra pas trouver de place pour le train du soir même mais c’est OK pour le lendemain à un tarif qui nous parait très élevé !! Après de multiples tentatives de sa part pour nous vendre quelque chose et malgré sa mise en garde concernant les trains complets, on décide de jouer (surtout on ne le sent pas du tout) et de tenter nous-même de trouver une place de train directement à la gare.
On quitte l’agence (pas content le patron), on retourne à l’hôtel pour récupérer nos sacs et départ vers la gare de New Delhi.

 

Il existe un bureau dédié aux touristes et c’est là que l’on se retrouve pour remplir d’abord le formulaire qui va bien en précisant le numéro du train, avant de passer au guichet et ….. YES c’est bon pour un départ le soir même en classe 2AC  

Nos 2 places en poches on cherche les consignes. Oups !!! Il y a du monde et ça avance tout doux. Ça s’explique, ils sont 3 dont 1 qui enregistre, et 1 qui marque les sacs a la craie et j’oubliais, il faut remplir un formulaire qui suivra nos sacs que l’on devra déposer nous-même sur les étagères.
Une fois allégés, on est enfin prêt pour visiter ou plutôt traîner un peu dans Delhi avant le départ du train.
Ce sera l’office du tourisme, puis déjeuner dans un resto conseillé par eux (et également dans le guide Lonely) le Sarava Bhavan. Resto de dosai (crèpes indiennes)au milieu d’indiens «aisés ».
Puis quartier plus chic pour le mémorial de Gandhi mais fermé ce jour-là, on ne sait plus pourquoi ….
Sur le retour on s’arrête à la porte d’inde, curieux de voir pourquoi il  y avait autant de monde (vu de loin sur le trajet aller).

 

En s’approchant on n’en sait pas plus mais on est surpris du comportement des indiens qui adore se faire photographier avec nous.
Et ce n’est pas à cause de la couleur de mes cheveux ;-) comme le pense Joël...
Pause dans un bar « chic » de Connaught place. On profite de  « l’Happy Hour » pour une bière locale Kingfisher (à noter qu’avec les taxes, l’addition est supérieure au prix affiché sur la carte)
On se méfiera des taxes à l’avenir……mais pas assez
Il faut retourner vers la gare, il fait nuit depuis 18h. Ravitaillement acheté sur la route en prévision du dîner (bananes locales et amandes Françaises) dans le train. 
Sur le quai c’est noir de monde, on observe les indiens qui montent dans le train avant son arrêt en gare et se tassent dans des voitures (wagon !!) sans réservation (classe la plus basse). 
Notre train est annoncé avec un retard de 1 heure.
A 21h30 on monte dans notre voiture et l’on découvre notre compartiment de 4 couchettes, isolé du couloir par un rideau, ce n’est pas le grand luxe pour nous même si cette classe n’est accessible qu’a une catégorie aisée en Inde.
2 indiens partagent notre compartiment. L’un va jusqu'à Vârânasî et l’autre continue dans le même train plusieurs heures….

On attache nos sacs comme on peut. On s’installe, draps, couverture, oreiller et serviette de toilette. On ne va pas tarder à se coucher Couchette supérieure pour Joël, tout près du ventilo (même si il y a la clim) et en bas pour moi, près de nos sacs à dos.
A noter qu’il y a aussi 2 couchettes perpendiculaires aux nôtres de l’autre côté du couloir.
Extinction des feux……

 

 

Mer 05 nov.

VARANASI

Arrivée à 15h10

18h40 de train dont 6h40 de retard

Pas facile de dormir profondément, ce n’est pas très calme tout de même. On avait réglé le réveil sur 8h pour une arrivée prévue à 8h30 (vu la distance le retard pouvait peut-être être rattrapé !!(Déformation occidentale)) On était loin de la réalité. Mon voisin de couchette étant réveillé je lui demande si le prochain arrêt est Vârânasî. Il me répond «Twelve» (12), devant mon air étonné il précise que nous avons environ 4 heures de retard…. Oups !!

Au fil des km restants, le retard s’amplifiera pour une arrivée 6h40 après l’heure prévue soit à 15h10. Heureusement que nous n’étions pas isolés dans un compartiment à 2, aucune info dans le train, nos colocataires avaient l’info sur leur Smartphone. 
Notre Mercredi est déjà bien entamé et pour rappel il fait nuit à 18h. Malgré l’heure tardive on ne perd pas de vue notre 1
er objectif de la « journée », trouver un train de VARANASI à AGRA de nuit pour le vendredi 07 comme prévu dans notre programme. 
Après le rituel du formulaire nous voilà devant le guichet (après un peu d’attente quand même).

Train complet pour le 07, ben M…, on fait quoi ? Il y a bien le système de « Tatkal » (réservations de dernière minute la veille du voyage) mais pas trop tentés pour perdre notre temps sans certitude de résultat.
On demande si il y de place pour le jour suivant (samedi 08, 2 places sont dispos en 3AC (les dernières places a priori). On réfléchit vite et finalement on réserve pour le Samedi 08.
On va apprécier un peu plus tard ce train complet qui nous a fait profiter de VARANASI plus longtemps. 
2
ème objectif, trouver un hôtel et challenge, avant la nuit ….. 
Pour échapper aux arnaques des rickshaw en gare, on commence à pied. La circulation perturbée due à la présence de VIP et des fêtes de DIWALI fait que l’on fera tout le trajet à pied , environ 1 heure avec notre sac sur le dos et crevés de notre nuit en couchette.
La nuit commence à tomber et même si il y a un plan dans le guide, il n’est pas assez précis pour se repérer dans la vielle ville et trouver le « PUJA Guest House » cité dans le Lonely.
Après avoir tourné en rond, demandé notre chemin plusieurs fois on finit par arriver au PUJA avec l’aide d’un « guide gratuit »
Ouf, il y a de la place, on prend, de toute façon ce n’est plus l’heure pour être difficile. Il s’avère que ce choix n’était pas si mal, merci Lonely. 
Il y a en plus un restaurant sur le toit, juste ce qu’il nous fallait après ces 18 heures de train et quelques amandes du petit déjeuner dans l’estomac.
Shiva le patron nous propose une ballade sur le Gange, pour le lever du soleil, et précise que compte tenu de la fête de Diwali, l’idéal serait demain matin.
D’après le guide, le prix proposé par Shiva est très élevé mais on ne sera que 2 dans la barque. On dit Oui et on ne le regrettera pas, il est vrai que le lendemain était un jour spécial avec une foule plus importante venue pour les fêtes.
(RDV a 5h45 à la réception le lendemain) 
Une douche et hop sur la terrasse pour un dîner bien mérité et accompagné de musique indienne (Flûte et Percu)
Très agréable moment

 JEUDI 06 Nov.

VARANASI

 

 

 

 Réveil à 5h40.
On toque à la porte à 5h45 pour nous dire «  the manboat is coming ». On descend, on suit notre guide de l’hôtel, jusqu’au Ghats et c’est parti pour 1h30 de ballade. C’est donc Diwali et les Ghats sont noirs de monde, enfin façon de parler, que de couleurs et on ne sait plus ou regarder.
Ça mitraille….des visages, des femmes, des hommes, faisant leurs ablutions, se lavant, des enfants se baignant, des sâdhus, des vaches …. Des édifices, des touristes indiens arrivant par bateau de l’autre rive pour les fêtes, des touristes tout court ……..
Des scènes de vie tout simplement.
Les escaliers sont pleins mais il règne malgré tout quelque chose de paisible.
Une petite arnaque dès le début par la vente forcée d’offrandes… fallait pas accepter ces offrandes c’est tout !!

 

Retour au PUJA, il est presque 8 heures, l’heure pour un petit dej sur la terrasse.. Il commence à faire chaud.
Pause dans la chambre, bon on fait quoi ces 3 jours à VARANASI ?
Aujourd’hui, ballade, découverte de la ville
Vendredi, le Sud (Assi Ghât)
Samedi le Nord

On a dit Ballade et c’est parti. On se perd dans les mini ruelles du Chowk, à la recherche éventuellement d’une boutique d’instrument de musique. On s’arrête devant un lieu dédié aux cours de chant et de musique. L’un des musiciens est à l’extérieur. On lui explique notre recherche (plutôt celle de Joël, une flûte pour Lolita) et il nous propose de revenir vers 14h30.
En attendant déjeuner à coté, au SITA sur la terrasse avec vue sur le Gange. On en profite pour changer quelques Euros.

De retour à 14h30, on discute avec un musicien, un prof de chant et son élève (une française habituée des lieux). Celui qui peut nous aider est Peter, un anglais musicien qui joue de la flûte et qui en fabrique aussi.
Le hasard fait qu’il passe quelques minutes après.
On repart avec un RDV pour le lendemain avec Peter. 
C’est Diwali, un peu notre jour de l’an mais surtout la fête des lumières. Cérémonies, décoration des Ghats, pétards, feu d’artifice et surtout un monde …… et pas que des touristes.

On en prend plein les yeux.

 

 

 Joël est abordé par une radio locale, interview en direct et en anglais. Bon on est French quand même avec le niveau d’Anglais qui va avec 

Dîner en terrasse au DOLPHIN, pas de bière mais vue sur le Gange et la fête.

Et retour au PUJA.

Vend 07 nov.

VARANASI

 

 

 

 Pas de réveil  on traîne un peu du coup. 9hrs Il fait toujours aussi chaud en terrasse pour le petit déjeuner.

Le long des ghats et/ou par les ruelles de la ville. 


Un peu de lèche vitrine quand même. On achète une suspension que l’on pensait Unique mais que l’on verra souvent le lendemain, voire même ailleurs qu’à VARANASI !!
Pause thé au « Open Hand » un mélange d’artisanat et de salon de thé / Restaurant. Je ne me sens pas bien, le thé Massala (très fort) ou autre chose …. On ne le saura pas. Mais je ne tenterai plus le thé Massala.

On cherche en se baladant un lieu pour déjeuner plutôt dans le genre gargote ++ mais ce sera un resto un peu chic, moderne (un peu trop) qui dénote un peu dans ce quartier. THALI au menu.

 

Il ne faut pas oublier notre Rdv avec Peter. A 17h15 nous y sommes. Peter arrive 15 mn plus tard avec 3 flûtes. 2 à lui et une Népalaise.
Après démonstration Joël choisi 1 des 2. Et voilà le cadeau pour Lolita qui va voyager 2 semaines emballé dans du papier journal et accroché au petit sac à dos entre chaque ville.

C’est l’heure des cérémonies quotidiennes et l’on passe un peu de temps avant de rentrer à l’hôtel pour une petite bière en terrasse et tenter une connexion pour réserver un hôtel à Agra (notre prochaine étape) 


On va enfin déjeuner dans une gargote ++ (citée au Lonely) le MUDHAR a 10 mn a pied de l’Hôtel.

Zut plus de @ orange (Jaledi ici, ou Zlabia a Belleville et en Afrique du Nord) ; On goutte a 2 boulettes sucrées mais pas terrible. Tout’ façon y’a pas mieux que les Gulab. Hi ! Hi !
C’est une gargote donc plats indiens pour les indiens. Bon c’est dit demain on réduit les plats épicés. On a fait fort aujourd’hui surtout au Mudhar.                      

Sam 08 nov

VARANASI

 

 

 

Comme hier pas de réveil mais il faut faire les sacs et libérer la chambre
Petit déj au PUJA … Pfff !! Pas de Paroota, on se rabat encore sur les pancakes. Pas très indien tout ça 

Direction le nord cette fois. On déambule en évitant les zones de crémation mais ça n’empêche pas de croiser un brancard qui descend vers le Ghat pour la crémation.

 

On tombe ensuite sur le « Keshari » cité au Lonely. Ce sera notre resto pour le déjeuner. Pas trop épicé mais pas assez copieux ! ! !
Et pour la première (et la seule) fois le serveur nous réclame un pourboire. Au final, mauvais choix.

Retour à l’hôtel.
Il est 14h30. Sac sur le dos on se dirige vers la gare a environ 4 km. Comme à l’aller, on fait le trajet à pied (c’est notre sport 
). Moins de monde mais bien dense tout de même et bruyant, hâte d’arriver.

Notre objectif et rituel, trouver 1 billet de train pour notre retour sur Delhi (depuis JAISALMER), de l’eau et des Bananes.

Pour le billet c’est OK mais en place assise, ça se dégrade, on a commencé en couchettes « 2AC ». Au moins on peut rentrer à Delhi a la date prévue (on saura plus tard que l’on n’avait pas compris les explications du vendeur ni déchiffré les données du billet).
Pour l’eau, fastoche et pour les bananes c’est quand on cherche que l’on ne trouve pas … si quand même, aux alentours de la gare.
Le Quai est bondé et les infos concernant le trafic bien légères en comparaison de Delhi.
17h20 on est dans le train en voiture « B1 », 6 couchettes sans séparation / couloir, départ avec 30mn de retard...

 

 

Dim 09 nov

 

 

 

 

 

Nuit en couchette dur, dur. L’heure prévue d’arrivée (6h10) est largement dépassée mais toujours pas d’AGRA en vue.
On y arrive enfin avec 3 heures de retard, il est 09h15.

 

Belle pagaille devant la gare avec ce rassemblement de Rickshaw attendant le client. On se dirige à l’opposé de ce brouhaha, ça devient très calme et pour cause, il y a des travaux, la route est coupée et pas l’ombre d’un rickshaw à l’horizon pour rejoindre le centre-ville. Même à pied pas facile de trouver son chemin et nos sacs a dos ne nous facilitent pas la tâche quand il s’agit de passer les tranchées et gros tuyaux. Prêts à rebrousser chemin, un indien tenant une petite boutique nous indique une direction et l’on comprend que ça passe. On se fera les 3 km à pied .et de 3.

 

Ce n’est que pour une nuit donc on choisit un hôtel du guide le SANIYA Palace qui n’a encore rien d’un palace (comme à Delhi). La chambre ne semble pas être faite, ça se confirme puisque quelqu’un vient nettoyer mais sans changer les draps … contents d’avoir pris nos sacs à viande ils ne serviront que cette fois.
Allez ce n’est pas grave et la terrasse est pas mal avec vue sur le Taj Mahal. Petit déjeuner avec vue.
Comme on prévoit de partir dès le lendemain, il y a urgence à trouver un billet pour continuer notre voyage en bus.

 

On passe par une agence via un café. Oups ! Ça fait beaucoup d’intermédiaires tout ça et la note s’en ressent mais on joue la facilité et le plus rapide, l’agence n’étant pas en centre-ville. . Billet en poche il nous faut maintenant nos entrées pour le Taj, on est là (que) pour ça quand même. On a droit aux rabatteurs, vendeurs plus ou moins officiels mais au final il suffit d’aller simplement au guichet (encore fallait –il comprendre que la queue était destinée à l’entrée du Taj et non à l’achat des billets et que de plus notre billet « touriste » donnait droit à un coupe file. Privilège d’un billet à 750 Rs (prix touristes, mais quelques Rps pour les Indiens) et qui se répétera lors des visites à l’intérieur alors que les indiens forment une longue queue et attendent « presque » respectueusement (certains remontent tout de même les files sans que personne ne bronche). Le Zen Indien sans doute.

 

C’est la 2eme fois pour Christine mais c’est quand même fou ce palais. .

 

 

 

 

 

 

 

Déjeuner au Yash Café (c’est là que l’on a acheté nos billets pour JAIPUR, on saura plus tard que l’on s’est fait arnaquer … un peu bcp).

 

Dîner dans une gargote (bon d’accord c’est moi qui voulait). Celle du guide est sur le point de fermer en arrivant, du coup on prend sa voisine qui s’est avérée être pas mal du tout. Christine a enfin eu sa gargote.
On ne traîne pas, retour à l’hôtel et réveil à 6h30………

 

Lundi 10 nov

 

 

 

 

 

 

 

AGRA / JAIPUR

Bus

6h (Pour 5 prévues)

 

Comme prévu lever à 6h30. On est super efficace, départ de l’hôtel à 7h00 pour la gare routière à 8/9 km.
Le 1
er rickshaw nous demande 150Rs mais connaissant le tarif on s’éloigne et l’on s’en sort à 80Rs. On arrive tôt à la gare, du coup on a le temps de prendre un petit déjeuner.
Le bus part à 8h30. Attention c’est le luxe, on a la climatisation, en même temps à 550 RS par personne c’est un peu normal. On arrivera quand même avec 1h de retard...

 

 Moyenne

 

Sur la route…

 

 

 

Les plans approximatifs de nos 2 guides et la difficulté de se repérer nous entraînent 1 heure plus tard devant l’hôtel que nous avions « sélectionné » le Pearl Palace.
Arrhh !! Il est complet.
Néanmoins on visite une des chambres. Petit détail, serviettes de toilettes en forme de cygne sur le lit.
On se rabat sur son voisin l’hôtel KALYAN (Hathroi Fort Ajmer Road ??)
Pour notre 1
er jour on décide de visiter la vieille ville ….. C’est très bruyant bon en même temps on est en inde non !!! Il est difficile d’avancer sous les arcades qui regroupent des boutiques par activité.

 

 

 

La nuit tombe vite, on cherche un resto. Les DOORS (du guide) sera très bien.
Retour à l’hôtel, environnement calme mais P…. de clim ou ventilo et P…. de moustiques qui nous agressent encore.

 

MARDI 11 nov

JAIPUR

 

 

 

 

Petit déjeuner sur la terrasse de l’hôtel. Nos estomacs montrent quelques signes … à surveiller.
Direction la gare routière, et oui encore on adore ça. Pas vraiment mais ça fait partie du voyage et au final c’est toujours intéressant.
Après 3 ou 4 guichets on comprend que l’on ne réserve pas à l’ avance. Il suffit de se pointer et de prendre le bus qui part. Ce que l’on fera le lendemain pour relier BUNDI. On se rend aussi très vite compte que ce sera un bus N A/C, non climatisé pour environ 5 heures de route, faut bien varier les plaisirs 

Ce n’est pas tout, c’est que l’on est touristes quand même. On file vers l’arrêt de bus pour AMBER. Bus n° 29(N.A/C) ou n° 5 (AC). Le premier qui arrive est le 29 et 20 mn après …. Ouah !! Ça vaut le coup même s’il est 11heures et qu’il fait évidemment déjà très chaud.
L’audio-guide en français est indispensable. Ça va faire encore plein de super photos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour vers JAIPUR Old City, le bus n° 5 se présente, pas d’hésitation faut le prendre vu que les n° 29 sont bondés.
Anecdote, la responsable des billets ne parle pas anglais et il faut attendre un intermédiaire pour comprendre combien payer. On paie le même prix que pour l’aller soit 20 Rs pour 2 au lieu de 40 pour un trajet en n° 5 (pas Chanel hein vous suivez ?)
C’est l’heure de chercher un resto. Le PLB (guide) semble bien mais vu le prix (550 RS le Thali) et l’état de nos estomacs on se rabat sur un autre plus (trop) bas de gamme.
Pas très judicieux ce choix mais bon on verra si ce lieu plus que douteux aura un impact sur nos intestins.

 

 (Jaipur, le Palais des vents)

 

Ballade / Shopping dans les boutiques de la vieille ville. Pourquoi pas un pantalon ou chemise. Mais le marchandage est usant surtout le dernier qui à partir d’un « Good Price » (900 Rs pour 2 pantalons) nous laisse 1 pantalon pour 175 Rs. Mais assez énervés, on part sans acheter.
Quelques bons échanges en Espagnol avec certains vendeurs (oui en espagnol, même en Inde).

 

 Retour à l’hôtel pour une séance d’écriture de cartes postales, un 2éme anti diarrhéique (on ne sait plus quand était le 1er) et un 2eme cola (là on se souvient , le 1er c’était en arrivant a Amber hi !! hi !!)

 

Le repas du soir sera composé de riz blanc, riz byriani, plain chapati et eau à température ambiante.

 

Pff !! Dur dur sachant qu’il y a de la bière et que la terrasse est bien sympa… excepté les 2 couples Portugais et Brésilien qui discutent un peu fort juste à côté.


 Mercredi

12 nov

 

 

 

 

JAIPUR / BUNDI

Bus

 

Réveil à 6h30 (et oui encore ce n’est pas facile la vie de touriste). Départ avant 7h pour rejoindre à pied la gare routière.
On connaît le guichet (repérage de la veille) mais ça reste peu clair coté billets. Finalement achat au guichet mais pas tout saisi pour le prix … au début. On comprend que les femmes payent 30% de moins. On s’en tire pour une misère (comparé au trajet luxe AGRA JAIPUR a 550Rs / personne) 312 Rs pour les 2.
Euh ! Le bus est aussi un peu misère quand même.
7h30 c’est parti pour 5 heures de route. Nos sacs ne risquent rien, ils voyagent avec le conducteur.

 

Zut ! On a oublié d’acheter des bananes, notre carburant habituel lors de voyage train ou bus. Ce sera fait au prochain arrêt, dans une gare routière. 
Arrivée à BUNDI à 12h45, pas mal. 5h 15 pour 5 heures annoncé.et tout ça avec un bus « ordinaire » on ne peut pas se plaindre.
Petit détour par l’office de tourisme et hop ! sac sur le dos, direction le RN Haveli (Guide) . Amusant coté déco et rustique, on reste.
Bon après coup un peu plus de luxe aurait bien convenu à Christine. Elle s’embourgeoise !!!

On déjeune aussi sur place vue notre heure d’arrivée.
C’est un peu long, rien n’est fait à l’avance mais on patiente avec une bière, la 3eme du séjour, et ben on est raisonnable !
Découverte de la ville. Le puits de la reine, le marché.
On prend le thé, en marchandant des fringues, avec le vendeur d’une des boutiques.

On dîne sur la terrasse du HAVELI KATKOUN. Une apparence chic mais un rapport Qualité/ prix super et un bel accueil.

 

Retour à l’hôtel. Corvée de lessive, douche et au lit.

 

 

Jeudi 13 Nov

BUNDI

 

 

 

 

 

Nuit très moyenne, bruit. Pourtant BUNDI est une petite ville. Petit déjeuner au RAIMBOW. Nous sommes les seuls clients, comme au déjeuner qui suivra. Petit détail, la terrasse est grillagée pour se protéger des singes, comme dans beaucoup d’autres.
Objectif le fort. Il est à l’abandon comme le décrit le guide. Pas ou peu de touriste et pas d’indication pour le visiter. Au final une super découverte de plus de 2 heures dans une végétation parfois dense et peuplée de singes ( un bâton s’avère très utile et nous rassure aussi vis-à-vis des singes).

Visite de l'exposition de peintures dans le pavillon supérieur du palais en redescendant.




 

Déjeuner au RAIMBOW.
Visite du palais, décevant, peu de chose à voir. Déception sans doute expliquée par notre géniale visite du matin.

On quitte le palais pour aller vers le centre en changeant de trajet. On tombe sur un autre puits dont l’accès est fermé mais les clés ne sont pas loin, juste en face.
Une femme nous ouvre et on a droit à une visite privée de ce puits indiqué sur la carte remise à l’office du tourisme mais absent des guides. Une jolie surprise excepté les moustiques qui s’en prennent encore à Christine (eau stagnante, ça ne pardonne pas).

Toujours à la recherche d’un pantalon ou tenue sympa, on aborde 2 jeunes filles qui portent des tenues comme Christine cherche. L’échange est difficile (elles ne parlent pas anglais ou si peu), elles nous conduisent dans leur magasin qui ressemble à n’importe quelle autre boutique de ce marché.
Les modèles qui me sont proposés ne sont pas du tout à son goût, les tenues des filles datent de 2 ans et ne se font donc plus.
On rentre à l’hôtel encore bredouille. On commence par demander la « Bill »(la note). C’est le frère qui s’en occupe mais au même moment des clients arrivent dont 2 français … la bill devra attendre.
La discussion s’installe entre la mama des lieux triant ses légumes et les français dont la fille, Julie est en inde pour plusieurs mois et a travaillé au Palais des thés dans le marais. Peut –être nous a-t-elle déjà servie 

En discutant avec Julie, on s’aperçoit que nous sommes en Wait List (liste d’attente) pour le trajet en train de JAISALMER à DELHI. Une petite inquiétude nous envahi.
Il est presque 20h et toujours pas de Bill. En fait on n’était pas enregistrés. Une fois les démarches faites et la note payée on se pose de nouveau au KATKOUM pour un dîner bien mérité.

 

 

VENDREDI

14 nov

 

 

 

 

 

 

BUNDI / AJMER/PUSHKAR

Bus 4h30 + Bus 30mn

 

 

Lever 6h30 et départ à 7h vers la gare routière (on est rodés)
Un bus attend voie 21 normalement pour AJMER. On monte. Oups ! Pas de banane
On espère que le voyage se passera bien vu le comportement de nos intestins cette nuit.
On paie dans le bus. Nos bagages voyagent avec le chauffeur et nous dans le fond du bus. On s’est fait jeter des 2 places de devant (sait pas bien pourquoi).
C’est parti pour 4 heures qui feront au final 4h 30, pas mal du tout.
2 événements durant ce trajet et 2 facettes de ce pays .L’un animé et inattendu, une discussion entre le vendeur de billet, une femme qui vient de monter et des clients - qui semblent prendre parti pour la femme – et qui se termine par l’arrêt du bus et descente forcée de la femme. L’autre triste, une femme et une gamine montent et s’installent juste derrière nous. Elles sont maigres, habillées quasi de  haillons  et « odorantes » elles ont quitté le bus sans que Christine s’en aperçoive.

12h, arrivée à AJMER. Il n’y a plus qu’à trouver le bus de ville pour PUSHKAR... En demandant on trouve de suite. 30 mn de bus et (14 +11 Rs).

 

Un peu de mal à trouver le Inn SEVEN HEAVEN mon palace... Mais il n’y a pas de chambre dispo pour 2 nuits  
On passe en face au KANHAIA HAVELI (cité aussi dans le guide). On y reste, ce n’est pas mon palace mais c’est plus chic que nos hôtels précédents. Même si la chambre est petite.


 

On y déjeune en terrasse mais c’est devenu une habitude.

 

 

On laisse nos pantalons à l'accueil pour un lavage bien mérité.
Ballade dans l’après-midi, shopping mais sans achats, on pourrait dire lèche vitrine mais il n’y en a pas ;-)

On en profite pour repérer la «bus station» pour le trajet jusqu’à JODHPUR.
Dîner à l’Hôtel, on y mange plutôt bien et de plus on peut demander une variante moins épicée.

Un peu cassée, Christine s’endort très vite, l’hôtel est calme jusqu'à 7h. C’est bien appréciable.

 

 

 

SAMEDI 15 Nov

PUSHKAR

 

 

 

 

Bien reposée après cette super nuit.
Petit déjeuner toujours en terrasse, au soleil. Il fait juste frais. Chapati jam et Paneer Parota au menu. Ce n’est pas du pur Indien mais ça nous va bien.
Basket au pied on trace vers le temple
SAVATRI à 1 heure à pied du centre. Il commence à faire chaud.

 

 

On a enfin trouvé les dernières cartes postales à envoyer, il reste à dénicher le bureau de poste local. Ça nous prendra une ½ heure...
Shopping au retour. Cette fois c’est la bonne, 2 pantalons à 150 Rs et 480 Rs mais achetés à 150 + 250 après une dure négo. Au passage devinez qui est le plus dépensier, nan nan ce n’est pas Christine.
On oubliait un «presque achat» de 2 bagues identiques mais la taille pour Joël n’était pas dispo. Ce «presque achat» deviendra un objectif (pour ne pas dire une obsession) le reste du voyage et nous fera faire moult boutiques et km pour tenter de trouver si ce n’est les mêmes au moins le même style de bagues et pour nous 2.

Il est déjà 14h30, déjeuner de nouveau à l’hôtel.
On va découvrir le lac (petit) et les Ghats.

 

 

Puis vers 17h on se dirige vers le temple «PAP MOCHANI» pour voir le coucher du soleil. On n’est évidemment pas tout seul mais c’est loin d’être envahi.
Des Jeun's jouent de la musique et chantent en regardant le soleil se coucher voire même en lui parlant pour lui dire au revoir et a demain. Ça ressemble à un rituel.
Quelques locaux sont également présents et peut être là pour le spectacle donné par les touristes.

 

Pour le dîner un peu de changement. Ce sera le OM GARDEN (dans le Guide) avec bière (même si c’est introuvable à PUSHKAR d'après les infos des guides!!!) pour commencer et plats indiens peu épicés …pour touristes.
On rentre se coucher, demain réveil à 6h30
C’est à PUSHKAR que l’on découvre que le prix annoncé (pour l’hôtel) est hors taxe, de plus cette taxe est très variable. On paiera donc 1200 Rs au lieu des 1000 Rs prévues.

 

 

DIMANCHE

16 nov

 

 

 

 

 

 

PUSHKAR- JODHPUR

Bus

 

 

 7h direction la gare routière pour le bus de 8h qui partira à 8h15.

 

On grignote toujours en route, souvent de Bananes et quelques amandes. Les petits «snacks» locaux me manquent…..
Je tente 2 beignets bien gonflés et …. Oups ! ils sont fourrés au piment. Un peu plus tard je suis attirée par de petites boulettes frites. C’est bien appétissant vu de la fenêtre du bus. Allez, je descends, j’avais de plus vu qu’ils ajoutaient un piment entier dans le cornet de boulette. Je prends un cornet sans l’option piment et contente je remonte dans le bus. Le couple de devant et leur bout ‘chou en mangent justement...
Re Oups !! il y a aussi du piment à l’intérieur, et même sans l’option, dur dur pour nous, presque qu’immangeable, d’ailleurs la bouche en feu on ne finira pas le paquet.
Quelques Jaledis (zlabia à belleville 
) valeur sûre, éteindront le feu.

Arrivée à JODHPUR après 5h30 de trajet. Il est 13h45

Hôtel HARE KRISHNA (je ne sais pas si c’est le hasard ou vu sur un guide)

On y déjeune en terrasse sur des tables basse, assis sur des coussins et face au fort. Il n’y a personne.

 

Ballade dans la ville, le marché, les stands d’épices sont nombreux. On s’y arrête sans acheter. Le MV Spicy est cité au guide mais devant la queue de touristes on fait demi-tour. On retourne dans le marché moins fréquenté pour acheter dans une petite échoppe ou le patron nous avait expliqué et montré les différentes épices. On se limite à 1 sachet de curry et un autre de Garam Masala. Un moment bien sympathique a papoter, sentir, apprendre (Recettes) et enseigner (qq mots en français).

 

On dîne de nouveau à, l’hôtel, c’est agréable et les plats faits a la demande donc pas trop épicés.
On réserve aussi le trajet de JODHPUR a JAISALMER sur une compagnie privée.

Un peu marre de nos bus locaux et voulant un peu plus de confort on pensait que c’était un bon plan.
De plus JODHPUR étant qu’une escale, on se tapait 2 jours de suite 5 heures de bus.
Billet en poche (2 x 280 Rs / là les femmes n’ont pas de réduction) on va se coucher.

LUNDI

17  nov

 

 

 

 

 JODHPUR- JAISALMER

Bus

 

A 7h30 nous sommes en bas de l’hôtel pour attendre notre Rickshaw….. Euh finalement pas certain que le boss  ait fait le nécessaire  !!
Pas de problème, le gars à l’accueil nous en trouve un.
80 Rs parait peu au chauffeur mais le Boss nous avait donné ce montant donc pas 1 Rs de plus.
A la gare routière de notre « private bus», le gars derrière son guichet nous indique  «c’est celui-là» en désignant un bus qui n’a rien correspondant à la notion  «deluxe», de plus c’est un bus de nuit  aménagé partiellement en couchettes fixes et les sièges ont fait plus que leur temps.
Toujours bananes et amandes pour notre grignotage plus quelques découvertes au hasard des arrêts.
Beignet  «no chili» m’assure le vendeur. Pas mal du tout même si nous n’avons pas la même notion du «no chili» hi !hi !
Puis quelques sweet vraiment sweet sous forme de boulette à base de farine de pois chiche mais c’est  juste une supposition (Ladhu...). (Testé en rentrant, par le chef Joël)
Coté luxe on était loin de ce que l’on imaginait mais on ne mettra que 5h30 pour les 280km de trajet.  Le luxe est sans doute là !

JAISALMER est la ville la plus proche du PAKISTAN, ce qui explique la forte présence de camps militaires juste avant l'arrivée.
Bon faut trouver mon palace ou au moins une chambre un peu classe, on est là pour 3 nuits.
On arrive au KB Logde même  si on se disait qu’avec 5 chambres et de plus cité au Guide Lonely, il y avait peu de chance de trouver notre nid ici.
Et bien si ! On nous montre 2 chambres à 3000 Rs et l’annonce de ce prix vue la chambre je me dis que pour mon palace  ce n’est pas gagné. Devant notre hésitation, il nous présente une 3eme chambre sans clim à 1800  Rs. La température baisse le soir, on se dit que la clim n’est pas vraiment nécessaire. Par contre je ne suis pas convaincue du calme de cette chambre.
Thé sur la terrasse. On est plutôt bien situé, c’est classe (la terrasse surtout) et le thé nous est offert.

 

 

On part découvrir la ville et son fort, 

Quelques déballages de tissu au passage (ah oui je cherche un dessus de canapé) , visite d’un bijoutier cité dans le guide comme incontournable. Le travail de gravure réalisé à la loupe sur des bagues, pendentifs est assez incroyable mais je ne craque pas du tout pour le résultat.
On dîne au CHAM  T… pour tester le thali  …….. too hot (trop épicé) ! !! C’est à volonté mais on se contentera  de double ration de riz et chapati.
Allez un Spafon en rentrant.

 

MARDI 18 Nov

JAISALMER

 

 

 

Petit déjeuner very English sur la terrasse classe de notre hôtel. Eggs, toast, jam butter and fruit salad.

Ca m’embête ce petit dej non indien quand même …. Direction la vieille ville dans le fort. Tchai au SHIVA CAFE…. Trop Cool !!

On en profite pour repérer les agences proposant une ballade dans le désert.

Déjeuner au 8th JULY. Plat à base de rajasthani Beans  (vu sur le marché à Jodhpur). Ça ressemble à des herbes sèches et une fois cuit un peu a des salicornes.

On poursuit notre ballade. On tombe sur un couvre-canapé … tient ça pourrait le faire. Il suffit de s’arrêter devant un article pour être invité à entrer. Cette fois on dit oui.
Le couvre canapé est déplié, pas mal, les dimensions  sont parfaites mais le prix ça ne le fait pas. 2500 Rs ce qui correspond plus à des tissus brodés et celui-ci est imprimé.
Il nous fait un super discount de 200 Rs soit 2300. Je lui dis que c’est trop cher et que ça vaut moins de 1000 Rs. Ça tique un peu mais c’est le jeu et on commence à avoir une idée des prix.
Je m’aperçois que le décor bave un peu sur dans une zone  et lui dis que je ne veux plus de celui-là  à cause de ce défaut  d’impression. Il n’en a pas d’autres et me demande combien ….. Je dis 500 Rs…. Oh Oh il dit Oui !
Visite de l’HAVELI  NATH  NASMA, ancienne maison d'un riche négociant. (HAVELI = Petit palais ou maison de maître)

 

Puis il faut se décider sur une agence pour notre ballade dans le Désert du THAR. On retourne à «DESERT………» mais elle est fermée.
Allez on retourne faire du shopping. Résultat 2 tuniques après une cinquantaine déballée... Une noire pour moi (100 Rs) et une verte pour mon homme (180 Rs)  c’est qu’il revient cher.


On retourne à l’agence et on «signe» pour notre escapade dans le désert ( 1200 Rs / personne). Le départ est prévu à 15h le lendemain.
Dîner  au SHIVA. Une fois n’est pas coutume une petite bière pour commencer même s'il n’y a que la Kingfisher de base).  Le Thali est noté (sur demande du patron) 7,5/10.

MERCREDI 19 Nov

JAISALMER

 

 

 

On se réveille tôt vers 7h et l’on est sur la terrasse dès 8h pour le petit dej. On apprécie la légère fraîcheur qui ne va pas durer.

 
Au menu comme hier mais Christine tente le thé au gingembre pour faire un peu local.


Visite du palais à l’intérieur de la citadelle.

Super intéressant surtout avec l’aide de l’audioguide indispensable. La visite se termine par une longue discussion avec le bijoutier sculpteur, dont nous avons visité la boutique le lundi, qui peut travailler plusieurs jours sur une bague en fonction du nombre de détails gravés.
Pause thé au SHIVA CAFE  toujours aussi cool et oui encore mais on s’y sent tellement bien. 

Après déambulations dans les rues de la citadelle on déjeune au ?????????.Retour à l’hôtel pour un petit changement de vêtement ou plutôt un ajustement de tenue, c’est que l’on va dans le désert…
15 h départ de l’agence en taxi. Première étape,  BAJA à 6 km. C’est un cimetière de Maharajah, l’entrée est a 150 Rs / personne mais on n’est pas là pour ça et on demande à notre chauffeur de continuer.


Deuxième étape, des temples Jaïn et là encore il faut payer. On pense que là le chauffeur a compris. En chemin il nous arrête dans un village très pauvre (ce n’était pas prévu on pense), les enfants demandent  des stylos  et on regrette de ne pas y avoir pensé. L’école est payante et pas sûr que tous ces enfants y aillent.

 

On reprend la route, sur le bord on voit 3 chameaux et un chamelier, c’est pour nous. Salim nous accueille.


Il faut monter sur notre chameau, chacun le sien et c’est parti pour 50 mn tous doux mais déjà impressionnant. Au bout de quelque minutes ça va déjà mieux.
Pas de dune à l’horizon mais en arrivant au campement de Salim,


elles sont là… Salim s’occupe du repas pendant que l’on a quartier libre pour explorer (pas trop loin quand même) les alentours et se balader dans les dunes.

On revient vers Salim pour discuter un peu. Il prépare du riz, un plat de lentilles/légumes  et des chapatis le tout avec quelques gamelles et  du bois. 

Le soleil se couche, on mitraille…

Et c’est l’heure du repas même s’il n’est que 18h15.

 

Pas de fourchette, pas le choix, ce sera avec les mains.
Tout est calme, il fait de plus en plus sombre et on apprécie ce moment.
Il faut retrouver notre chauffeur, on repart pour 30 mn de chameau dans la pénombre. C’est magique.
45 mn de taxi pour retrouver la ville, passage à l’agence pour dire du bien de Salim et écrire quelques mots sur le livre d’or.

Bien besoin d’une bonne douche

JEUDI 20 nov

JAISALMER

 

 

 

Il est 7 heures. Lever toujours tôt comme le soleil et avec le réveil de  la ville.
Pas 8 heure et déjà sur la terrasse qui commence à chauffer.
Ce matin je demande autre chose que des toast et des œufs. On aurait dû le faire avant, il nous est proposé des parathas avec Chutney ou beurre et confiture. Yes !! le tout accompagné de fruits frais et thé Hum !! C’est bon. Un peu gras certes mais un peu plus local.
Retour à la chambre pour faire nos sacs et la libérer. Le boss n’est pas là, difficile de se faire comprendre. On changera des euros plus tard et on paiera aussi plus tard.

Direction le lac « Garissar Lake » (cité sur le routard et pas dans le lonely).

C’est plutôt sympathique, très fréquenté par les locaux en fin de semaine pour un pique-nique ou une ballade en pédalo (cygne).
On pousse jusqu'à la gare pour vérifier si nous sommes passés en liste principale. Tient ça nous rappelle quelque chose, LA … LP. A priori c’est trop tôt.

On retourne vers la citadelle pour notre rituel de fin de matinée, c'est-à-dire un chai sur la terrasse du SHIVA CAFE.
Avant de le quitter on visite une chambre certes un peu rustique mais tout y est et surtout le tarif est très bas 600 Rs.
On cherche désespérément un resto «cuisine du sud»  envie de Dosai mais ce sera encore riz et dhal pour le déjeuner au Surya.
Retour à l’hôtel  tranquillement,  en flânant encore un peu.
On change 100€ (7500 Rs) et on règle la note : 1800 x 3 =  5400 Rs petit dej compris).
Et voilà il faut quitter JAISALMER dernière ville de notre séjour.

Habituellement il y a plein de rickshaw  devant l’hôtel et là rien on part à pied avec nos sacs et jusqu’à la gare.
En route on achète quelques bananes, un rituel aussi avant de prendre bus ou train.
Arrivés à la gare, même si le boss de l’hôtel avait vérifié sur internet, on regarde la liste affichée sur le quai. Nos noms sont là au milieu des noms indiens.

billets

17 heure, le train part à l'heure, en même temps il partait de JAISALMER.
Nous sommes en voiture A1 correspondant à 2x2 couchettes + 2 superposées coté couloir comme pour DELHI / VARANASI. (Classe 2AC)
Couchette supérieure D  et inférieure G.

VENDREDI 21 nov

DELHI

 

 

 

Quelle nuit ! Entre notre 4éme colocataire qui débarque vers minuit, le contrôleur qui allume pour vérifier son ticket, les voisins et tous ceux qui se déplacent dans le couloir en emmenant avec eux le rideau, qui normalement  isole notre compartiment, sans  le remettre et qui oblige à se relever 15, 20 fois afin de «recréer » un peu d’intimité, on ne peut pas dire que c’est reposant.
Bref, vers 7h30 bien éveillée et pas reposée (Joël a dû davantage profiter de la nuit).
Un petit chai (10 Rs), un peu forcé pour Joël (faut dire que l’on a limité le lait n’ayant pas l’habitude d’en consommer) mais qui fait du bien. Christine en prendrais bien un 2ème … mais Joël l’en dissuade.


Amandes et bananes nous font patienter jusqu’à l’arrivée.
On pensait être presqu’à l’heure mais on mettra plus 1h pour parcourir les 20 derniers km. Résultat 1h15 de retard


On évite de prendre un rickshaw devant la gare (mais avec le recul c’est un peu idiot).
On part donc à pied. A noter que Christine est en Tongs puisque pas prévu de marcher. Et comme d’hab personne ne nous sollicite lorsque l’on en a besoin.  On prend la mauvaise direction et on s’éloigne de Main Bazaar le quartier des hôtels.
Le rickshaw est devenu obligatoire. Entre le sac qui pèse, le bruit, les km faits pour rien et les Tongs pas facile d’avoir le sourire et  rester zen même en Inde.
On négocie à 50 Rs et l’on monte dans un rickshaw pas de première jeunesse. Ça n’avance pas. C’est un enchevêtrement de pousse-pousse, risckshaw, vélo et piétons, eh oui, comment dire, le mot trottoir ne correspond pas à grand-chose ici.
Notre super rickshaw a du mal tout de même, il chauffe. Il cale (ou tombe en panne) dans la rue de notre 1er Hôtel  à Delhi et on décide de terminer la course là. Là c’est devant le DADA Cottage, inconnu mais on visite tout de même une chambre (1200 Rs), et pour une seule nuit on y reste. Chambre immense avec 2 lits doubles, et séparée de la salle de bain par une vitre !!!
Il est temps de faire une pause déjeuner. On a rien noté, ça ne devait pas être terrible...
Direction le quartier des bijoutiers (encore des km dans les pattes) et malgré le nombre de boutiques visitées avec la même question : « Have you got Méditation rings ». Rien, on repart encore à vide, et on retourne vers l'hôtel à Main Bazaar. Pour rappel on est toujours à la recherche de 2 bagues identiques depuis que l’on en a vu de superbes à Puskar.
Après 3 semaines ce quartier nous parait  beaucoup plus agréable qu'à notre arrivée et on s’y ballade avec plaisir faisant les boutiques. On repère un lieu pour une bonne bière. On y prendra aussi nos repas, c'est le Sam's Café...

 

SAMEDI 22 nov

DELHI

 

 

 

Petit déjeuner gargantuesque au Sam's Café.


On réserve notre taxi à l'endroit repéré la veille grâce à une grande pancarte «Taxi 350 Rs pour l’aéroport » On en profite pour entrer dans la boutique attenante, en apparence de fringues, mais pas seulement et du coup on pose notre éternelle question : «Have you got Méditation rings ». Le vendeur nous propose des bagues qui ressemblent à celles que nous recherchons, mais on préfère réfléchir et se rendre avant dans le quartier des Népalais.
Déjeuner
Visite du Mémorial de GANDHI, sur le lieu de son assassinat, un moment émouvant.

Et un choc en entrant dans la pièce, face à 2 statues de cire… tellement réelles.

Retour à la boutique pour, enfin, acheter nos « Méditation Rings »
Dîner au Sam's Café...
On sera un peu en avance pour prendre notre taxi, l’occasion de prendre un thé offert par les boss des boutiques attenantes.

Notre taxi (plutôt la voiture d’un pote au boss d’une boutique) arrive et nous amène jusqu’à l’Aéroport sans problème et coté confort rien à dire comparativement à notre vrai taxi pourri de notre arrivée.

On change nos dernières roupies mais quelle arnaque, la commission est démesurée mais bon on ne va pas ramener ça en France

 

DIMANCHE 23 nov

PARIS

 

 

 

Belleville est bien calme ……..

26 décembre 2013

Andalousie 2013

 

 

 

ANDALOUSIE 2013

Du 23 Septembre au 11 Octobre

Seville – Cazorla - Nijar

carte

Lundi 23/09/13

Paris - Séville

Départ de Paris Orly à 9h30, atterrissage à Séville à 11h55.
Après la récupération de nos bagages nous prenons le bus pour le centre-ville, et plus précisément la Calle de los Reyes Catolicos, proche du quartier « El Arenal » ou nous avons réservé notre logement via Homelidays.
Raphael, notre logeur nous donne rendez-vous au marché El Arenal. C'est lui qui nous trouvera en train de boire une bière dans un bar du marché. Il nous repère grâce à notre « Français ».
Ensuite il nous guide dans les ruelles du quartier jusqu'à la calle Carlos Canal, ou nous entrons dans la cour d'un immeuble.
Au dernier étage il nous ouvre la porte de l'appartement. Nous apprenons que c'est en fait son logement qu'il loue pour arrondir ses fins de mois, et que pendant que nous l'utiliserons il ira squatter chez une amie...
Décor un peu particulier chez cet artiste.

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Après avoir trouvé un bar pour prendre notre déjeuner, nous partons à la découverte du quartier, et repérer les boutiques pour remplir un peu le garde-manger.

En début de soirée, premier rituel Sévillan avec un verre au bar El Rinconcillo.

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Et 1° dîner sur notre terrasse...

Mardi 24/09/13

Séville

Après un petit déjeuner
en terrasse, et un footing de 5 Km sur les pistes cyclables et piétonnes qui longent le fleuve,

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nous décidons d’aller visiter
El Palacio de la Condesa De Lebrija. 5
Palais du XVI° siècle, et aménagé au début du XX° par la Comtesse de Lebrija, grande voyageuse et collectionneuse.

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En parcourant les rues à la recherche de La Botica de los Perfumes (en travaux avant son ouverture), nous découvrons une boutique d'articles d'occasions et « vintages ».

Christine en profite pour essayer une robe Flamenca.

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Une petite pause pour boire un verre avec tapas en terrasse et nous rentrons déjeuner à l’appartement.

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Depuis que nous venons à Séville, Joël n’a pas encore vu la Plaza de España.
Nous nous y rendons, et il découvre ce bâtiment de briques, en arc de cercle

 

 

 

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avec ses bancs décorés d’azulejos représentant les différentes provinces espagnoles, comme CAZORLA (province de Jaén).

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Et les ponts enjambant le canal, ou des couples font de la barque…

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Retour à l’appartement pour le dîner et nous allons dans le quartier de Triana, sur l’autre rive du Guadalquivir pour une soirée dédiée au Flamenco.

Ce sera dans un lieu atypique, La Casa Anselma, ni bar, ni club, juste une maison presque banale qui ouvre ses portes le soir, à partir de minuit, pour un spectacle unique.

Anselma est aux commandes, et dès que chacun a son verre les artistes peuvent commencer à jouer,

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et Anselma se mettre à chanter…

 

 


Un moment magnifique au milieu de la nuit Andalouse.

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Mercredi 25/09/13

Séville

Lever un peu tardif, dû à la soirée de la veille, on prend le temps de profiter de la terrasse.
Dans l'après-midi visite de la Casa De Pilatos, palais du XV° siècle, de style Mudejar, Gothique et Renaissance, et  riche de nombreux tableaux, dont la visite est gratuite le mercredi ;-)
Beaucoup d’azulejos et de marqueterie. 
Dont une copie de « La Mujer Barbudera » (la femme à barbe) de Jose de Ribera.

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En soirée passage, presque obligé, à la Carboneria. Très fréquentée, comme à l'habitude, mais la
musique et la danse sont offertes sous réserve de prendre un verre.
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Et cette fois, comme souvent, le meilleur se trouve dans la pièce voisine, ou des concerts improvisés se déroulent, au hasard des musiciens de passage.
Ce soir-là le niveau est bon, piano, guitare et violon.
Les personnes présentes chantent, en espagnol, anglais ou français, et certains se mettent même à danser une sévillane entre les tables.

Ce n'est pas encore ce soir que l'on se couchera de bonne heure...

Jeudi 26/09/13

Séville

Après le désormais traditionnel petit déjeuner en terrasse de notre appartement, un petit footing pour se remettre en jambes, le long du Guadalquivir. Juste ¾ d'heure et une bonne douche pour être en forme la journée.

Nous avons vu sur internet qu'un centre commercial dédié aux Outlet existait à Séville.
Ce sera le but du jour.

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Il est situé dans une zone proche de l'aéroport, mais des navettes de bus gratuites sont à disposition des clients.

Découverte de cet espace de vente, mais pas de folies sur les achats, on reste raisonnable...
Pour le déjeuner ce sera « 100 Montaditos », une chaîne de restauration qui a une boutique dans la galerie et propose une  carte impressionnante de petits sandwichs.

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Retour sur Séville, et au passage on peut admirer ces 2 danseuses de Flamenco, devant le mur d'enceinte de la cathédrale.

 

 

 

 

 


On passe par l'appartement récupérer le cadenas que l'on a préparé afin de l'accrocher à la rambarde du pont Isabel II, comme cela se fait sur la passerelle des Arts à Paris.
Nous avions remarqué l'année précédente que quelques cadenas étaient accrochés ici.
Cadenas préparé et gravé à l'avance …1

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Et comme le veut la coutume, la clef finira au fond du fleuve, pour que personne ne puisse l'ouvrir...

Merci aux touristes de passage à ce moment, et qui ont pris la photo... 3

Au retour on remarque sur une affiche annonçant la Carrera Nocturna del Guadalquivir.

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L'édition 2013 est prévue le lendemain soir...
Dommage que nous ne l'ayons pas su avant, car on aurait pu retarder notre départ de 24 heures pour y participer.
On garde l'information en tête pour un prochain voyage...

 

 

 

 

 

 

 

 


Mais il faut rentrer et préparer nos valises, car demain matin on quitte Séville, et on prend le train pour la suite de notre séjour.

Vendredi 27/09/13

Séville / Jaen / Cazorla

Deuxième envie de Joël, aller visiter la sierra et la ville de Cazorla, nous prenons donc le train pour Jaén. Lever de bonne heure pour rejoindre la gare et embarquer pour 3 heures de voyage.
A l'arrivée nous récupérons la voiture que nous avions réservée par avance.
Petit problème, il n'y a pas de véhicule disponible dans la gamme prévue...
On nous en fourni une de gamme supérieure aux mêmes conditions tarifaires. Cool.
On en profite pour discuter avec la personne présente au guichet, qui porte un tee-shirt de course.
En fait il fait du VTT, mais il nous donne des indications pour trouver les calendriers de courses à pied dans la région, et sur toutes les provinces Espagnoles.
En attendant que la voiture soit prête on part un peu en ville, car on a noté l'adresse d'une Botica de los Perfumes. Elle existe bien, mais elle est fermée à cette heure, sieste oblige.
Nous n'avons pas le temps d'attendre son ouverture, il nous reste la route à faire pour Cazorla.

Retour à la gare, la voiture est enfin prête, et on part...

 

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En arrivant sur Cazorla on contacte le propriétaire de la maison que nous avons louée.
Il nous donne rendez-vous à une station-service à la sortie de la ville et il nous conduit à quelques kilomètre de là, dans un petit village : Burunchel.

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La maison est située au bout d'un chemin, et paraît très calme.
Belle surprise avec une piscine privée à l'arrière.

 

 

 

 

 

Samedi 28/09/13

 Cazorla

Après notre installation dans la maison, et une bonne nuit de sommeil on part sur Cazorla pour découvrir la ville, et prendre nos marques au niveau des commerces.

Passage à l'office du tourisme pour obtenir des renseignements sur les randonnées à faire, et les sites à ne pas manquer.

 

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Après le déjeuner, pris à la maison, direction la    maison du parc, ou on devrait trouver des guides et cartes pour les ballades des jours suivants.

 

 

Dimanche 29/09/13

 Udeba

 

Mauvaise nouvelle, le quartier dans lequel nous logeons est le rendez-vous des jeunes de la ville, le week-end. Au programme, musique forte une bonne partie de la nuit, au détriment des voisins !!!

 

Le soleil n'étant pas au rendez-vous, nous décidons d'aller visiter la ville voisine de Udeba.
Belle ville avec des ruelles pavées et de vielles maisons. 

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Comme souvent il nous faut trouver un endroit pour manger et ce n'est pas toujours facile pour les végétariens que nous sommes.
A force de tourner dans les vieilles rues pavées, on tombe sur un petit resto qui peut nous faire un plat adapté à notre alimentation.
Le cadre est magnifique, et le personnel sympathique.

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Retour sur Burunchel, sous un ciel toujours très bas.

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Joël part faire un footing de 35' sous la pluie, et on dîne de bonne heure en espérant que les jeunes citadins seront rentrés chez eux et que la nuit sera de nouveau calme.

Lundi 30/09/13

 Cazorla

La nuit a été calme, mais le ciel est toujours bouché.
On est venu pour découvrir la sierra, alors on s'équipe en conséquence, et direction El Puerto del Gilillo. Contrairement au peu de marcheurs que l'on croisera nous sommes en « Merrel », chaussures minimalistes de Trail qui dénotent dans le monde de la randonnée de montagne !!! 

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En chemin on s'arrête cueillir quelques grenades...

Pause déjeuner dans un paysage un peu étrange avec une maison en ruines... 1

Et en cours de descente on profite des percées dans le ciel pour prendre quelques belles photos.  

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1 Vue sur Cazorla.

Mardi 01/10/13

 Hornos De Segura

Le parc de Cazorla est grand, et nous décidons d'aller voir, à l'opposé du lac, la ville de Hornos de Segura, un hameau perché telle une forteresse.

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La première chose que nous voyons, ce sont les arènes du village, sur le bord de la route qui monte au château surplombant la vallée.

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Il y a relativement peu d'Arènes anciennes en Espagne, puisque les corridas de taureaux se déroulaient traditionnellement sur la grande place des villes et villages, aménagé pour l'occasion. Les quelques exceptions sont souvent biscornues et toujours appréciées des aficionados. Ainsi les arènes de Segura sont curieusement rectangulaires, contrairement à toutes les règles. (Guide vert Michelin)

 

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Vues imprenables du parvis du château, nous redescendons sur le centre du bourg pour trouver un lieu ou déjeuner.
Un seul établissement est ouvert, il faudra faire avec... Après le repas, on continue la découverte du bourg.

 

 

1 Son environnement,

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Sa fontaine monumentale,

 

 

3  Son Hammam.

 

02/10/13

 Cazorla

Alternance de randonnées et de visites en voiture.
Aujourd'hui nous remettons les chaussures de marche pour aller voir la source du rio Borosa.

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Avec vers le sommet un passage surprenant dans un tunnel un peu sombre et sportif. Heureusement que l'on avait pensé à prendre les lampes de poche...

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Pause pique-nique au soleil (enfin) près d'un lac, au milieu de nulle part.

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Au retour, 2 options se présentent. Le même chemin qu'à l'aller, ou une variante par La Cerrada de Elias.

Nous choisissons de changer de parcours et découvrons un chemin spectaculaire à flanc de montagne, surplombant la rivière...

Au retour, Christine a envie de voir le Parador de Cazorla. Grande demeure transformée en hôtel de luxe, et bénéficiant d'une vue imprenable sur les alentours.
Nous visitons le hall, et la cour, mais au moment de repartir la voiture refuse de démarrer...Comble de malchance, pas de réseau téléphonique au milieu des montagnes.
L’hôtesse d'accueil nous prête le téléphone de l’établissement, et nous sert d’interprète auprès de la société de location.
Au final il suffisait d'appuyer sur la pédale d'embrayage pour actionner le démarreur.

Une bonne frayeur, mais qu'est ce qu'on s'est trouvés bêtes !!! et pas de photos dans la panique...

1Il faut rester vigilant sur la route... Un troupeau de chèvre traverse devant la voiture, sans se presser...

Arrêt à la boutique de Burunchel pour acheter quelques bières, que nous dégusterons dans la piscine.
L'eau n'est pas très chaude, mais c'est un bon moyen de se détendre après une randonnée, et le calme et le paysage sont une belle invitation.

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Jeudi 03/10/13

 Cazorla

Proche de notre hébergement se trouve la source du Guadalquivir.
Nous décidons d'y aller.
Sur les cartes il existe un chemin plus court que la route, et carrossable. Ce qui manquait comme indication c'est qu'il fallait un 4/4 pour que ce soit praticable...
Et notre berline routière est un peu basse sous caisse, ce qui entraînera quelques bruits bizarres quand les ornières seront un peu profondes !!!
Mais ça passe.

1 De beaux paysages en cour de route...

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Et nous arrivons à la source. Mais oui il y de l'eau (un peu).

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Pause déjeuner dans une gargote en bord de route,

 

 

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et nous cheminons sur le Sandero Cerrada del Utrero.

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Seulement accompagné par les chèvres...

 

 

 

 

Un petit détour par le bourg car Joël veut absolument acheter un tee-shirt avec le nom de Cazorla dessus. On en trouvera un dans une boutique avec de beaux motifs Arabo-andalous.
Malheureusement on se rendra compte un peu plus tard qu’il y a une faute d’orthographe…
Retour à la maison, et après un dernier footing, il est temps de refermer les valises pour reprendre la route le lendemain matin.

Vendredi 04/10/13

 Cazorla / Guadix / Nijar

Départ pour Nijar, dernière étape de notre séjour en Andalousie.
Et là c'est une destination choisie par Christine, pour essayer de retrouver des traces de ses ancêtres qui ont vécus dans la province d'Alméria avant leur exil...

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Photo souvenir avant de quitter Cazorla.

 

 

 

 

 

 


Après une pause déjeuner à Guadix, dans un restaurant très agréable, nous en profitons pour visiter la ville.  

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Nous arrivons en fin de journée à Nijar, et notre logeur nous emmène sur la hauteur du village, par une route à peine plus large que la voiture, et nous découvrons une jolie petite maison. Peut-être la plus haute du bourg, avec une vue imprenable sur la campagne environnante. 

1 Cette maison est une jolie surprise.

Un petit verre, et dîner sur la terrasse qui se trouve sur le toit, et nous pouvons profiter du calme pour une

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bonne nuit de sommeil.

 

 

 

 

 

 

Samedi 05/10/13

 Nijar / Sorbas / Huebro

Au réveil, le paysage est toujours aussi magnifique vu de notre terrasse.
Le seul bémol, c'est qu’entre nous et la côte se trouve une étendue de serres en plastique, sous lesquelles pousse la majorité des tomates mangées en Espagne et dans les pays alentours...
Après une salutation au soleil et un petit déjeuner en terrasse nous partons à pied découvrir le village, réputé pour ses potiers.
Ça tombe bien, il n'y a rien de prévu dans notre maison pour le petit déjeuner, ni bols, ni tasses.
Après quelques visites d’échoppes on achète 2 mugs que nous ramènerons dans nos valises.Dans l'après-midi nous partons, en voiture, à la découverte des alentours, et nous nous arrêtons à Sorbas, vieux village de potiers.  

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De retour sur Nijar, nous décidons d'aller à Huebro, petit village perché sur la montagne au-dessus.
La seule route qui y mène est embouteillée. Joël reste dans la voiture pendant que Christine continue à pied.

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Ce jour-là se déroulait la procession annuelle, ainsi qu'une fête qui semble rassembler tous les villageois des alentours.. 

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Nous repartons vers notre hébergement, après avoir réglé un petit problème d'ouverture de porte sur la voiture, sans gravité, et surtout sans suites...

 

 

 

Dimanche 06/10/13

 Cabo de Gata

Après notre rituel, salutation, petit déj en terrasse, nous prenons la voiture pour la côte de Cabo de Gata. 

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1 Et son phare, "el Faro de Gata"

2 Ici aussi, des cadenas et, pour la première fois des morceaux de tissu, ornent les grilles de protection.

1 De nombreuses plages sont à notre disposition tout au long de la côte, nous profitons du soleil, et de la température de l'eau pour une pause bien méritée après le gris de la semaine précédente. 

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Lundi 07/10/13

 Laujar de andarax

Cette année même si nous ne sommes pas allés dans la région des plus hauts sommets des Alpujarras (Capileira).
Les montagnes ne sont pas si loin, alors nous allons y passer une journée.

Au programme, une randonnée réputée :

1El Sendero del Aguadero, sur 14 Km. 

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Le châtaignier, arbre très important en Andalousie, puisqu'il sert, entre autre, à fabriquer les castagnettes...

Ici un des plus vieux de la région, qui a dû voir beaucoup de gens s'abriter sous ses branches et déguster ses châtaignes.

 

 

 

1 Magnifique sentier, parfois très technique.

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1 Pause déjeuner dans un restaurant très accueillant, le chef profite même d'avoir des végétariens à sa table pour nous faire goûter un plat qu'il compte mettre au menu...
Bon repas, et à un prix très abordable dans un havre de calme...

Ensuite déambulation en ville, pour apprécier le charme des vieilles pierres.

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Avant de retourner sur Nijar, nous avons appris la présence d'un vigneron Bio sur la commune (trouvé sur les guides).
Nous nous rendons sur sa propriété. El Cortijo El Cura.
En arrivant, un vieil homme en tenue de travail est présent sur le parking devant la maison.
Nous lui demandons des renseignements, il s'avère que c'est le propriétaire.
Pendant qu'il nous fait déguster les différents vins produits sur son exploitation, il nous raconte sa vie de travailleur passée dans les « Invernados » (serres), a respirer les produits chimiques destinés à accélérer la pousse des légumes, et à compenser le manque d'eau.

Nous repartirons avec 4 bouteilles de vin (dont une offerte), et quelques Aubergines et Tomates séchées de son jardin, dont s'occupe son épouse.

Au retour on passe au milieu des serres avec une autre vision de leur impact...

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1 Une fois à Nijar, on fait comme les locaux, corvée d'eau à la source du village, celle du robinet ayant un goût bizarre.

 

Mardi 08/10/13

 Huercal Overa / Mojacar

On est le 8... Une bonne date pour aller à la recherche de la famille de Christine.

Après notre rituel matinal,

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nous mettons cap à l'est, en direction de Huercal Overa, siège de la famille Cazorla. 
La mairie est ouverte en ce jour et nous espérons pouvoir obtenir des informations sur ses ascendants.
En fait les extraits d'actes de naissance sont au tribunal de la ville, pour certains, car en fonction de l'année de naissance on n'est pas surs de pouvoir les consulter, si ce n’est auprès de la paroisse de baptême !!!

Pendant que Joël tourne dans le quartier pour trouver une place de stationnement pour la voiture, Christine se rend à la mairie pour avoir des informations.
La femme de l'accueil (charmante) lui indique ou se trouve le tribunal.
Là se pose un problème : il faut un ticket pour avoir un rendez-vous qui permet l'accès au registre, et nous n'avons pas ce sésame compte tenu de notre arrivée tardive. Trop tardive. Grosse déception... et même plus que ça.
Retour à l'accueil de la mairie, et l’hôtesse s'émeut du désarroi de Christine et passe un coup de fil pour tenter de trouver une solution.
C'est donc aux forceps que nous accédons au bureau de l'état civil, et l'employée nous le fera bien savoir.

Au final, Christine en ressortira avec une copie de l'extrait d'acte de naissance de son grand-père paternel. Beaucoup d'émotion !!!


On se pose pour récupérer un peu et examiner le précieux document. Les noms des parents y figurent mais pour remonter un peu plus dans son arbre généalogique il faudrait pouvoir consulter les archives de la paroisse des villages de naissance de ses ancêtres.
En retournant à la voiture nous passons par l'église, où ses ancêtres ont peut-être été baptisés...

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En retournant à la voiture nous passons par l'église, où ses ancêtres ont peut-être été baptisés...

 

En sortant on croise un prêtre.
On lui parle de notre recherche, et après avoir pris les coordonnés de Christine il nous promet de nous tenir au courant après enquête.
Ce sera malheureusement sans suite, aucune trace du baptême du grand père de Christine dans les registres de l'église.

 

 

 

1 Pour nous remettre de nos émotions nous partons pour Mojacar, vieux village d'origine arabe accroché sur un piton rocheux.  

Belle balade dans les ruelles de la ville, avant de retourner sur Nijar et de retrouver notre havre de paix.

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Mercredi 09/10/13

 Désert de Tabernas / Plage

Incontournable de la région d'Alméria s'il en est, le désert de Tabernas qui a servi de lieu de tournage à de nombreux « western spaghettis » sera le but de notre journée.

Nous arrêtons la voiture sur le parking d'un pseudo village de cow-boy, et partons pour une randonnée balisée1


 

 

1 Enfin pas si bien balisée que ça, vu que nous nous égarons au milieu de nulle part, avant de retrouver le chemin.

1 Au passage nous apercevons des cow-boy à cheval postés en bordure des routes, faisant la promotion des parcs d'attractions installés dans les anciens décors de cinéma.  

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Et c’est là, au milieu de ce désert, et pendant notre pause déjeuner, que Joël recevra un appel téléphonique lui disant qu'il est officiellement reçu à son examen de qualif. E.

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Après le désert, et même s'il n'y faisait pas aussi chaud qu'on pourrait le croire, il est temps pour nous d'aller nous baigner. 

1  La région ne manque pas de plages
et en cette saison elles sont peu fréquentées.

 

Jeudi 10/10/13

 Las Negras


On profite à fond de notre superbe terrasse avec vue imprenable, la fin du voyage approche.

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Pour terminer notre séjour nous avons décidé de nous rendre à la plage de San Pedro, sur les conseils de notre logeur.
Le seul petit problème, c'est qu’elle n'est accessible que par la côte, ou plus précisément par la montagne qui la borde...

1 Ce sera donc une rando-course qui nous y mènera.  En démarrant le matin sur un mode marche pour profiter de l'environnement.

 

 

 

 

 

 

 

Et, surprise, au milieu de la montagne, et uniquement accessible par le chemin non carrossable que nous empruntons, se trouve un village de hippies... San Pedro.

1 Avec ses ateliers d'artistes... ses toilettes à ciel et à siège ouverts

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3 Et sa source d'eau potable, qui sert aussi de douche  communautaire (nous y remplirons nos gourdes au retour).

On continue jusqu'à la plage de La Cala del Plomo. 
Pause déjeuner et baignade sur la plage presque déserte. 
 

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Et nous rebroussons chemin, mais cette fois en mode course, enfin quand on peut vu le relief très accidenté du parcours.

Après avoir fait 8,6 Km en 1h26' !!! nous retrouvons la voiture. 

Une visite du village de Las Negras s'impose et nous découvrons un petit bar très sympathique en bord de plage.

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En plus la terrasse est vide, et la bière est bonne.
Alors un dernier moment de plaisir... 

Vendredi 11/10/13

 Nijar / Alméria / Paris

Il est temps de rentrer en France.

On rejoint Almeria pour laisser la voiture à l'agence de location, et se diriger, à pied, vers l'aéroport.

Ici pas de grand terminal.
On va à pied sur le tarmac, et on monte dans l'avion directement depuis le sol...

Courte escale à Madrid, et nous retrouvons Paris, avec quelques degrés de perdus pendant le voyage...

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